Une étoile m'a dit

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 28 novembre 2018 à 09:27 et modifiée en dernier par Eru (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Une étoile m'a dit
Auteur Fredric Brown
Pays Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Recueil de nouvelles
de science-fiction
Version originale
Langue Anglais américain
Titre Space on my Hands
Éditeur Shasta Publishers
Lieu de parution Chicago
Date de parution 1951
Version française
Traducteur Jacques Papy
Éditeur Denoël
Collection Présence du futur no 2
Lieu de parution Paris
Date de parution 1954
Type de média Livre papier
Nombre de pages 256

Une étoile m'a dit (titre riginal : Space on my Hands), est un recueil de nouvelles de science-fiction de l'auteur américain Fredric Brown publié pour la première aux États-Unis en 1951[1]. Il paraît en France en 1954 dans la collection Présence du futur des éditions Denoël.

Différentes éditions

  • Denoël, collection Présence du futur no 2, premier trimestre 1954, réédité en 1969, 1972, 1977, 1981, 1983, 1984, 1987 et 1995[2]
  • Gallimard, collection Folio SF, 2000

Contenu

  • Quelque chose de vert... (Something Green)
    première publication dans ce recueil
  • Anarchie dans le ciel (Pi in The Sky)
    première publication dans Thrilling Wonder Stories, 1945
  • Tu n'as point tué (Crisis, 1999)
    première publication dans Ellery Queen's Mystery Magazine, 1949
  • Les Myeups (All Good BEMs)
    première publication dans Thrilling Wonder Stories, 1949
  • Un coup à la porte (Knock)
    première publication dans Thrilling Wonder Stories, 1948
  • Cauchemar (Daymare)
    première publication dans Thrilling Wonder Stories, 1943
  • Mitkey (The Star Mouse)
    première publication dans Planet Stories, 1942
  • Tu seras fou (Come and go Mad)
    première publication dans Weird Tales, 1949

La nouvelle Nothing Sirius, présente dans l'édition américaine est omise. Elle sera incluse dans le recueil Paradoxe perdu en 1974 sous le titre français Sirius et pas-coutume.

Notes et références

Voir aussi

Article connexe

Liens externes