Stéphanie Béliveau

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Stéphanie Béliveau
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Distinction

Stéphanie Béliveau, née à Québec en 1966, est une artiste multidisciplinaire québécoise[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Détentrice d'une maîtrise en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal (1993), Stéphanie Béliveau est une artiste multidisciplinaire. Depuis 1989, son travail est présenté dans le cadre de nombreuses expositions tant au Québec qu'à l'international[2].

Ses oeuvres sont conservées dans diverses collections publiques dont celles du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée d'art de Joliette, du Musée des beaux-arts de Sherbrooke, de la Ville de Montréal, de la Banque nationale du Canada, de la Corporation Financière Power ainsi que du Trust Général du Canada[2].

Stéphanie Béliveau expose dans de nombreuses galeries dont la Galerie Simon Blais, Trois Points, Clark, Dare-Dare ainsi que L’œil de poisson[3],[4],[5]. Elle participe notamment à l'exposition Artifice 96 présentée par le centre Saydie Bronfman[1]. Ses oeuvres gravitent autour des thèmes de la mort, de la souffrance, de la déchirure, de l'abandon, de la solitude et de la nature[1],[6],[7].

En 2008, elle présente une exposition rétrospective de ses oeuvres au Musée d'art Contemporain de Baie-Saint-Paul. La même année, elle présente Des soleils et des cellules au pavillon de l'Université McGill dans le cadre du Programme d'intégration de l'art à l'architecture. Elle présente également Le soin des choses à la Maison de la culture Côte-des-Neiges, une exposition commisariée par Thérèse Saint-Gelais[8].

Stéphanie Béliveau participe aussi à des performances multidisciplinaires du Bureau de l’APA qui s'intitulent Les oiseaux mécaniques (2015) ainsi que La Jeune-fille et la mort (2011, 2013, 2015)[9],[10].

En 2018, elle publie un livre d'artiste, Le soin des choses, aux Éditions du Noroît[11]. Certaines oeuvres de Stéphanie Béliveau illustrent également un livre de Jennifer Couëlle qui s'intitule Ballons au ciel (Planète rebelle, 2008)[12].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Livre d'artiste[modifier | modifier le code]

Prix et honneurs[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Michel Bois, « Expositions », Le Soleil,‎ , p. C12.
  2. a et b Nathalie Leroux, « Stéphanie Béliveau : les armures de plâtre », Vie des arts, vol. 42, no 174,‎ , p. 71–71 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
  3. « Simon Blais présente La rencontre - Exposition collective 20e anniversaire », sur La Presse, (consulté le )
  4. Jennifer Couëlle, « Piété en noir et blanc : Une belle exposition de Stéphanie Béliveau », La Presse •,‎ , p. D16 •
  5. Jérôme Delgado, « La communauté et sa solitude », La Presse,‎ , p. ARTS SPECTACLES7 •
  6. Jean-Jacques Bernier, « Stéphanie Béliveau : étranges et douloureux divorces », Vie des arts, vol. 48, no 193,‎ , p. 64–66 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
  7. Laurier Lacroix, « À Stéphanie Béliveau », Les écrits, no 148,‎ , p. 195–198 (ISSN 1200-7935 et 2371-3445, lire en ligne, consulté le )
  8. « Stéphanie Béliveau – L’artiste archéologue », sur Vie des Arts, (consulté le )
  9. Jérôme Delgado, « Réalités réinventées pour le Mois Multi : La technologie au cœur du festival, devenu largement virtuel, dépasse parfois le simple écran. », Le Devoir,‎ , p. B3.
  10. Josianne Desloges, « La technologie sur tous les tons », Le Soleil,‎ , p. M25,M24 •
  11. Jérôme Delgado, « Sur le radar : Stéphanie Béliveau, sensible glaneuse », Le Devoir,‎ , p. LeD17 •
  12. Jade Bérubé, « Poésie pour poussinots et feuilleton pour ados », La Presse •,‎ , p. LECTURES5 •
  13. Bernard Lamarche, « Condition humaine : Les nouveaux personnages de Stéphanie Béliveau », Le Devoir,‎ , p. D9 •
  14. « Dévoilement du nom des cinq finalistes du 4e Prix du livre jeunesse des bibliothèques de Montréal », Canada NewsWire,‎