Sœurs trinitaires de Rome

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Sœurs trinitaires de Rome
Image illustrative de l’article Sœurs trinitaires de Rome
Ordre de droit pontifical
Approbation diocésaine 25 septembre 1762
par Mgr Marc Antoine Colonna
Approbation pontificale 6 juin 1828
par Léon XII
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
Spiritualité trinitaire
Règle règle de saint Jean de Matha
But l'enseignement et à la glorification de la Sainte Trinité
Structure et histoire
Fondation 8 septembre 1762
Rome
Fondateur Thérèse de la Très Sainte Trinité
Abréviation S.T.
Rattaché à ordre des Trinitaires
Site web trinitaires de Rome
Liste des ordres religieux

Les Sœurs trinitaires de Rome (en italien : Istituto delle Suore della Santissima Trinità) forment une congrégation religieuse féminine de droit pontifical vouée à l'enseignement et à la glorification de la Sainte Trinité, fondée en 1762 en Rome[1].

Historique[modifier | modifier le code]

Leur fondatrice Mère Thérèse de la Très Sainte Trinité (1734-1810), prend l'habit trinitaire au couvent de Saint-Charles-aux-Quatre-Fontaines (Rome) le . Le 25 du même mois, elle se rend avec deux compagnes dans les Abruzzes à la demande du cardinal Marc Antoine Colonna pour se dédier à l'éducation des jeunes filles pauvres et abandonnées et à l'assistance physique et morale des paysans. De droit pontifical depuis le , leurs constitutions ajournées à la limière de Vatican II ont été approuvées le [2].

Activités et diffusion[modifier | modifier le code]

Elles y ouvrent de nombreuses maisons et conservent aujourd'hui encore le même apostolat associé à la glorification de la Sainte Trinité et à l'expansion de son culte. Elles se dédient aussi à l'apostolat en terre de mission[2].

La congrégation compte des établissements dans Italie, Madagascar, Philippines et États-Unis. Au , l'institut comptait 280 religieuses dans 30 maisons[1].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Annuario Pontificio Città del Vaticano 2017, p. 1650.
  2. a et b Thierry Knecht, Les trinitaires. Huit siecles d'histoire, 1993, p. 88.

Lien externe[modifier | modifier le code]