Quitter la ville
| Quitter la ville | ||||||||
| Auteur | Christine Angot | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Pays |  France
|
|||||||
| Genre | Roman | |||||||
| Éditeur | Stock | |||||||
| Date de parution | 2000 | |||||||
| Nombre de pages | 201 | |||||||
| ISBN | 2234052955 | |||||||
| Chronologie | ||||||||
| ||||||||
modifier  |
||||||||
Quitter la ville est un roman de Christine Angot paru chez Stock en 2000.
Résumé[modifier | modifier le code]
Quitter la ville met en exergue la violence inhérente au succès et à la médiatisation d'une œuvre littéraire. Christine Angot y relate, dans un style frénétique, les répercussions de la publication de son précédent roman L'Inceste. Elle revient alors sur sa conception d'une littérature avant tout performative, c'est-à-dire une écriture qui débouche et agit sur le réel.
Lorsque l'auteur(e) s’est décidée à décrire son viol par son père, en termes crus, le livre s’est très bien vendu. Brillant marketing. Séances de dédicaces, articles, télévision (avec Thierry Ardisson), Bouillon de Culture chez Pivot et d’autres, rencontres et réceptions qui sont tous évoqués, le plus souvent de façon négative. Et surtout droits d’auteur. Le détail des ventes de l’Inceste est l’un des principaux sujets du livre[1], après l'auteur(e) elle-même, bien entendu, et le montant de ses contrats[2]. En revanche, dit-elle, « je n’ai pas de vie privée, j’ai tout transféré. Tout le monde se croit autorisé à me parler de ma vie »[3].
Éditions[modifier | modifier le code]
- Quitter la ville, Stock, 2000 - rééd. Le Livre de poche.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Quitter la ville, page 11, 28, 34, 57, 58, 64, 71, etc.
- Quitter la ville, page 161.
- Quitter la ville, page 13.
