Politique étrangère de la Hongrie

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La politique étrangère de la Hongrie est singulière dans l'Union européenne, son chef d'État Viktor Orbán, au pouvoir au poste de Premier ministre depuis 2010, se distinguant de ses homologues européens par ses affinités avec la Russe de Vladimir Poutine et la Turquie de Recep Tayyip Erdoğan.

La Hongrie est membre du groupe de Visegrád, de l'Union européenne, de l'OTAN, de l'OMC et de l'ONU.

Relations avec l'Europe[modifier | modifier le code]

Relations avec l'Autriche[modifier | modifier le code]

Relations avec l'Allemagne[modifier | modifier le code]

Relations avec la Croatie[modifier | modifier le code]

Relations avec la Pologne[modifier | modifier le code]

Relations avec la Roumanie[modifier | modifier le code]

Relations avec la Serbie[modifier | modifier le code]

Relations avec la Slovaquie[modifier | modifier le code]

Relations avec la Tchéquie[modifier | modifier le code]

Relations avec l'Italie[modifier | modifier le code]

Relations avec la France[modifier | modifier le code]

Relations avec le Danemark[modifier | modifier le code]

Relations avec l'Asie[modifier | modifier le code]

Relations avec la Turquie[modifier | modifier le code]

Relations avec l'Azerbaïdjan[modifier | modifier le code]

Relations avec l'Arménie[modifier | modifier le code]

Entre 2012, l'Arménie rompt ses relations diplomatiques avec la Hongrie après l'autorisation par le gouvernement hongrois de l'extradition vers l’Azerbaïdjan d'un officier azéri, Ramil Safarov, coupable du meurtre de l'officier arménien Gurgen Margaryan à Budapest en 2004[1]. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán justifie alors cette extradition du meurtrier vers son pays d'origine après que ce dernier ait purgé une peine de six ans de prison en Hongrie, par la promesse du président azéri Ilham Aliev de l’incarcérer à son tour[1]. Mais celle-ci, peu crédible, n'a pas été respectée, Ilham Aliev était au contraire reconnaissant envers son compatriote d'avoir tué un soldat arménien dans un contexte de tension persistante entre les deux pays[1]. Des investigations ultérieures révèlent une transaction de 7 millions de dollars versée par l'Azerbaïdjan à la Hongrie, probable contrepartie à la « libération » du meurtrier[1].

En décembre 2022, après plus de dix de brouille diplomatique, Erevan et Budapest rétablissent officiellement leurs relations[1].

Relations avec le Bangladesh[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e « L'Arménie et la Hongrie rétablissent leurs relations diplomatiques, après dix années de brouilles », sur Le Figaro, (consulté le )