L'Émigrant de Landor Road
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L'Émigrant de Landor Road
Début du poème
| Auteur | |
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| Publication | |
| Date de publication | |
| Dédicataire |
| Incipit |
« Le chapeau à la main il entra du pied droit… » |
|---|---|
| Explicit |
« …Parmi le bruit des flots et les derniers serments » |
L’Émigrant de Landor Road est un poème de Guillaume Apollinaire, écrit en 1904. Il est dédié à l'écrivain André Billy.
Premières publications[modifier | modifier le code]
- Vers et Prose, t. IV, -
- Anthologie des poètes nouveaux, E. Figuière, 1913
- Alcools, Mercure de France, 1913
Historique[modifier | modifier le code]
Landor Road est le nom de la rue de Londres où a habité Annie Playden, la gouvernante anglaise qu'Apollinaire avait rencontrée en Allemagne. Annie Playden s'étant installée à Londres, Apollinaire s'y rendit deux fois, mais elle s'exila aux États-Unis pour fuir son soupirant[1].
Composition[modifier | modifier le code]
La septième strophe est une reprise de la dixième de Adieux, et la dernière de la quinzième de Le Printemps[2]
Discographie[modifier | modifier le code]
- L'Émigrant de Landor Road figure dans La Voix des mots (1976) un album de Alain Meilland et Paul Castanier
- L'Émigrant de Landor Road est chanté par Lise Au Piano sur son album du même nom.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Claudine Gothot-Mersch, « L’Émigrant de Landor Road de Guillaume Apollinaire », Cahiers d'analyse textuelle, no 8 1966, p. 23
- Marcel Adéma, Apollinaire : Œuvres poétiques, Gallimard, « Bibliothèque de la pléiade », 1965, p. 1059
