Décennie 1880 aux échecs
Apparence
Chronologie des échecs - décennie 1880-1889
Année 1880
[modifier | modifier le code]- Premier tournoi précurseur du championnat de France d'échecs remporté par Samuel Rosenthal.
Année 1881
[modifier | modifier le code]- Première parution du British Chess Magazine, plus ancienne revue publiée sans interruption depuis lors.
Année 1882
[modifier | modifier le code]- Wilhelm Steinitz et Szymon Winawer terminent premiers au tournoi d'échecs de Vienne.
- Premier club d'échecs en Russie fondé par Mikhaïl Tchigorine.
- Plus longue série de victoires sans défaites (Wilhelm Steinitz, 25 victoires depuis 1873).
Année 1883
[modifier | modifier le code]- Au tournoi de Londres, Johannes Zukertort termine premier (22 victoires et 4 défaites) devant Wilhelm Steinitz (19 victoires et 7 défaites). C'est le premier tournoi où sont employées des pendules couplant deux horloges.
Année 1884
[modifier | modifier le code]Écosse : John Crum[1] remporte le premier championnat d'échecs d'Ecosse.
Écosse : Création de la Scottish Chess Association, association à but non lucratif, qui joue le rôle de fédération écossaise des échecs, jusqu'à son remplacement en 2001 par Chess Scotland.
Année 1885
[modifier | modifier le code]Année 1886
[modifier | modifier le code]- Premier match pour le championnat du monde qui fera de Wilhelm Steinitz, par sa victoire sur Johannes Zukertort sur le score de 12½ à 7½, le premier détenteur officiel du titre.
- décès de Paul Morphy.
Année 1887
[modifier | modifier le code]Année 1888
[modifier | modifier le code]- Naissance de José Raúl Capablanca.
Année 1889
[modifier | modifier le code]- Wilhelm Steinitz conserve son titre de champion du monde face à Mikhaïl Tchigorine sur le score de 10½ à 6½.
- Le tournoi d'échecs de New York voit s'opposer l'"ancien" et le "nouveau monde"[2]. Mikhaïl Tchigorine termine premier.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Alan McGowan, « John Crum », sur chessscotland.com, (consulté le )
- François Le Lionnais, Le jeu d'échecs, Presses universitaires de France, coll. Que sais-je ?, 1974, p. 40.