Discussion:Vol Air Transat 236

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Les deux articles traitent du même accident aérien, le deuxième est beaucoup plus complet. [N'hésitez pas à me recontacter si j'ai fait quelque chose de travers, je débute et c'est la première fois que je tente une manip aussi compliquée !] Tecsomane 7 novembre 2007 à 13:15 (CET)[répondre]

Bien vu ! J'ai redirigé Vol 236 d'Air Transat vers Vol 236 Air Transat qui est effectivement plus complet et reprend déjà toutes les infos du premier. Le pire c'est que j'ai créé le premier article sur le sujet (mais avec une petite erreur sur le nom, non standard) et que je suis intervenu sur le second créé un peu plus tard sans me rendre compte qu'il s'agissait d'un article différent ! Je pense aussi que ce deuxième article a été généré car j'avais classé le premier dans la Catégorie:Sécurité aérienne et non dans la Catégorie:Catastrophe aérienne puisqu'il n'y avait pas eu catastrophe. Le nom de la catégorie équivalente anglophone, Category:Accidents and incidents on commercial airliners, est plus judicieux. A voir si un bot ne ne pourrait pas changer cela. TCY 7 novembre 2007 à 13:49 (CET)[répondre]


Bonjour j'ai récemment parler avec le commandant Piché et je lui ai demander si Dirk de Jager travaillais encore pour air transat, il ma dit que non, il travail maintenant pour Emirates airline sur airbus a330

Sur les blessés : Le rapport d'enquête, publié en 2004, confirme qu'il y a eu 18 blessés, dont 16 mineurs, à la section 1.13. Les blessures sont survenues au moment de l'évacuation de l'appareil, et non à l'atterrissage.

Sur la cause de la fuite : le moteur avait été changé environ une semaine avant l'événement. Au cours de son installation, une erreur humaine a mené à l'installation de canalisations incompatibles, entraînant un frottement qui a mené à la rupture de la conduite de carburant.

Sur les responsabilités des pilotes : le rapport d'enquête, comme tous les rapports d'enquête sur de tels accidents, n'assigne aucune responsabilité ou blâme, mais se concentre plutôt sur l'identification des causes probables et sur les moyens de prévention.

Bonjour, j'ai légèrement retouché le premier paragraphe sur les victimes, la formulation précédente équivoque suggérait qu'il y avait eu 18 passagers ET 13 membres d'équipages blessés. J'ai également ajouté un lien vers le rapport officiel de l'accident, le lien sur le rapport d'Air Transat ne semble plus fonctionner. --Davidf92 (d) 1 juillet 2009 à 15:05 (CEST)[répondre]

Détails relatifs à la gestion du carburant, l'identification de fuites et le déroulement de l'incident[modifier le code]

La lecture complète du rapport final Rapport (pdf) fait ressortir plusieurs chose qui manquent à cet article :

  • Bien que la cause initiale de l'incident soit une fuite de carburant, les suites critiques, à l'extrême limite de l'accident grave, ont été les conséquences directes de la mauvaise interprétation, puis de la mauvaise gestion de la fuite par l'équipage, ce qui a aggravé la situation.
  • L'équipage n'est pas pour autant à blamer puisque les investigations révèlent que l'ensemble des procédures, des signaux d'alertes, ainsi que la formation et l'entraînement régulier des équipages était fortement déficient en la matière.
  • Suite à cet événement de nombreuses évolutions ont été réalisée sur la détection et la gestion des fuites de carburant, tant au niveau des systèmes des avions que de l'entraînement des équipages.

Ainsi cet événement regroupe d'étonnants paradoxes :

  • Si l'équipage avait suivi à la lettre les procédures à sa disposition, la panne de carburant n'aurait pas eu lieu malgré la fuite. L'incident, limité à un déroutement, aurait été "presque bénin", aucunement médiatisé et Robert Piché serait encore un pilote totalement anonyme à ce jour (ce qui n'enlève rien à son haut niveau de professionnalisme, confirmé par le rapport).
  • Mais en contrepartie les défauts de la problématiques de gestion des fuites n'auraient pas été abordés en conséquence de cet incident. Peut-être y aurait-il eu d'autres incidents ou accidents beaucoup plus dramatiques de ce fait.
  • Dans les faits, l'équipage a exécuté le pire des scénarios de gestion de panne, en contradiction avec les procédures. Le rapport cite 3 autres scénarios possibles qui tous auraient permis un atterrissage avec encore du carburant et un moteur en marche. Donc ayant géré la situation en contradiction avec les instructions à sa disposition, l'équipage a directement causé la panne de carburant et l'arrêt de tous les moteurs en plein océan. On fait difficilement plus critique comme situation aérienne commerciale.
  • Moyennant quoi, le commandant de bord a su conduire cet extraordinaire vol plané de 20 minutes jusqu'à un heureux atterrissage, qui l'a fait entrer, de manière méritée, dans la légende des grands pilotes.
  • Cette accumulation d'erreurs et leur juste analyse d'expert a permis de faire évoluer des équipements et pratiques de manière à éviter (ou diminuer) la récurrence de tels incidents.

Je trouve que ces éléments méritent leur place sur la page, et j'aimerais des commentaires avant de publier. Bien cordialement, --Davidf92 (d) 1 juillet 2009 à 18:52 (CEST)[répondre]