Discussion:Tournée d'inspection de Hu Yaobang dans la région autonome du Tibet

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Article non neutre[modifier le code]

Les sources utilisées pour ce POV-fork de Hu Yaobang et de Économie du Tibet sont principalement des sources favorables aux thèses des exilés tibétains (les auteurs français Laurent Deshayes, Frédéric Lenoir, Pierre-Antoine Donnet), des dissidents ou des critiques systématiques de la Chine (Liu Xiaobo, Wang Yao, Tsering Woeser), il y a même le site du groupe de pression savetibet.org de Campagne internationale pour le Tibet (Tibet libre). --Elnon (d) 7 décembre 2011 à 04:08 (CET)[répondre]

Que ces auteurs ne reprennent pas à leur compte les thèses des autorités chinoises n'en font pas des sources favorables aux exilés tibétains. Par ailleurs il existe d'autres sources que celles que vous indiquez dont l'encyclopédie Larousse ici, le site du sénat françaisici, l'hebdomadaire Le Pointici, Jean Dif (que vous utilisez abondamment)...Je m'efforcerais de compléter et de diversifier ces sources. Langladure (d) 7 décembre 2011 à 05:01 (CET)[répondre]
Certes, ils ne reprennent pas à leur compte les thèses des autorités chinoises mais d'où tirent-ils leurs sources ? De toute façon, cet article est une scission de contenu que vous avez développée. Je ne vois pas pourquoi la visite du Hu Yaobang, qui est déjà traitée ad nauseam dans diverses pages, devrait faire l'objet d'une page séparée. On a l'impression que vous voulez démontrer quelque chose à tout prix. --Elnon (d) 7 décembre 2011 à 05:34 (CET)[répondre]
La page Tibet depuis 1950 évoque déja certains aspects de cette inspection au Tibet. Les références présentées sont celle de Melvyn Goldstein The Snow Lion and the Dragon: China, Tibet, and the Dalai Lama (1997) University of California Press. (ISBN 0-520-21951-1). Savez vous où je peux trouver ce texte? Langladure (d) 16 décembre 2011 à 21:26 (CET)[répondre]
Les sources de Goldstein permettraient de compléter cette page sur les raisons de cette inspection :
« Suite au décès de Mao en 1976, Deng Xiaoping a lancé des initiatives de rapprochement avec les dirigeants tibétains en exil, espérant les persuader de venir vivre en Chine. Ren Rong, qui était le secrétaire de parti communiste au Tibet, pensait que les Tibétains étaient heureux au Tibet sous l’administration communiste chinoise et qu'ils partageaient l’opinion des Communistes chinoises selon laquelle les dirigeants tibétains avant les communistes seraient des despotes oppressifs. Aussi, quand les délégations du gouvernement tibétain en exil ont visité le Tibet en 1979-80, les officiels chinois comptaient impressionner les Tibétains en exil par les progrès réalisés depuis 1950 et le contentement du peuple tibétain. Ren a même organisé des réunions à Lhassa pour exhorter les Tibétains à restreindre leur animosité envers les représentants d'un régime ancien et oppressif. Les Chinois ont été étonnés et gênés par l’expression massive et larmoyante de dévouement que les Tibétains ont fait aux Tibétains en exil en visite. Des milliers de Tibétains ont pleuré, se sont prosternés, ont offert des écharpes (khata) aux visiteurs, et tentèrent de toucher le frère du dalaï lama. C’est ainsi que les Tibétains en exil ont compris que les affirmations chinoises de progrès au Tibet étaient sans fondement[1]. »
« Ces événements ont aussi incité le secrétaire du parti Hu Yaobang et le vice chef du gouvernement Wan Li à effectuer une tournée d'inspection au Tibet, où ils ont été découragés par les conditions qu'ils y ont trouvé. Hu a annoncé un programme de réforme ayant pour but d’améliorer les conditions économiques pour les Tibétains et d’augmenter leurs libertés quant à la pratique de leurs traditions ethniques et culturelles. À certains égards, ceci était un rétrogradation de l'autoritarisme de la ligne dure et des politiques d'assimilation des années 1960 aux politiques de Mao plus ethniquement accommodantes des années 1950, à la différence majeure qu'il n'y aurait pas de gouvernement tibétain séparé comme il y en eu dans les années 1950[2]. De nouvelles réunions entre les officiels chinois et les dirigeants exilés sont intervenus en 1981-84, mais aucun accord ne put être obtenu[3]. » .
  1. Goldstein 1997, pp. 61-3
  2. Goldstein 1997, pp. 63-66
  3. Goldstein 1997, pp. 67-74
  4. Langladure (d) 16 décembre 2011 à 22:02 (CET)[répondre]

    On peut trouver une version électronique du livre ici. --Elnon (d) 17 décembre 2011 à 07:33 (CET) Également quelques aperçus ici sur GoogleBooks. --Elnon (d) 17 décembre 2011 à 07:38 (CET)[répondre]

    Merci Elnon, c'est fair-play, de me permettre d'améliorer cette page en utilisant cette source. Langladure (d) 17 décembre 2011 à 08:35 (CET)[répondre]

    Génocide culturel au Tibet[modifier le code]

    Cette scission non neutre s'ajoute à une autre page, Génocide culturel au Tibet, issue de la page Controverse sur le génocide tibétain et dont le titre ne prend même pas de précautions puisqu'il énonce comme étant une réalité indéniable une aberration linguistique (« génocide culturel ») doublée d'une allégation des exilés.--Elnon (d) 7 décembre 2011 à 05:46 (CET)[répondre]

    Elnon, Génocide culturel au Tibet est en réalité un article que j'ai créé afin de l'extraire de "controverse", puisque, contrairement aux dénégations que vous faites valoir sur WP, la disparition de la culture tibétaine est patente. Pourrais-je vous suggérer d'adopter des échanges plus courtois avec les autres contributeurs ? Vous remerciant par avance. --Rédacteur Tibet (d) 7 décembre 2011 à 20:35 (CET)[répondre]
    Il est vrai qu'un certain nombre de choses ont disparu après 1959 : la théocracie, les grands domaines monastiques, les corvées, etc. Mais l'essentiel est préservé, le tibétain en tant que langue maternelle enseignée dès l'école primaire.--Elnon (d) 8 décembre 2011 à 01:10 (CET)[répondre]