Discussion:Rue de Picpus

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Frères Lazare en tant que source[modifier le code]

L’ouvrage des frères Lazare peut très bien être utilisé comme source pour le Paris contemporain de ces deux frères. Pour des périodes éloignées (étymologie du toponyme Picpus par exemple), il est prudent de chercher des sources plus récentes. Alphabeta (d) 12 février 2010 à 19:50 (CET)[répondre]

Le couvent du petit picpus[modifier le code]

Je lis avec étonnement que le couvent du petit picpus serait fictif ? Il y avait bien un couvent mais peut être à ce moment là était ce situé à Saint-Mandé. Victor-Hugo en a aussi certainement parlé par Juliette Drouet qui y était pensionnaire.

"Dans le crépuscule l’horreur de ces inhumations s’ajoute à une odeur épouvantable. De Sèze, l’avocat de Louis XVI écrira : «  de ma prison je respire les odeurs horribles du charnier de Picpus » . Jusqu’au 27 juillet 1794 les suppliciés y sont enterrés. Parmi eux, de grands noms : Noailles, Montmorency, La Fayette, mais aussi des gens du peuple, vieillards de 80 ans, jeunes gens de 16 et 17 ans, et l’un de nos grands poètes André Chénier. L’Eglise y paie un lourd tribu : 108 gens d’Eglise, 23 religieuses dont les 16 Carmélites de Compiègne."

autre source "Le 22 mars 1805, les Sœurs s'installent rue de Picpus. Picpus n'est, alors, qu'un chemin bordé de quelques maisons qui conduit du Faubourg St Antoine à St Mandé. L'air y est bon et le site agréable.

En 1640, Mgr de Gondi, Archevêque de Paris avait installé en ces lieux un couvent de Chanoinesses de St Augustin, pour l'éducation des jeunes filles. La Révolution les chasse et fait creuser au bout de leur jardin des fosses où seront inhumées les victimes de la guillotine. Le trop célèbre Fouquier Tinville l'a fait fonctionner sans discontinuer, du 14 juin au 27 juillet 1794, aux abords de la Place de la Nation toute proche. La terre de Picpus accueillera plus de 1300 dépouilles mutilées. Les noms célèbres se mêlent aux plus humbles. Les Bienheureuses Carmélites, du Dialogue des Carmélites, de Bernanos, y reposent.

Des familles de la noblesse ont réussi à retrouver le charnier et à entrer en possession de l'emplacement des fosses. Elles souhaitent la venue à proximité d'une communauté religieuse. La Mère Henriette Aymer répond à leurs vœux et installe ses sœurs dans ce qui reste du Couvent des Chanoinesses."

André chénier serait il aussi un poète fictif ? "Ses dernières paroles, prononcées au moment de monter sur l’échafaud, auraient été (se désignant la tête) : « Pourtant, j’avais quelque chose là ! » ou « C'est dommage, il y avait quelque chose là » 3. Il fut vraisemblablement enterré avec les autres victimes de la Terreur dans le cimetière de Picpus à Paris."

Il y a quand même une incohérence à régler entre un couvent fictif, le couvent ou on a enterré 1300 guillotinés et le cimetière de Picpus ???? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Convivial94 (discuter), le 15 mars 2012 à 10:24‎

Puisque tu sembles avoir des sources, n'hésite pas. Par ailleurs, je te rappelle que cet article concerne la rue et qu'il existe un article Cimetière de Picpus. Octave.H hello 15 mars 2012 à 14:17 (CET)[répondre]