Discussion:Roadster (moto)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Discussion[modifier le code]

J'ai quelques doutes sur la période d'aaparition des moto roadster. Pour moi, la plupart des motos anciennes sont des roadster (les Norton, Triumph des années 60-70). Suzuki a juste remis a gout du jour le style, en offrant po ur la première fois un moteur dérivé d'une sportive sur sa Bandit 600.

Quelle est la descendante de la CB 750 Four dans la gamme Honda actuelle ?
C'est la 1000 CBR RR Fireblade. La quatre pattes a été crée avec l'intention d'offrir le summum de la technologie, une vitesse de pointe importante pour l'époque..., comme les supersportives actuelles sont le reflet du savoir faire technologique d'un constructeur. Ce n'est pas parce qu'une moto n'a pas de carénage qu'elle est considérée comme un roadster. De l'esprit dans lequel la machine a été conçu découle la catégorie dans laquelle elle se situe. Dédélembrouille 28 août 2006 à 23:01 (CEST)[répondre]

Passons sur la pertinence de l'historique en tant que tel (utilisation de "sportivité" d'une manière plus que subjective) : basiquement, dans le cas des voitures, un roadster est une sportive minimaliste au possible - pas de fenêtres latérales (ni même, souvent, de pare-brise : tout au plus un saute-vent, sur les modèles les plus typiques du genre), capote souple, carrénage simplifié, en somme, tout ce qui peut faire gagner du poids et rendre la voiture plus radicale et/ou minimaliste (les premières Lotus Seven étaient des poumons asthmatiques comparés aux Caterham actuelles, par exemple : on est passés de 40ch à 200ch - la brutalité sportive n'est donc pas le critère essentiel de l'appelation, au contraire du minimalisme radical qui est bien au coeur de l'étymologie - le but n'est pas de gagner en confort, ni en performance absolue, mais de faire corps avec la route : aujourd'hui, on a plutôt tendance à appeler "low-flyers" ce qu'on appelait avant "roadster", puisque le terme a été idiotement détourné). Typiquement une Lotus Seven, ou choses du genre, est un roadster. Même si on en est venu à la tendance absurde englobant tout ce qui est décapotable à deux places sous l'appelation "roadster", la plupart des cabriolets 'décapotables dérivés d'un modèle qui ne l'est pas) et autres spyders (décapotables qui n'existent qu'en décapotables : techniquement, la plupart des décapotables actuelles sont des spyders, et certainement pas des roadsters) ne sont en aucun cas des roadsters.

Et justement : si un roadster à quatre roues est, étymologiquement, une automobile aussi minimale que possible, ce qu'on appelait avant une basique en France, et qu'on appelle encore souvent une "naked" dans les pays anglo-saxons, ce sont bien évidemment à la moto ce qu'est le roadster (dans le sens originel, non grotesquement galvaudé, je crois, depuis la Mazda MX-5... voilà à quoi ça aboutit, de répéter comme un perroquet ce que dit quelqu'un qui ne parle pas nativement une langue) à la voiture - d'où la pertinence de ne pas faire de distinction de sportivité ou non dans l'appelation "roadster" (le terme venant de l'automobile, et ayant plus qu'été appliqué à des automobiles peu puissantes, il serait grotesque de se mettre à considérer tel critère à la transposition vers la moto).

Bref, toute la partie "historique" (on-dits des plus flous, partialité sur une prétendue sportivité qui n'a rien à faire là-dedans, allusion à l'utilisation du terme tout aussi moderne chez la moto que chez la voiture mais en totale opposition à l'étymologie, ...), ce n'est ni fait ni à faire... à revoir du tout au tout.90.59.31.137 (d) 2 novembre 2010 à 23:29 (CET)[répondre]

La partie Historique sans aucune source, je veux bien y croire mais là c'est quand même très fortement du travail inédit. --Milegue (discuter) 19 février 2015 à 15:15 (CET)[répondre]