Discussion:Quartiers asiatiques de Paris

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"Chinatown"[modifier le code]

"Chinatown" (terme pas vraiment en usage dans la capitale française...) n'est pas considéré comme un quartier parisien à part entière. De plus, il ne faut confondre le chinatown de San Francisco, par exemple, avec celui de Paris XIIIe... C'est clairement plus dépaysant à SF. Clio64 7 mi 2005 à 06h44 cet

Je suis assez d'accord... d'autant plus que cette appellation me fait plus penser à un ghetto qu'à un quartier... Vlad2i 7 mai 2005 à 06:46 (CEST)[répondre]
Je viens de faire l'article de base et je serais favorable à un renommage de cet article, car seuls les guides touristiques parlent de Chinatown. Toutefois c'est bien un quartier de Paris. Peut-être pas au sens de la définition officielle (conseils de quartier...), mais il possède bien une identité propre et les gens qui y habitent ont un fort sentiment d'appartenance. Ils parlent de "quartier chinois", "quartier asiatique". Les Asiatiques, eux, disent simplement "le 13ème" par opposition à Belleville, etc. thbz 25 mai 2005 à 15:16 (CEST)[répondre]

quartier, residents, chinois plus que simplement asiatique.[modifier le code]

1. dans ce quartier qui doit etre delimité, combien de foyers/résidents sont d'origine asiatique? J'ai souvent entendu dire que les asiatiques ne sont pas majoritaires, mais est-ce une réalité, et qq'un a-t-il des sources précises (statistiques ou estimations officielles)?
2. chinois ou viet/lao/Khmer? Beaucoup de ces immigrés qui ont fui l'Indochine sont chinois par leur origine, leur dialecte, leur culture et leur sentiment d'identité, et on les a appelés vietnamien/laotien/cambodgien en raison de leur pays de provenance immédiate, et éventuellement leur nationalité. Comme on distingue Thai et Thailandais, Khmer et Cambodgien, Lao et Laotiens, on peut être chinois et laotien. Existe-t-il des sources précises sur le nombre de chinois, sachant qu'il s'agira de toute façon d'estimation puisqu'administrativement ils viennent tous d'Indochine?
3. Les commerces, les magasins sont bien majoritairement chinois (culturellement) et non vietnamiens, laotiens, ou cambodgiens, et on peut même préciser qu'ils sont majoritairement cantonais et teochew. Les visiteurs également. Cette population, après les 2 premières questions, est-elle oui ou non du quartier? Ou cette façade chinoise disparait elle apres la fermeture des magasins?

4. enfin, il me semble que si on doit parler de ce quartier, on peut se pencher sur sa nature, chinoise plus que simplement asiatique! Car son image (restaurants, Paristore, Tang Freres, la banque ICBC, les magasins, etc...) est bel et bien chinoise et non pas thai/viet/lao/cambokhmer (meme quand il s'agit d'un restaurant dit vietnamien, tenus par des chinois cantonais du vietnam...). Outre les idéogrames, le défilé annuel correspond bien au nouvel an chinois, et pas du tout au Tet vietnamien, célébré avec un décalage de quelques jours... mais pas dans le 13e!

Je pense qu’un problème essentiel est, que le gouvernement français essai d’éviter faire des statistique, qui donnent des faits concrets sur des nombres des populations des différents ethniques dans les quartiers à Paris…
Ou est-ce qu’il y a quelque part tels statistiques ?--Manuel (d) 30 décembre 2007 à 16:36 (CET)[répondre]

affirmation personnelle sans source[modifier le code]

Le paragraphe « A la différence des villes américaines qui s'accomodent des quartiers réservés, Paris n'a pas la tradition du ghetto. Et le XIIIe reste en majorié habité par des Français tandis que les Asiatiques résident également dans d'autres arrondissements : le IIIe, le XVIIIe le XIXe, le XXe... » a été révoqué pour la deuxième fois, car il contient de nombreuses affirmations personnelles sans source. Merci à l'anonyme qui s'obstine, soit d'arrêter, soit d'apporter les sources nécessaires. Ordifana75 (d) 29 novembre 2008 à 21:14 (CET)[répondre]

"Les quartiers asiatiques de Paris" (au pluriel)[modifier le code]

Effectivement, ici on semble ne parler que du "13è", le quartier des Indochinois, en omettant les autres quartiers. Je propose de renommer l'article "Les quartiers asiatiques de Paris" (au pluriel), et d'y inclure aussi les autres quartiers asiatiques de Paris (Quartier de l'Horloge, le petit quartier chinois le plus ancien, puis Belleville et Chapelle), en commençant par la présence historique des Indochinois nombreux d'abord dans le Quartier Latin, autour de Maubert Mutualité et Mouffetard, de Jussieu jusqu'à Raspail, avant l'arrivée des "boat people" à partir des années 1980 (et non pas 1970) et leur implantation dans les tours des Olympiades - Masséna.

A l'époque, ces tours construites sous Pompidou étaient boudées par les Français qui n'appréciaient pas les espaces bétonnés, alors que pour les nouveaux arrivants, les tours s'apparentaient à celles de Hong Kong qu'ils venaient de quitter. Car il est fort probable que des familles de riches Hongkongais (et aussi des Macanais) fuyant l'imminente rétrocession à la Chine des territoires de Hong Kong (et de Macao) en 1997 se sont greffés dans le flot des réfugiés "boat people" vietnamiens en provenance des camps de Hong Kong (par le biais de trafic de papiers) et ont pu démarrer les premières acquisitions des fonds de commerce de ce quartier, qui est ainsi devenu aujourd'hui le "Chinatown" de Paris pour tous les étrangers à la ville (c.à.d. au premier chef les Asiatiques de province et bien sûr tous les provinviaux, mais aussi les touristes de l'étranger de passage à Paris ainsi que les guides étrangers — par analogie facile avec les Chinatown dans les pays anglo-saxons. Johannjs (d) 27 décembre 2009 à 21:32 (CET)[répondre]
voir aussi

En même temps que le trafic de papiers a continué de fonctionner jusqu'à la rétrocession pour les Chinois de Hong Kong (style "regroupements familiaux à la tontine"), l'émigration chinoise à proprement parler a vraiment débuté après les événements de Tien'anmen, en 1989, cette fois pour les Chinois du continent pour sortir du pays et partir dans les pays européens et nord-américains (toujours la tontine, qui peut faire appel, selon le cas, aux membres de la famille élargie, ou à ceux d'un ou de plusieurs villages).

En France, des "touristes chinois" débarquaient sans intention de repartir. D'où les crises aiguës avec de plus en plus de sans-papiers chinois sous Chirac et après (jusqu'à actuellement)... grossissant ainsi tous les contigents de clandestins chinois dans tous les quartiers déjà cités (les ateliers de travail clandestins en tous genres, mais aussi, par des fortunes diverses, les reprises des commerces d'électronique du quartier du 12è arrondissement, de Daumesnil à Montgallet, qui est ainsi devenu le principal quartier de l'informatique de la capitale, avec leurs grossistes dans le "93".
Pour être complet, il faut citer encore toute l'avenue de l'Opéra, encore un quartier d'Asiatiques, quoique plus feutré, des businessmen japonais qui y ont repris les boutiques de luxe du quartier depuis les années Mitterrand. Johannjs (d) 28 décembre 2009 à 12:53 (CET)[répondre]

En effet ! Il me semble indispensable de citer aussi le quartier japonais et coréen de la rue Sainte Anne (Opéra) vu sa taille vraiment... importante : certainement plus de 50 restaurants notamment !!(Erdnisloed (d) 3 novembre 2012 à 13:13 (CET))[répondre]
Sauf que du coup l'article est incohérent: le début parle de tous les quartiers chinois de Paris voire d'IDF, et le reste de celui des Olympiades, disant "ce quartier"(vestige de la version originelle) --2001:660:3305:100:FAB1:56FF:FE9B:1CF5 (discuter) 2 mars 2018 à 11:24 (CET)[répondre]