Discussion:Philippe de Commynes

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A l'attention du contributeur qui signe[modifier le code]

  1. Merci de noter que les contributeurs ne doivent pas signer les articles : cette règle est intimement liée au fonctionnement de Wikipédia. Voir cette page : Aide:Règles d'édition
  2. Merci de ne pas ajouter dans cet article de lien vers un site personnel (qui semble être votre site). Cet ajout ne se justifie pas dans la mesure où il n'apporte aucune information complémentaire au sujet de Commynes, mais qu'il s'apparente davantage à de l'autopromotion, ce qui est très mal vu sur Wikipédia. À la rigueur, le lien vers ce site pourrait compléter un article sur Joël Blanchard si cela se justifiait. Merci de consulter la page Aide:Liens_externes pour plus d'informations. Et notamment le paragraphe : « On évitera le plus possible de lier des pages perso ». Cordialement. --Localhost 1 juillet 2007 à 12:50 (CEST)[répondre]

rebelote[modifier le code]

et c'est reparti le soir même, sous encore une autre IP. J'ai viré. Je virerai encore. La bibliographie m'agace, aussi. On pourrait rediriger vers "Mon nombril et Philippe de Commynes"... Amicalement Aluminium 2 juillet 2007 à 04:00 (CEST)[répondre]

  • Moi aussi la bibliographie m'agace et pour la même raison. On pourrait mentionner l'édition de la Pléiade des Historiens et Chroniqueurs du Moyen Âge: même si elle date un peu (© 1952) au moins on la trouve partout.
  • On pourrait mentionner que le lien Gallica est en PDF. J'ai été (désagréablement) surpris en le cliquant.
  • Quelqu'un (la première fois ce n'était pas moi) avait mentionné la version HTML des Mémoires sur mon site perso, avec index des noms cités et concordance des mots tombés de la langue; quelqu'un d'autre l'a supprimé (la première fois, si je me rappelle bien, c'était pour le remplacer par un lien vers le site de Joël Blanchard, lien qui permettait —difficilement— de trouver les titres que depuis lors il a mis en "bibliographie" (oui, mon nombril et...), mais pas le texte. La dernière version du lien était: Texte intégral (en cours de mise en ligne) des Mémoires de Commynes (supprimé par un certain Localhost). Alors quoi? D'accord c'est un site perso mais au moins il est en HTML, pas en PDF. Pour cette fois je ne le rétablis pas, mais (à part le fait que c'est la Bibliothèque nationale) j'aimerais savoir pourquoi un fac-similé (qui exige un plugin encombrant et indévissable — fermer l'onglet ne le vide pas de la mémoire) est tellement mieux.
Tonymec 8 juillet 2007 à 05:56 (CEST)[répondre]
Le certain Localhost se permet d'intervenir : si j'ai supprimé le lien Texte intégral que vous mentionnez, c'est simplement parce qu'il est inactif. La page aboutit sur une erreur, comme vous auriez pu vous en apercevoir vous-même. Pour éviter des déconvenues au lecteur, j'ai jugé préférable de l'aiguiller vers un site qui marche et qui est notoire. C'est tout. Si vous trouvez une adresse valable comprenant le texte en HTML de Commynes, vous êtes le bienvenu pour l'inscrire dans cette page. Par ailleurs, je persiste à penser que l'abondance de mentions de Blanchard et surtout que le lien vers son site pero n'apporte rien à l'article. Je regarderai cela de plus près quand je me pencherais à nouveau sur cet article. Cordialement. --Localhost 8 juillet 2007 à 11:36 (CEST)[répondre]
ah, sorry, il y a une coquille: c'est /chroniq/ et non /choniq/ . Désolé. -- Tonymec 8 juillet 2007 à 22:19 (CEST)[répondre]

Traduction italienne de P. de C.[modifier le code]

Je tiens simplement à signaler que j'ai supprimé la mention selon laquelle P. de C. serait le premier auteur français à avoir été traduit en italien. D'autres avant lui l'ont été: l' Esope de Marie de France et le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris et Jean de Meun pour ne nommer que les plus célèbres.

Je pense que l'auteur voulait dire qu'il s'agit du premier auteur en terme de nombre d'exemplaires... --Localhost (d) 24 mai 2008 à 19:31 (CEST)[répondre]
Si c'est vraiment le cas, il faudrait alors trouver une formule moins ambiguë et surtout fournir une référence... 8-) --Loenstock (d) 6 juin 2008 à 22:30 (CEST)[répondre]

annoblissement[modifier le code]

Je doute que l'annoblissement de cette famille ne date que de la fin du 15° siècle, compte tenu de son établissement bien antérieur. --82.224.198.128 (d) 14 mars 2010 à 17:10 (CET)[répondre]


Ton de la biographie[modifier le code]

J'ai légèrement modifié un paragraphe en pensant qu'il y avait un effort de vocabulaire et de ton à faire. Parler de "frustration" et évoquer vaguement des passages des mémoires pour justifier les revirements de P. de Commynes est inapproprié (cf. passage sur Louis XI), et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres.

J'ai supprimé "Il rédigea l'un des premiers traités politiques à l'usage des souverains." qui n'a pas grand sens.

Flamand de langue française, pas Français[modifier le code]

Le sud de la Flandre parlait picard ou français, ou, plutôt, quelque chose entre les 2, qu'on appelle la "scripta franco-picarde" aujourd'hui, mais qu'on devait probablement appeler "roman" voire peut-être, déjà, "franceis/françois" à l'époque (à vrai dire je ne sais pas). Mais, en tout cas, mis à part l'aspect linguistique, "français" signifiait "du domaine royale" ou "d'Ile-de-France". C'est pourquoi on parle du Vexin français et du Vexin normand, encore aujourd'hui. L'Ile-de-France a elle-même longtemps été désignée sous le nom de "France" tout court, d'où les noms de ville en "-en-France": Roissy-en-France, Tremblay-en-France, etc. Idem pour le nom de famille "Defrance", qui signifie plutôt, probablement, "d'Ile-de-France", un peu comme il y a les noms de famille "Lenormand, Flamand, Breton". La Flandre était alors comme la Bretagne, c'était un fief du roi de France, mais qui ne faisait pas partie du domaine royal. Ce n'est qu'à partir du moment où un fief devient un apanage faisant partie du domaine royal qu'on peut qualifier ses habitants de "Français". Avant Anne de Bretagne, la Bretagne faisait partie du royaume de France, mais elle n'était pas un apanage et elle ne faisait pas partie du domaine royale; du coup ses habitant étaient bretons, et pas français, et pourtant on parlait déjà français en Bretagne. Le Royaume de France fonctionnait alors un peu comme le Saint Empire romain germanique, composé d'entités autonomes mais faisant allégeance à un même monarque. Flamanchti (d) 7 février 2012 à 00:56 (CET)[répondre]

Pour illustrer ce que je viens de dire, pour le poète Jean Meschinot il est bien écrit que c'est un poète breton de langue française. Flamanchti (d) 7 février 2012 à 01:09 (CET)[répondre]