Discussion:Mouche de l'olive

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Besoins alimentaires[modifier le code]

Celui qu a modifié l'article sur la mouche de l'olive aurait bien dû lire le titre de l'article. Il s'agit d'une mouche, un Diptère, mais pas de la mouche domestique. Or, les besoins alimentaires et le mode d'alimentation de Bactrocera olea, Diptère téphritidée n'a rien à voir avec celui de la mouche de l'olive. Je vais devoir, à regret, supprimer les ligne que je juge hors-sujet. --Raymond GIMILIO (discuter) 7 juillet 2015 à 19:15 (CEST)[répondre]

Reprenant les articles sur la lutte biologique, et particulièrement les travaux de François Warlop (GRAB) sur l'oléiculture, j'ai mis à jour ou ajouté les fiches des espèces parasitoïdes de tephritidés qui attaquent les fruits (Mouche de l'Olive, Mouche de la Cerise et Mouche des Fruits). L'importance économique et la demande de l'Agriculture biologique font de l'emploi des parasitoïdes une alternative à l'emploi de pesticides.

Les données bibliographiques sont rares pour certaines espèces. Merci aux spécialistes, aux entomologistes, de lire nos fiches avec attention, de les corriger et de les compléter. --Raymond GIMILIO (d) 5 septembre 2011 à 08:28 (CEST)[répondre]

La mouche de l'Olive constitue un des fléaux auquel l'oléiculteur se heurte. La lutte biologique utilisant un parasitoïde (Opius concolor) passe par l'obtention de l'agent parasitoïde. Où vit-il à l'état naturel ? Qui en élève et qui en vend ?

Merci de vos contributions.

Raymond GIMILIO [1]


La découverte, en faisant des recherches bibliographiques, des résultats de l'équipe de chercheurs japonais Kikuchi et al. m'a fait dresser les cheveux sur la tête. Et si ce qui se passe

Il semblerait aussi que les nématodes du sol utilisés dans la lutte biologique contre les Otiorhynques s'en prennent aux pupes de mouches hivernant dans le sol ou aux jeunes mouches écloses au printemps, lors de leur cheminement vers la surface.

Quelqu'un à-t-il des informations sur ce sujet. Merci de les communiquer ici à la communauté. L'auteur initiateur:

Les gallinacés sauvages (faisans, perdrix) ou domestiques sont grands consommateurs de larves qu'ils vont déterrer. Un travail du sol (griffage léger) pratiqué au moment des grands froids de février donne de bons résultats.

Raymond GIMILIO [2]

Résistance aux antibiotiques[modifier le code]

Depuis quelques années, à l'écoute des oléiculteurs en colère devant les progrés de la Mouche de l'olive, j'ai plusieurs fois entendu ces réflexions : « On dirait qu'elle se nourrit des pesticides, plus on en mets, plus il y a de mouches ! ».

Le mécanisme découvert en 2012 par ces chercheurs est celui de bactéries symbiotes de l'intestin moyen de l'insecte Riptortus pedestris (Punaise) des cultures de léguminseuses. Les bactéries symbiontes logées dans l'intestin moyen de la punaise (stinkbug) Buckholderia sp. (voisine des Peudomonas sp.) provoquent l'hydrolyse de l'insecticide organophosphoré fenitrothion en produisant :

  • 3-methyl-4-nirophénol à faible activité insecticide,
  • et une série de produits carbonés, source de carbone utilisée pour leur développement.

L'insecticide est rendu inoffensif et sert à nourrir les bactéries à leur tour digérées par l'insecte hôte.

Indirectement, l'insecte profite du pesticide métabolisé et s'en nourrit à traves les bactéries qui l'ont dégradé ! Plus on en met, plus les punaises propspèrent.

D'autres organophosphorés sont susceptibles d'être hydrolysés. La question se pose de savoir si la bactérie est capable d'hydrolyser le diméthoate et de s'en nourrir, nourrissant à son tour Bactrocera oleae qui peut l'abriter ? Seule une équipe dotée de moyens d'invstigation peut répondre à cette question !!!

--Raymond GIMILIO (discuter) 6 décembre 2014 à 19:35 (CET)[répondre]