Discussion:Cinéma numérique

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Paragraphe «déploiement en france»[modifier le code]

Pourquoi tout le paragraphe est au futur ? J'ai déjà vu plusieurs films numériques dans mon cinéma (c'est la chaine Kinepolis), et ca fait plusieurs année déjà ... Outs (d) 18 août 2008 à 14:00 (CEST)[répondre]

Tu as raison, cette page nécessite quelques mises à jour. J'y apporte illico qqes infos.

Le son ?[modifier le code]

Rien sur la reproduction du son ? Émoticône wfplb [d] 4 juillet 2009 à 10:10 (CEST)[répondre]

Suppression de la mention "La SMPTE s'apprête à accepter aussi les normes MPEG2-HD et MPEG4-AVC"[modifier le code]

Après discussion avec les intéressés, je recommande la suppression de la mention "La SMPTE s'apprête à accepter aussi les normes MPEG2-HD et MPEG4-AVC." dans le paragraphe "Compression et packaging". Il n'a pas été possible de trouver une source valide sur cet assertion.

le transport du DCP peut s'effectuer sur support physique, réseau de données filaire (ADSL par exemple) ou satellitaire "sécurisés"[modifier le code]

Wfpbl a ajouté le terme "sécurisés" à la phrase, c'est inexacte, car il n'est pas indispensable de sécuriser le canal d'envoi du DCP qui est chiffré, seul le serveur correspondant à la clé KDM permet de lire le DCP. pour les contenus non protégés (publicité, film annonce), pas besoin de protection additionnelle. Celà peut être intéressant de vérifier l'intégrité du DCP (mais il embarque déjà les empreintes (hash) qui permettent cette vérification). Donc je vous propose de supprimer le mot "sécurisés" de la phrase.


[[Catégorie:== Inconvénients: ==]

Dans le paragraphe avantages et inconvénients ont ne trouvent que des avantages. Le cinéma numérique ne pose donc aucun soucis ? On peut penser à mentionner le chômage du personnel des cinémas traditionnels.

Correction du paragraphe son[modifier le code]

La norme DCI ne fait aucunement référence à du 6.1 -> suppression de la note "dans le cas du 6.1, les deux pistes surround sont matriçées LtRt, voir Dolby Digital EX."

ajout de la référence normative sur les 6 pistes et 8 pistes (DCI spec1_2 §3.3.3)

Franco-français[modifier le code]

Le titre devrait être modifié : Cinéma numérique en France. Et le Canada francophone et la Belgique et la Suisse !!! --188.60.254.115 (d) 20 octobre 2011 à 16:34 (CEST)[répondre]

Si vous connaissez des contributeurs canadiens, belges et suisses, merci de leur demander de venir enrichir l'article ! Ou même n'importe qui avec les compétences requises... Peut-être vous, du reste ? Car, contrairement aux apparences, Wikipédia n'a jamais été faite que par des contributeurs bénévoles qui apportent leur savoir en fonction de leurs connaissances et disponibilités. Cordialement. -- Vincent alias Fourvin 20 octobre 2011 à 22:47 (CEST)[répondre]

Bientôt obsolète[modifier le code]

« le tournage en cinéma numérique reste en 2009 une pratique marginale »

Heureusement qu’il y a écrit « en 2009 », parce qu’il me semble que aujourd’hui (2011), le tournage en numérique est devenu la norme, avec l’arrivée de matériel très performant et peu coûteux (Canon 7D en particulier). Je me trompe peut-être, donc je laisse pour l’instant à quelqu’un qui s’y connaîtra mieux que moi le soin de corriger, ou de me contredire. — Delhovlyn » (discuter) 30 octobre 2011 à 18:41 (CET)[répondre]

Résolution de l'image : « informations » à revoir d'urgence ![modifier le code]

Quand je lis qu'une copie argentique projetée en salle a une résolution de 14,7 millions de pixels pour une superficie de 367,43 mm2, je me frotte les yeux Smiley Colère ! Et je demande à voir des sources absolument incontestables, tant une telle information parait complètement farfelue :

  • Si on prend en compte le fait qu'une pellicule 24x36 a une superficie théorique de 864 mm2, on devrait donc avoir une résolution d'une photo 24x36 de l'ordre de 34,6 millions de pixels (864/367 x 14,7. Or quiconque a pu examiner une photo prise par un Nikon D800 (qui compte 36 millions de pixels) ou même un Nikon D750 (qui compte 24 millions de pixels « seulement ») a pu constater que leur résolution était très supérieure à celle d'une pellicule argentique 24x36.
  • D'autre part, dans le monde réel, sur des pellicules couleurs réelles, avec des objectifs réels à des ouvertures réelles, il est extrêmement difficile d'avoir une définition dépassant 50 paires de ligne/mm en conservant un contraste suffisant pour voir cette définition, soit 100 points par mm, donc 10 000 points par mm2 ; ce qui donne une résolution totale de 3,7 millions de pixels en cinémascope, et non 14,7 (qu'il faudrait du 70 mm pour atteindre, ou à la limite un 35 mm en 8 perfs, genre Technirama).
    Pour obtenir les fameux 14,7 millions de pixels, il faudrait obtenir environ 100 paires de lignes par mm, soit 200 points par mm, c'est à dire plus ou moins l'équivalent d'un 5K (la comparaison stricte est difficile ne serait-ce qu'à cause de l'anamorphose). Ceci n'est possible en réalité qu'avec des pellicules noir et blanc à très haut contraste, très loin des conditions réelles de prises de vue.
  • Last but not least, la pellicule utilisée en salle n'est pas le négatif original, bien entendu, mais une copie (de copie de copie...), ce qui réduit considérablement la résolution réelle et la ramène autour d'un 2K (même lorsque cette pellicule est « neuve »)... D'ailleurs, si les chiffres mis en avant étaient vrais, un blu-ray UHD fait à partir du négatif original d'un film récent devrait faire mieux qu'un blu-ray UHD fait à partir d'un film tourné en ARRIRAW 3,4K ; ce qui est complètement faux, comme le démontrent tous les tests qui sortent actuellement, et qui montrent bien que les blu-rays UHD tirées de négatifs argentiques peinent à faire aussi bien (même lorsque c'est un simple DI 2K upscalé qui a servi pour le blu-ray UHD, et non directement la source 3,4K).

Je pense que cette « information » qui contredit la totalité des constats faits par ailleurs doit provenir des deux postulats non sourcés dans l'article : tout d'abord, l'idée que « 1 grain = 1 pixel » (ah bon ? D'où ça sort, sinon d'une hypothèse préconçue démentie dans la réalité ?). Ensuite, de l'hypothèse qu'une pellicule compte 40 000 grains par millimètre carré, et en déduisant donc une définition de 100 paires de lignes par mm (= 200 points par mm « de long »).
Bref, à corriger d'urgence, avec des sources sérieuses. -- — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 30 août 2017 à 23:54 (CEST)[répondre]

Quelques précisions complémentaires peuvent aider à mieux comprendre à quel point les affirmations figurant dans l'article relèvent de l'opinion personnelle infondée, et d'ailleurs non sourcée :
  • Lorsqu'on se contente de parler de pixels, en affirmant que « 1 grain = 1 pixel », on oublie de rappeler qu'un « pixel » en compte en réalité trois, c'est-à-dire trois « sous-pixels », un pour chaque couleur (rouge-vert-bleu) : c'est la base même de la trichromie. A contrario, lorsque l'article affirme que l'on compte 40 000 grains par mm2 de pellicule, on parle du nombre total de grains, sans tenir compte du fait que, là aussi, la pellicule comporte des grains pour chaque couleur et que, sous réserve de sources sur ce sujet, il faudrait en principe diviser ce chiffre par trois pour comparer au nombre de pixels.
  • D'autre part, il faut aussi tenir compte du fait que, pour définir correctement une image formée d'un nombre N de points lumineux, on ne peut pas se contenter de la photographier ou de la scanner avec un mode de capture faisant juste appel au même nombre de « pixels » : par exemple, pour scanner dans toute sa subtilité une photo comportant environ 8 millions de points (disons une photo 24x36), il est souhaitable de la scanner avec une définition environ quatre fois supérieure, disons 32 millions de pixels (chaque pixel ne correspondant pas pile à un point à reproduire, il en faut donc plusieurs pour reproduire ce point correctement). Or, quand en cinéma numérique on a - comme bien souvent - affaire à un « DI 2K » (un « digital intermediate » de 2048 par 1080 pixels, soit 2,2 millions de pixels), ce DI 2K est de plus en plus souvent tiré d'une source numérique qui peut aller jusqu'à 6,5K (voire 8K maintenant), c'est à dire 20 ou 30 millions de pixels, avec un résultat supérieur à ce que peut permettre la copie de copie de copie... projetée en salle pour le cinéma argentique (en 35 mm tout au moins).
Ça n'empêche pas le cinéma argentique d'avoir été une merveilleuse invention, qui nous permet encore aujourd'hui de disposer d'images de haute qualité pour des films tournés il y a des décennies ; simplement, il est complètement faux d'écrire que « ce comparatif des résolutions des formats de projection numériques avec leurs équivalents 35 mm permet de conclure que la résolution des images numériques est moindre que son équivalent de résolution des images argentiques 35 mm lorsque la pellicule est neuve ». — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 31 août 2017 à 07:21 (CEST)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 14 lien(s) externe(s) sur Cinéma numérique. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 22 août 2018 à 13:03 (CEST)[répondre]