Charles Friderici
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| Charles Friderici | |
 Portrait officiel. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Conseiller national | |
| – (12 ans et 5 jours) |
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| Législature | 43e, 44e et 45e |
| Groupe politique | libéral (L) |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Morges |
| Nationalité | Suisse |
| Parti politique | PLS |
| Profession | Entrepreneur |
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Charles Friderici, né le à Morges (originaire d'Allaman), est une personnalité politique suisse du canton de Vaud, membre du Parti libéral suisse. Il est conseiller national de 1987 à 1999.
Biographie[modifier | modifier le code]
Charles Friderici naît le à Morges. Il est originaire d'Allaman, dans le même district vaudois[1].
Il est administrateur de la société CET Distribution SA à Étoy, fondée avec son frère en 1980[2]. Pendant les années 1990, son entreprise connaît de graves difficultés financières[3].
Il est vice-président de l'Association de l'industrie vaudoise des transports routiers[4]. Il est également président de l'Association suisse des transports routiers (ASTAG) de 1991 à 2000[5],[6],[7].
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Membre du Parti libéral suisse, Charles Friderici est membre du Conseil général de Lully de 1979 à 1981, puis de la Municipalité de 1982 à 1989[1],[2]. Dans le cadre de ses fonctions de municipal, il préside l'Association intercommunale pour l'alimentation en eau potable des communes de Tolochenaz, Lully et Lussy-sur-Morges[4].
Dans les années 1980, il s'engage dans la campagne référendaire contre la taxe poids lourds forfaitaire, acceptée par le peuple en 1984, et contre l'initiative populaire l'initiative populaire « pour une juste imposition du trafic des poids lourds », rejetée en 1986[3].
Il est membre du Conseil national de 1987 à 1999[1]. Situé sur l'aile droite de son parti, il est spécialiste des questions liées à la politique des transports, auxquelles il se consacre presque entièrement[2],[3]. Il s'oppose en vain à l'instauration de la redevance poids lourds liée aux prestations[8]. Lors des élections fédérales de 1999, il n'est pas réélu[9].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Biographie de Charles Friderici », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- Gilles Valat, « "La formule dite magique a fait son temps" », La Côte, , p. 12 (lire en ligne)
- D. S. Miéville, « Charles Friderici, le crépuscule des camionneurs », Le Temps, (lire en ligne)
- G. H., « Deux Morgiens dans la course », 24 Heures, , p. 21 (lire en ligne)
- sda, « Kritik der Astag an der Sommersmog-Massnahmen », Neue Zürcher Zeitung, , p. 22
- « Charles Friderici », L'Hebdo, , p. 31 (lire en ligne)
- Stéphane Sieber, « RPLP - Suspense sur l'entrée en vigueur », L'Express, , p. 17 (lire en ligne)
- Denis Barrelet, « Taxe poids lourds: les géants se sont affrontés sans merci », 24 Heures, , p. 11 (lire en ligne)
- Jean-Marc Rapaz, « Quatre sortants mordent la poussière », 24 Heures, , p. 19 (lire en ligne)
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
