Auguste Taccoen

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 12 juin 2021 à 13:01 et modifiée en dernier par Enrevseluj (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Auguste Taccoen
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 47 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité

Pierre Joseph Auguste Taccoen, dit Tac-Coen, est un compositeur français né à Lille le et décédé à Paris 5e le [1].

Biographie

Ses parents le destinent à la banque mais il se tourne vers le cabaret à Paris où il joue du piano. Dans les années 1880, il se fait un nom dans l'Opérette et la chansonnette de boulevard.

Il a composé la musique de près de 3000 chansons, dont un Hymne à la bière[2].

Il revenait chaque année dans les Flandres pour le carnaval de Cassel, où il a harmonisé l'air du géant Reuze Papa[3]. Il est également célèbre pour avoir créé la musique d'une chanson pacifique dans les années 1870, dans une France alors obsédée par la revanche: Le forgeron de la paix. [4]

Titres de quelques œuvres

  • 1884 : Les p'tit's Femmes de chez Godillot !, chansonnette, paroles d'Henri Marcoud
  • 1885 : D'où̀ viens-tu ?, interrogation, paroles de Maxime Guy et Louis Dehné, musique de Tac-Coen, partition musicale, E. Meuriot, Paris
  • 1885 : Un gros Bécot !, chansonnette, paroles de Maxime Guy et Louis Dehné, musique de Tac-Coen, partition musicale E. Meuriot, Paris
  • 1885 : Mon p'tit Caporal ! chansonnette, paroles de Maxime Guy et L. Dehné, musique de Tac-Coen
  • 1886 : La Poupée de Fernande !, historiette, paroles de Maxime Guy et Louis Dehné, musique de Tac-Coen, partition musicale, Guillemain, Paris
  • 1886 : J'fons tout !, paysannerie, paroles de Maxime Guy et Louis Dehné, musique de Tac-Coen, partition musicale F. Guillemain, Paris
  • 1886 : Ouf !, chanson, paroles de Louis Dehné, musique de Tac-Coen, partition musicale F. Guillemain, Paris

Notes et références