Andrea Savaresi
Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires.
Cet article est orphelin. Moins de trois articles lui sont liés ().
Vous pouvez aider en ajoutant des liens vers [[Andrea Savaresi]] dans les articles relatifs au sujet.
| Naissance | |
|---|---|
| Décès |
(à 48 ans) Naples |
| Nom de naissance |
Andrea Biaggio Pasquale Ignazio Maria Savaresi |
| Nationalité | |
| Activités |
| Membre de |
|---|
Andrea Biaggio Pasquale Ignazio Maria Savaresi (Naples, - Naples, ) était un médecin, naturaliste et minéralogiste napolitain. Il est le frère ainé d'Antonio Savaresi
Biographie
Andrea Savaresi naît à Naples, dans le quartier de Chiaja. Ses parents sont Francesco Savaresi et Elena Cecere. Il étudie la langue latine, suit un cours de philosophie, et étudie enfin les mathématiques. A l'Université de Naples Federico II, il commence à étudier la médecine. De nombreux membres de sa famille étaient des médecins, parmi lesquels son frère Antonio. Il suit des cours privés d'anatomie et de chirurgie, mais apprécie toujours les mathématiques et l'astronomie. Dans les années qui suivent, il se perfectionne dans tous les domaines des sciences, mais surtout en médecine. De 1784 à 1789, il écrit des mémoires sur la médecine et sur la chimie qui, aujourd'hui, ne sont pas encore publiés. Il donne aussi des cours privés de chimie et de médecine. Il écrit pour le dictionnaire de chimie de l'époque.
En 1789, Savaresi part pour un voyage d'études en Allemagne, en Angleterre et en France, accompagné par cinq collègues : Carmine Antonio Lippi, Giovanni Faicchio, Giuseppe Melograni, Vincenzo Raimondini et Mattheo Ronde. Il étudie la métallurgie, le minéralogie et la physique des sols. En 1789, on le fait venir à Salerne, dans le but d'améliorer l'exploitation de la carrière de Giffoni. Dans les mêmes années, en Calabre, en collaboration avec les collègues susmentionnés, ils modernisent l'usine métallurgique. Il supervise la Fabrique d'armes de Mongiana, la Ferdinandea et la ferronnerie de Stilo. De plus, on lui commande, avec son collègue et ami Vincenzo Raimondini, de dessiner des cartes des provinces de Calabre Ulteriore. Ils dressent la carte géologique du Royaume des Deux-Siciles. Avant sa mort en 1810, il retrouve le poste de Commissaire de l'Administration de la poudrière de Torre Annunziata.
Bibliographie
- Ecrits de l' Institut Royal pour l'Encouragement de Naples
- LBrunello de Stefano Manno; Gennaro Matacena, La Reali Ferriere ed officine di Mongiana, maison d'édition de l'histoire de Naples et des deux-Siciles, Naples, 1979.
- Atti de la Société Pontaniana de Naples (à partir de l'Internet Archive)
Notes et références
