Měilì de chánghóng dā qǐ cǎi mén,
yíngjiēzhe zhànyīng shènglì kǎixuán
a! A!
Shuǐbīng ài dàhǎi,
qíbīng ài cǎoyuán,
yào wèn fēixíngyuán ài shénme?
Wǒ ài zǔguó de lántiān.
Měilì de chánghóng dā qǐ cǎi mén,
yíngjiēzhe xióng yīng shènglì kǎixuán
shuǐbīng ài dàhǎi,
qíbīng ài cǎoyuán,
yào wèn fēixíngyuán ài shénme?
Wǒ ài zǔguó de lántiān.
J'aime le ciel bleu de la mère-patrie,
Eclairci sur des milliers de kilomètres, sous un soleil ardent,
Les nuages blancs me renseignent sur la route à suivre,
Et le vent d'est m'aide à aller de l'avant.
Les lueurs émises par l'aube dorée dansent autour de moi,
Et en dessous se situent de belles rivières et montagnes.
Ah ! Ah !
Le marin aime l'océan,
Le cavalier aime la prairie,
Si tu demandes à un pilote ce qu'il aime,
J'aime le ciel bleu de la mère-patrie.
J'aime le ciel bleu de la mère-patrie
Les nuages sont comme l'océan et le ciel semble infini,
L'orage gronde comme mon tambour de guerre,
Le soleil rouge m'aide à éliminer mes adversaires.
Les beaux arcs-en-ciel s'érigent en grands portails colorés,
Prêts à accueillir les faucons triomphants que nous sommes.
Ah ! Ah !
Le marin aime la mer,
Le cavalier aime la prairie.
Si tu demandes à un pilote ce qu'il aime
J'aime le ciel bleu de la mère-patrie.
Les beaux arcs-en-ciel s'érigent en grands portails colorés,
Prêts à accueillir les aigles triomphants que nous sommes.
Le marin aime la mer,
Le cavalier aime la prairie.
Si tu demandes à un pilote ce qu'il aime,
J'aime le ciel bleu de la mère-patrie.