Utilisateur:Tipofa/La bataille du Gratin
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| Date | |
|---|---|
| Lieu | Louvain-la-Neuve |
| Casus belli | Le gratin du plat de pâtes |
| Issue | Incertaine |
.svg){kind=small} Forces alliées de la diffamation |
 Front pour la justice du Gratin |
| Beber et Kwak | Empereur Brychax Messie |
Notes
Membres neutres :
Imotep l'historiographe
3ème guerre des KAPs
La bataille du Gratin a eu lieu à l'Alterékot pour déterminer qui était l'auteur d'un crime de lèse-majesté.
Déroulé[modifier | modifier le code]
Contexte et prémisses[modifier | modifier le code]
Le Panz a découvert avec effroi la disparition de la couche de fromage gratinée sur le plat de pâtes. Cela a créé un tollé au sein du kot.
Un premier procès s'est directement lancé avec 2 accusées portées au banc. "Jacquouille et Messie" hurla Le Panz. Une accusation lourde car ces deux personnes représentent les 2 coprésis dudit kap. Les raisons de cette accusation sont directement liées au faits historiques de la veille, à savoir le débat entre les partisan·es du "c'est ok de manger la croûte et pas le reste" et les convaincu·es du contraire. Jacquouille et Messie ayant pris part au débat en argumentant pour la cause citée en premier, elles étaient hautement suspectes.
Début de l'action[modifier | modifier le code]
La défense intervient. Tout d'abord Jacquouille présenta un alibi indémontable, je cite « J’accepte pas cette accusation, je suis même pas revenue au kot ». Une affirmation glaçante car tout le monde savait ce qui allait suivre. Échec et mat pour Messie, elle était la seule coupable restante. Ce coup du berger envoyé par Jacquouille provoqua du bruit dans l'assemblée et Le Panz conclu l'affaire en accusant Messie de «La sans vergogne ».
Cette dernière s'est aussi défendue. En effet, elle s'est exprimée par la suite en avançant une preuve irréfutable. « C'est ap moi » dit-elle au jury. Visiblement Le Panz n'était pas convaincu. Il faut dire que ce dernier a conclu une affaire en 5 minutes en accusant une personne avant même qu'elle ait le temps de se défendre. Selon certains, c'est une erreur et une preuve que c'est un jury impulsif et démoniaque. Pour d'autres, c'est une preuve d'efficacité. Quoi qu'il en soit, tout citoyen de la kapisterie est en droit de se demander si le Zymokot ne serait pas, en réalité, un projet à but dictatorial porté par Le Panz. En effet, cette bataille a certainement terni à jamais son image bienveillante et chaleureuse en montrant son manque d'impartialité et de recul dans ses jugements.
Ce combat juridique aurait pu en rester là mais Beber arriva dans l'équation avec une auto-poucave. Elle rentra dans la salle en disant "Wesh j'ai mangé un peu des restes mais pas que du fromage".
Quelle erreur. Le commandant Brychax, pourtant connu comme quelqu'un de calme et reposé, hurla « trahisoooon ! » La foule n'attendit pas pour suivre les hurlements de l'homme enragé.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là ! Kwak profita de l'occasion pour mettre en place une vaste propagande de désinformation et de diffamation à l'encontre du Front pour la justice du Gratin. Il alla jusqu'à crier : « Dictateur !! » à l'encontre du Panz, prenant ainsi part, de facto, au camp des Forces alliées de la diffamation.
Faits divers[modifier | modifier le code]
Le grand Kwak a, le jour de la bataille, rêvé être passé au kot pour prendre part au combat pour la justice. Cela n'était malheureusement qu'un songe.
Causes probables de l'évènement[modifier | modifier le code]
Stress et manque de sommeil[modifier | modifier le code]
Cette bataille prend place durant le blocus, période d'étude avant les examens de fin d'année liée à une augmentation du stress et une baisse de la qualité du sommeil chez les étudiants [1]. Le stress et la fatigue étant directement liés à la propension à l'agression entre pairs universitaires[2], il semble cohérent de citer ces facteurs comme explicatifs du conflit.
Sources et références[modifier | modifier le code]
- (en) Matthias Zunhammer, Peter Eichhammer et Volker Busch, « Sleep Quality during Exam Stress: The Role of Alcohol, Caffeine and Nicotine », PLOS ONE, vol. 9, no 10, , e109490 (ISSN 1932-6203, PMID 25279939, PMCID PMC4184882, DOI 10.1371/journal.pone.0109490, lire en ligne, consulté le )
- (en) Eric R. Dahlen, Katherine A. Czar, Emily Prather et Christy Dyess, « Relational Aggression and Victimization in College Students », Journal of College Student Development, vol. 54, no 2, , p. 140–154 (ISSN 1543-3382, DOI 10.1353/csd.2013.0021, lire en ligne, consulté le )