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Utilisateur:Sohaib Kaidali/Brouillon

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Margaret (Peggy) Grant[modifier | modifier le code]

Margaret (Peggy) Grant est une romancière et traductrice, reconnue pour son œuvre complexe et profonde. Née en 1945 à Tobermory, sur l'île de Mull, elle a marqué la littérature contemporaine par sa maîtrise des langues et ses réflexions philosophiques au cœur de ses romans.

Début[modifier | modifier le code]

Margaret Grant a grandi à Tobermory, imprégnée de l'héritage écossais de sa mère et des racines africaines de son père. Son engagement précoce envers la littérature a été éveillé dès son plus jeune âge, stimulé par des parents cultivés et un environnement familial diversifié.

Après avoir obtenu son baccalauréat et sa maîtrise en littérature à l'Université de St. Andrews, Margaret a élargi son champ d'études en obtenant un doctorat en traduction à l'Université d'Édimbourg.

Son parcours littéraire a débuté avec le succès de son premier roman, "Astrale", en 1977, honoré par les Donald Meek Awards. Depuis lors, elle n'a cessé de captiver les lecteurs avec des œuvres telles que "Dotterel" et "Daughters of Cailleach."

Biographie[modifier | modifier le code]

Margaret Grant a vécu à Tobermory jusqu'en 2006, date à laquelle elle a déménagé vers Kyle of Lochalsh, où elle réside depuis près de seize ans. Elle a également partagé son expertise en enseignant à l'Université d'Ottawa pendant trois ans, contribuant ainsi au développement littéraire de la communauté gatinoise.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Elle épouse Emmett MacLean en 1966. Ils ont eu un fils: Bruno MacLean, né en 1971, décédé en 2010.

Engagement et Mode de Vie[modifier | modifier le code]

En plus de son travail littéraire, Margaret Grant est une militante végane, reflétant son engagement envers des choix de vie respectueux de l'environnement. Elle a coécrit un livre de recettes véganes avec son mari, démontrant son intérêt pour la nutrition et la créativité culinaire. Elle y partage des recettes écossaises comme une recette de porridge.

Œuvre littéraire[modifier | modifier le code]

  • Astrale (1977, Donald Meek Awards)
  • Dotterel (1983)
  • Cuirm Marbhtach (1996)
  • Macdui (1995)
  • Dayghters of Cailleach (2003)
  • Dreich (2010)
  • Show must go on (2021)

Résumés et Analyses[modifier | modifier le code]

  • Astrale (1977) - Premier roman de Margaret Grant, honoré par les Donald Meek Awards, explore les thèmes de la mystique et de l'inexpliqué.
  • Dotterel (1983) - Surnommé "Dance of Words", ce roman a remporté la reconnaissance de la Satire Society pour son exploration novatrice de la fiction.
  • Cuirm Marbhtach (1996) - Une plongée dans l'univers des traditions funéraires écossaises, alliant réalisme et symbolisme.
  • Macdui (1995) - Un récit captivant, mêlant l'héritage écossais de l'autrice à des éléments de mystère et d'aventure.
  • Dayghters of Cailleach (2003) - Mettant en lumière les femmes puissantes de la mythologie celtique, ce livre offre une perspective unique sur la féminité.
  • Dreich (2010) - Ce roman explore les thèmes du mystère et de la libération.
  • Show Must Go On (2021) - Ce roman explore la suite des évènements après la triste perte de son enfant.

Show must go on[modifier | modifier le code]

Son dernier livre, Show Must Go On, est publié en lien avec la mort tragique de son fils unique, Bruno. En effet, elle souligne à sa manière complexe et profonde le déroulement douloureux suivant le décès de son garçon. Dans son déroulement, on compte notamment son deuil à faire, le retour à ses activités quotidiennes ainsi que la quête à retrouver du plaisir à faire ses passions comme la lecture et l’écriture. Elle souligne aussi la solitude ressentie pendant le temps des fêtes par elle et son mari après avoir perdu son fils.

Origines[modifier | modifier le code]

Les origines diverses de Margaret Grant, liées à un mouvement d'immigrants, ajoutent une couche supplémentaire à son identité complexe. Son arbre généalogique révèle des liens familiaux avec l'acteur Ryan Gosling, un cousin éloigné qui partage sa passion pour les arts. En effet, ses origines remontent au mouvement migratoire de 1791 à 1840 au Royaume-Uni. La pauvreté, le chômage, la surpopulation des campagnes, les mauvaises récoltes et les épidémies auraient causé ces mouvements migratoires et du fait même la migration éloignée d’une tante lointaine de Margaret Grant. Cette ancêtre aurait immigré au Bas-Canada, et sa progéniture aurait ensuite donné naissance à Ryan Gosling, environ 175 ans plus tard. Cette dame serait nommée Anne Smith[1](née en 1807).

Influences[modifier | modifier le code]

Grant révèle dans un interview qu’elle s’inspire depuis sa jeunesse de l'auteure Félicité Angers. Ayant lu ses ouvrages dès un jeune âge sous son nom de plume Laure Conan, elle ouvre la porte de l’écriture pour Margaret.

Grant dit également avoir toujours été fasciné par la culture folklorique écossaise: thème récurrent dans ses ouvrages. Elle s'inspire continuellement de légendes traditionnelles écossaises et de l'histoire du pays pour écrire ses œuvres. Comme l'écrivaine écossaise Nan Shepherd qui a influencé sa représentation du territoire des Highlands dans ses livres.

Médias sociaux[modifier | modifier le code]

Grant n’est pas une femme des réseaux sociaux. À la sortie de Show Must Go On, elle dévoile publiquement qu’elle ne détient aucun réseau social et ne compte pas en créer pour garder la vie privée de sa famille. “Trop de questions intimes sont abordées quand on est caché derrière son écran. Je ne veux pas ça dans ma vie.”

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

  1. « Généalogie de Ryan Thomas Gosling », sur Geneanet (consulté le )