Utilisateur:Ruyblas13/Cygnus X-3

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Le système binaire émet des neutrinos[1]. Ce phénomène, à l'instar de l'émission de rayons gamma, est lié à une interaction proton-proton[1]. Le flux nécessaire à , enregistré par les observatoires spatiaux AGILE et Fermi-LAT, est d'environ 10 × 1037 erg/s[1]. Cette valeur de flux est en correlation avec la magnitude bolométrique moyenne de Cygnus X-3 lorsque son corps compact est en état d'hyper-stabilité[1].


Re microquasar ém. gamma rays : http://www.alpes.cnrs.fr/UserFiles/File/15medias/CP/novembre2009/CP_LAOG_microquasars-nov09.pdf

disque d'accrétion
https://inis.iaea.org/search/search.aspx?orig_q=RN:8339285 ; https://www.nature.com/articles/268420a0 ; https://hal.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/499516/filename/cerutti10.ps ; https://www.aanda.org/articles/aa/pdf/2002/09/aadk192.pdf
  • (en) Geldzahler, B. J. et Johnston, K. J. auteur3 = Spencer J. H., « The 1982 September radio outburst of Cygnus X-3 - Evidence for jetlike emission expanding at not less than about at 0.35 C », Astrophysical Journal, vol. 273, {{Article}} : paramètre « date » manquant, p. 65 à 69 (ISSN 0004-637X, lire en ligne, consulté le ). -> histo obs émission radio 1982
  • mémo : cc commons 3 ici : Sinitsyna">(en) G. V. Sinitsyna et V. Y. Sinitsyna, « Long-term studies of the Cygnus Region and its objects: Cyg X-3 and γCygni SNR », Journal of Physics: Conference Series, vol. 718, no 5,‎ (DOI 10.1088/1742-6596/718/5/052040, lire en ligne, consulté le ).</
  • https://books.google.fr/books?id=pYXkBwAAQBAJ&pg=PA342 &lpg=PA353&dq=cygnus+x3+1985&source=bl&ots=VgY4aRabAl&sig=ACfU3U3yDdRF8h04tQmvh7bpH6d37xULcw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj35bTpoc3hAhVj1uAKHeSPDSAQ6AEwCXoECAcQAQ#v=onepage&q=cygnus%20x3%201985&f=false 1967

Cygnus X-3
Halo des rayons X émis par Cygnus X-3.
Halo des rayons X émis par Cygnus X-3.
Données d’observation
(Époque J2000.0)
Type de binaire X Binaire X à forte masse
Ascension droite (α) 20h 32m 25,78s
Déclinaison (δ) +40° 57′ 27,9″
Distance ~24 000[2] al
(~7000[3] pc)
Constellation Cygne

Localisation dans la constellation : Cygne

(Voir situation dans la constellation : Cygne)
Objet compact
Type Trou noir stellaire à faible masse ou étoile à neutron[4] ou microquasar[5] hum.
Masse ~2,4[4][6] M
Étoile
Type spectral WN 4-6[7]
Masse 8-14[7] M
Magnitude apparente (V) 13,192[8]
Magnitude absolue −4,5[7]
Nom V1521 Cyg[8]
Orbite
Période 4,8[6],[9],[10] h
Découverte
Date 1966[9],[10],[11]

Cygnus X-3, ou Cyg X-3[12] et V1521 Cyg[8], est une binaire X à forte masse localisée dans la constellation du Cygne. Cette étoile binaire est découverte en 1966[11],[9] et son spectre est identifié par ballon stratosphérique en 1968[6],[13].

La période de Cygnus X-3, d'une durée de 4,8 heures, est déterminée en 1972 grâce au données recueillies par le télescope spatial Copernicus[9],[10],[11].

L'étoile binaire Cygnus X-3 comporte un objet compact qui peut être un trou noir à faible masse ou étoile à neutron[4] ou un microquasar[5]. Seuls les rayons X et gamma de l'objet astrophysique sont observables[6],[11],[13]. Cyg X-3 peut-être également classée dans le groupe des étoiles Wolf-Rayet, à l'instar de WN 4-6[7].


Historique[modifier | modifier le code]

Découverte[modifier | modifier le code]

Recherches[modifier | modifier le code]

Distance et localisation[modifier | modifier le code]

Cygnus X-3 est située à proximité (ou derrière) du complexe Cygnus X|Cygnus X, une région faisant partie de la constellation du Cygne[14]. Elle se place dans la direction de l'association stellaire Cygnus OB2 (en), à une distance de 1 700 pc[15],[16]. L'étoile binaire, selon les estimations, se trouve à une distance d'environ 9 000 pc, à 7,2 kpc ou entre 7,4 et 10,2±1,2 ± 1,1 kpc de la Terre[15],[16],[17].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Formation[modifier | modifier le code]

Émission des rayon X et gamma[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Sahakyan
  2. Serge Brunier, « Cygnus X-3 ou le cycle des étoiles sur une seule image », Science et Vie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. G. Dubus, B. Cerutti et G. Henri, « The relativistic jet of Cygnus X-3 in gamma rays », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, arXiv,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  4. a b et c (en) Andrzej A. Zdziarski, Joanna Mikołajewska et Krzysztof Belczynski, « Cyg X-3: a low-mass black hole or a neutron star », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, arXiv,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  5. a et b (en) Michael McCollough, Karri I. I. Koljonen et Diana Carina Hannikainen, « The X-Ray/Radio/Flaring Properties of Cygnus X-3 », dans 7th AGILE Workshop : The Bright γ-ray Sky - Frascati (Rome) 29 September - 1 October 2009,‎ (lire en ligne).
  6. a b c et d (en) Linnea Hjalmarsdotter, « The X-ray behaviour of Cygnus X-3 », publications de l'Institut de l'Observatoire de Stockholm,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  7. a b c et d (en) K. I. I. Koljonen et T. J. Maccarone, « Gemini/GNIRS infrared spectroscopy of the Wolf-Rayet stellar wind in Cygnus X–3 », High Energy Astrophysical Phenomena, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  8. a b et c (en) Ruyblas13/Cygnus X-3 sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg..
  9. a b c et d (en) Simon Mitton, « Cygnus X-3 : dying swann or vigoreous phoenix? », New Scientist,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. a b et c (en) David Leverington, chap. 12 « A Period of Rapid Growth », dans New Cosmic Horizons : Space Astronomy from the V2 to the Hubble Space Telescope, Cambridge University Press, 507 p. (lire en ligne).
  11. a b c et d (en) France Anne-Dominic Cordova, « Cygnus X-3 and the Case for Simultaneous Multifrequency Observations », LOS ALAMOS SCIENCE,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  12. (en) Lawrence H. Aller (dir.), chap. 12 « High-Energy Astronomy », dans Atoms, Stars, and Nebulae, Cambridge University Press, , 366 p. (lire en ligne).
  13. a et b (en) Laurence E. Peterson, « Properties of Individual X-Ray sources », dans L. Gratton, Non-Solar X- and Gamma-Ray Astronomy, Springer Science & Business Media, , 436 p. (lire en ligne).
  14. [1]
  15. a et b (en) Zhixing Ling, Shuang Nan Zhang et Shichao Tang, « Determining the Distance of Cyg X-3 with its X-ray Dust Scattering Halo », Astrophysical Journal Letters,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  16. a et b (en) J. Martí, D. Pérez-Ramírez et P. Luque-Escamilla, « The search for hot spots associated with the Cygnus X-3 relativistic jet », dans Josep M. Paredes, Olaf ReimerDiego et F. Torres (dirs.), The Multi-Messenger Approach to High-Energy Gamma-Ray Sources, Springer Science & Business Media, , 544 p. (lire en ligne).
  17. (en) M. L. McCollough, L. Corrales et M. M. Dunham, « Cygnus X-3 : Its Little Friend’s Counterpart, the Distance to Cygnus X-3, and Outflows/Jets », Astrophysical Journal Letters,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

* {{Simbad|id=Cygnus+X-3}}

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