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Utilisateur:MDOUINE/Brouillon

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Introduction

Il était une fois, dans une contrée lointaine perdue au milieu des champs, au cœur de la nature, la majestueuse cité de

Noviant-aux-Près. Elle était située à seulement quelques encablures d’un nombre inimaginable d’autres imposantes cités ultra-urbanisées. Dans cette dernière était notamment né le tristement célèbre Martial Piette, connu notamment pour sa capacité à rester jovial dans les moments les plus difficiles. Le Martial était aussi un Pecord de renommé mondiale qui avait cumulé pas moins de 20 millions de bottes de foins dans sa carrière, qui fut malheureusement très courte. Le Martial était fils de Sandra Bonhomme, plus connue sous le nom de « La Pourfendeuse ». Ce nom lui venait du fait qu’elle avait la capacité de détruire des troncs d’arbre avec la seule force des orteils. Il possédait également un élégant chien répondant au gracieux nom d’Adolf. Ce dernier portait continuellement une armure de cuire bouilli qui fut finalement remplacé par un revêtement en Kevlar. Cette dernière lui servait à résister aux dangereuses aiguilles tirées par le pistolet construit à cet effet par son vicieux maître.


CHAPITRE I

C’était une matinée tranquille, le soleil était radieux et le Martial, comme à son habitude, habité par une joie immense. Après quelques heures de travaux dans la ferme familiale, il prit la décision d’aller promener le jeune Adolf qui ne tenait plus en place. Sur le chemin, il rencontra un individu fort aimable et chaleureux, l’irrésistible Anadouli. Ce dernier eu l’amabilité d’inviter le Martial à une soirée Couscous, dans son humble demeure à Jarville-city. Cette invitation était en fait un piège qui avait pour unique but de livrer le Martial à la pègre locale, alors dirigée par l’ignoble prince du crime : Don Daniel Le martial, fort étonné par cette invitation, ne put décliner l’offre et se précipita dans le piège tendu par Anadouli. L’heure approchait, et le Martial était de plus en plus impatient de retrouver Mohamed. Il se rendit donc à Jarville-city où il fut accueilli sous le feu des projecteurs. Il entra alors dans une immense salle de réception ne mesurant pas moins de 9m2 dans laquelle l’attendait les autres invités. On pouvait donc y retrouvait tous les individus les populaires du secteur tel qu’Hubert l’inflexible, Philippe à la mâchoire carnassier, Patrick le PDG de VKPindustries, Belloulid un touriste parmi les meilleurs, Jean-Paul un gymnaste pouvant de son dos effectuer une voute de 3200, Pierre, le grand champion d’arts martiaux aux fréquentations douteuses, et bien sur le baron du crime Don Daniel lui-même. Le repas suivait son cours et se déroulait sans accro quand tout à coup, un individu à la silhouette atypique fit son apparition et ligota le Martial. Ce dernier prit peur et hurla de toute ses forces le nom de sa mère. Le kidnappeur quant à lui n’était autre que Luc, un ancien parachutiste reconverti dans le secteur de la drogue et du meurtre gratuit. Après un bref échange, Don Daniel donna l’ordre d’emmener le Martial sur la jetée, où, après avoir été assassiné, son corps serait noyé. C’est alors Hubert qui fut chargé de cette mission. Hubert était le dernier représentant de son espèce : les Lamasticots. Il accompagna le Martial sur la jetée depuis laquelle on pouvait notamment apercevoir le sublime Yacht de Daniel. Il pointa alors un 44. Magnum sur la tempe du pauvre Martial effrayé. Alors que le Martial pensait que son heure était venue, Hubert reçu un projectile et fut assommé. Ce projectile était en fait un chewing-gum du Lidl lancé depuis un bâtiment des alentours par le tireur d’élite Schaefer, professionnel dans l’élaboration de guet-apens en tout genre. Le Martial, alors traumatisé par les événements récents, pris la décision de créer un nouveau prototype de pistolet à aiguilles hautement létale. Il se rendit aussi au poste de police où il dénonça le vaste réseau criminel de Don Daniel et tous ses principaux lieutenants. Cette dernière était malheureusement totalement corrompue par un mystérieux mandataire dénommé Bernard Segard, IVedu nom. Le soir même, le Martial fut contacté par un étrange personnage totalement obséquieux qui lui promit de lui enseigner la voie de la déchéance. Le Martial accepta. Le personnage demanda alors au Martial de démarrer un long et périlleux pèlerinage jusque dans un lieu sacré se trouvant au cœur du Lichtenstein.


Chapitre II

Le martial parti à l’aube vers le Lichtenstein. En même temps, Don Daniel eu connaissance du fait qu’Hubert eu échoué sa tâche et décida de l’envoyer dans une de ses mines de sel au Luxembourg où il côtoierait quotidiennement le contremaître Darwin, un personnage sadique et malhonnête qui contrôlait à l’époque toute les transactions liées à la drogue au Cartel de Noviant-aux-Près. Darwin se fit une réputation dans ce domaine à partir du jour où, non sans difficulté, il ne consomma pas moins de 18Kg et demi d’héroïne en quelques secondes seulement. De son coté, Martial approchait De la frontière Luxembourgeoise, là où l’attendait la partie la plus difficile de son dangereux voyage. Il avait pris soin de prendre avec lui son pistolet à aiguilles mais aussi son fidèle compagnon Adolf, particulièrement friand de fusillades. Dès son entré au Luxembourg, il dû faire face à un problème de taille, puisque l’artilleur Fernand l’attendait de pied ferme, équipé de sa grosse Bertha. Fernand avait récupéré cette machine de guerre quelques années auparavant auprès des meilleurs ferrailleurs de la région, les Winterstein. Il avait également fait l’acquisition d’un demi-millier de Shrapnels par le biais de l’un des hommes de main de Don Daniel, le Dr. Sakhri. Le Martial était donc dans une situation délicate et se trouva fort dépourvu quand la bise fut venue. Sous l’émotion, il prit une décision extrêmement risquée qui aurait pu lui couter la vie. Il courut droit vers la Grosse Bertha, suivi de près par son fidèle Adolf, évitant la Hargne des Shrapnels qui s’abattaient sur le champ de bataille. Il atteignit finalement Fernand et le menaça d’envoyer Adolf lui faire la peau s’il ne le laisser pas passer. Fernand fut donc contraint d’accepter et laissa le Martial continuer sa route. Mais, ce dernier avait bien d’autres tours dans sa poche. Le jeune Martial continua sa route et arriva dans la ville de Luxembourg. Pris d’une soif soudaine, il décida de l’étancher en se rendant dans un bar du coin. Pendant qu’il sirotait tranquillement une petite mousse, il surprit deux individus suspects qui parlaient des mines de sel se trouvant quelques kilomètres au nord de Luxembourg. L’un des deux énergumènes prononça le nom de Darwin, et c’est alors que Martial repensa à la promesse qu’il avait faite à son frère Samuel quelques semaines plus tôt. Il prit donc la décision d’aller faire un tour dans ces mines, où il trouverait peut-être de la marchandise de bonne qualité. En arrivant sur place, il aperçut immédiatement une silhouette qui lui était familière. En s’approchant il découvrit avec stupeur que c’était Hubert l’inflexible. Il repensa au moment où ce dernier avait failli lui enlever la vie, mais cette fois-ci ne ressentit pas la peur mais une profonde envie de vengeance. Il dégaina son pistolet à aiguilles et fit feu sur Hubert, qui hurla de douleur sous les projectiles du Martial avant de s’écrouler sur le sol. Il entra ensuite dans les mines. Ces dernières étaient en fait des façades qui cachaient une réalité bien plus triste. Un centre d’échange où circulait librement des tonnes de matières psychotropes, pour le plus grand bonheur de Darwin.


Chapitre III

Après avoir visité en détail les mines, le Martial se servit comme il le souhaitait dans l’immense stock de Darwin. Il en profitât également pour expérimenter quelques spécialités locales tel que de l’amphétamine mélangée à du Datura pur. Tout à coup, Darwin qui passait par là, surpris le Martial qui volait sa précieuse marchandise. Devenant furieux devant cette scène, il consomma l’une de ses préparations personnelles pour se calmer, et quelques secondes après seulement, s’écroula exaltant un rire des plus euphoriques. Le Martial saisit l’occasion pour prendre ses jambes à son cou. En quittant la mine, il fit une rencontre des plus inattendue. Anadouli, qui quelques jours plus tôt l’avait livré à Don Daniel, vint lui offrir son aide, présentant comme argument qu’il avait soif de pouvoir et qu’il convoitait la place très privilégiée de Don Daniel. Bien que leurs centres d’intérêts fussent tout à fait différents, ces deux hurluberlus se mirent tout de même d’accord et formèrent une alliance. Ce fut les fondations de ce qui aller plus tard devenir la « Couscoussière Corporation ». La Martial, non peu fière de ce qu’il venait d’accomplir, repris sa route. Il longea les rives de la Moselle lorsque soudain, il aperçu un magnifique navire sillonner le large : C’était le Silent Daniel, un élégant Yacht reconvertit en cuirassé de guerre par Don Daniel lui-même. Le Martial préféra se retirer que d’affronter un tel engin. Ainsi, il eu l’idée de chevaucher Adolf et cette brillante idée lui permis de gagner un temps précieux, de la sorte que, cinq jours plus tard, il fut arrivé au cœur du Lichtenstein. Très vite, il fit connaissance des autochtones locales, dont notamment, un certain Victor Jeandel. Ce dernier était plus connu sous le nom du « Commis subliminal », qui lui venait surement du fait que lors de ses humiliations quotidiennes, il savait garder une certaine élégance artistique. Il indiqua le chemin à suivre au Martial pour rencontrer son mystérieux contact et le mis en garde contre une grande menace. En effet dans cette contrée rodait librement un être sanguinaire dont seul le nom suffisait à effrayer la plupart des gens, Le Carpentier. Le Martial le remercia et se mis en route pour la dernière ligne droite qui le conduirait directement chez le mystérieux étranger. Il arriva enfin devant le temple sacré, où l’attendait une immense porte. Il frappa, et attendit quelques secondes. Tout à coup, la porte s’ouvrit, et un atroce personnage en sortit : Le baron Kayser, passer maître dans les arts martiaux et sachant garder son sang-froid en toutes circonstances. Le Martial, sachant qu’il ne faisait pas le poids, pris ses jambes à son cou mais se rendit vite compte qu’un autre problème approchait. En effet, en face de lui était apparu Le Carpentier. Le Martial était donc pris tel un sandwich. Alors que tout semblé perdu, Anadouli apparut équipé de son mondialement célèbre Scénic et renversa les deux énergumènes qui avaient tenté de s’en prendre au Martial. Après l’avoir remercié, le Martial entra finalement dans le temple où il découvrit avec stupeur, que celui qui l’avait convoqué n’était autre que Pichon, un être de lumière étant venu au monde pour apporter la parole divine. Après de brèves présentations, il promit d’enseigner la voie de la déchéance au Martial. Ainsi commença une formation qui allait durer pas moins de six mois. Pendant ce temps, Don Daniel eu connaissance de l’échec du Baron Kayser et donna l’ordre de le défenestrer. Malheureusement, il ne fut jamais retrouvé. Le Baron était en fait parti en exil au Groenland, loin de la juridiction malhonnête de Don Daniel. Le Martial quant à lui, regagna sa grande cité de Noviant-aux-Prés, apportant avec lui toutes les connaissances qu’il avait engrangé durant son périple.


CHAPITRE IV

Pendant un certain temps, le Martial pu vivre une vie tranquille dans sa bourgade, accompagné de Sandra, Samuel et bien sûr, Adolf. Jusqu’au jour où il apprit que Don Daniel avait fixé sur sa tête, une prime exorbitante. Pour garantir sa sécurité, il fut dans l’obligation de créer un conseil composé de toutes ses personnes les plus loyale. Ainsi il convoqua Sandra, Anadouli, Victor Jeandel et Pichon. Ensemble ils ratifièrent un accord et décidèrent de contrer la menace de Don Daniel par la création d’une Corporation ultrapuissante : la Couscoussière Corporation. Il dressèrent son siège social au centre de Montauville-City, sur la Zinsius-Street. Après avoir fait entrer en bourse sa corporation et joué plusieurs coups de poker. Martial pu s’emparer du Cartel de Noviant, au détriment de Don Daniel. Il confia la gestion du Cartel à son frère, Samuel, professionnel dans ce domaine, et nomma Darwin comme expert qualité. Sa corporation prit rapidement de l’ampleur et cela inquiétât fortement Don Daniel, qui, se sentant très menacé, décida d’envoyer l’un de ses meilleurs hommes faire concurrence au Martial. Cet homme ne fut autre que Patrick, alias « Le routier ». Ce dernier était le PDG de la multinationale « VKP industries ». Ce dernier eu la merveilleuse idée de commercialiser du Jambon à prix réduit, comme jamais on en avait vu sur marché. Le jambon était directement produit dans ses usines au Nord-Pas-de-Calais, à partir de Derouins et de Trois-Jambes en tout genre. Le Martial, dépassé par les événements, prit contact avec un expert en mécanique et marketing : Saunier. Etant né de l’union d’une Enduro et d’un Scooter, il avait une connaissance parfaite de la mécanique moderne. Il conseilla au Martial d’équiper des tracteurs de motorisation V12, leur assurant une propulsion optimale et une manufacture généreuse. C’est ce que le Martial fit, et ce fut un succès, à un tel point que VKP tomba en liquidation judiciaire et fut obligé de revendre une grande partie des parts de son entreprise à la Couscoussière Corporation. Don Daniel, fou de rage, ordonna la mise à mort pure et simple du Martial. Mais avant d’envoyer ses assassins d’élite, il engagea un espion des plus redoutable, appelé dans le domaine « l’œil de Noviant ». Son véritable nom était en fait Gidhini. Bien qu’il fût un excellent espion et rapporteur d’informations, il était handicapé de courtes-pattes qui limité très grandement la distance de ses pas. Pendant des semaines, il espionna les activités de la Couscoussière Corporation et plus précisément du Martial. Tous les jours, il faisait un rapport complet à Don Daniel. C’est de cette manière qu’il lui indiqua par exemple que Martial avait accepté de financer un projet de plantation de bananiers à Belleville, proposé par Roger Rabbit lui-même. Un jour, alors qu’il tirait sur ses jambes dans l’espoir de les allonger, il surprit une conversation entre le Martial et Pichon. Le Martial annonça qu’il allait s’absenter pendant quelques jours, le temps d’un entretien avec un potentiel partenaire commercial : le charognard Hoffman. L’œil de Noviant s’empressa de rapporter cette information à Don Daniel qui décida de profiter de cette occasion pour lancer une offensive massive à l’encontre du Martial.


CHAPITRE V

Le Martial partit à l’aube en direction de la résidence de Hoffman. Hoffman était un petit être farfelu parlant couramment allemand bien qu’il eût préféré travailler dans un métier anglophone dont il ne comprenait pas le moindre mot. Il était néanmoins fort sympathique bien qu’un peu loufoque. Le martial arriva à l’heure du soupé. Il fit rencontre avec Hoffman avec qui ils élaborèrent un plan audacieux pour se venger du redouté Têtard et de son acolyte, la pelleteuse, qui avaient eu la cruauté de viré le pauvre Hoffman quelques mois plus tôt pour son manque de maîtrise de la langue anglaise, à laquelle il avait pourtant tant donné. Alors que leur plan touchait au but, la sonnerie retentie. Un être malfaisant s’introduit dans la noble demeure d’Hoffman. Ce dernier n’était autre que Philippe à la mâchoire Carnassier. Ce dernier était un émissaire sanglant agissant dans l’ombre sous les ordres direct de Don Daniel. Il était surtout très impulsif, de la sorte que, lorsque quelqu’un avait la mauvaise idée de frappé à sa porte, il répliqué immédiatement avec un poing dans la figure du contrevenant. Devant sa dégaine chevaleresque, le Martial se sentit plus que jamais en danger et essaya, dans un dernier espoir, de négocier avec Philippe, mais en vain. Le Carnassier se jeta alors sur le Martial qui eu quand même le temps de s’échapper de sa mandibule proéminente et de saisir un marteau piqueur qui trainait par là. Il utilisa alors l’outil pour défoncer les chicots du malandrin une à une. Philippe, ayant perdu la moitié de ses dents, prit finalement la fuite, laissant le Martial reprendre ses activités. Hoffman avait pendant ce temps prit la fuite et restait introuvable. Le Martial pu donc finaliser son plan et repartir dans sa somptueuse cité. Il décida d’appliquer le plan visant à faire tomber le Têtard et la pelleteuse bien que son compagnon ne soit plus là. Le projet consistait à s’introduire dans le repaire des deux écervelés et de les éliminer à l’aide de son précieux pistolet à aiguille auquel Pichon avait apporter une amélioration permettant d’envoyer de l’eau distillée à haute vélocité ; ce qui aurait pour effet de faire accourir une cancéreuse furieuse qui infligerait une sévère correction aux deux ennemis du Martial. Craignant tout de même de subir le courroux dévastateur de ces derniers, il préférât faire appel à l’un de ses anciens compères : William Rambo, un homme de grande envergure connu pour sa dégaine très caractéristique. Une fois que Rambo l’eu rejoint, ils partirent tout deux vers la forteresse du Têtard, un véritable Bastion conçu de manière à résister à toutes les offensives que pourrait lancer le Martial. Mais c’était sans compter sur l’ingéniosité du Martial, qui eut alors une idée fantastique. Il avait quelques jours auparavant entendus parler d’une certaine « Monte-Charges » réputée pour ses cris endiablés capable de détruire des murs en bêton armé de plusieurs mètres d’épaisseur. Il se mis donc en quête de ce « Monte-Charges ». Sa première piste le conduisit chez Mr. Cormo, un aristocrate pouvant tenir des discussions philosophiques très complexe sans grandes difficultés. Ce dernier était propriétaire d’une Dauphinerie où il y élevé donc des Dauphins en tout genres. Il était également doté d’un très fort caractère qui fit d’ailleurs naître une célèbre légende racontant qu’il eut soumis Luc lui-même. Ce dernier affirma au Martial avoir entendu les cris de la créature dans une forêt adjacente. Le Martial le remercia et repartit en chasse. Alors qu’il se promenait dans les bois, alors que le loup n’y est pas ; il entendit un rugissement d’une telle ampleur, qu’il déracina une demi-douzaine d’arbres. Le Martial en était convaincu, il s’agissait bel et bien du « Monte-Charges ».


CHAPITRE VI

Le Martial couru vers la provenance de l’effroyable hurlement, quand tout à coup il dû faire face à une véritable abomination : Devant lui se tenait une créature à l’apparence monstrueuse. Elle possédait non pas un mais cinq mentons qui se suivaient successivement. Elle était vêtue de vêtement tellement laids et inhabituels, que leur inventeur fut condamné à la prison ferme pour les avoir un jour conçu. A ses pieds se tenaient les corps inanimés de ses dernières victimes ; le Martial eu d’ailleurs l’occasion de reconnaître parmi eux, les corps de BigLouche et D’Artagnan. Devant ce spectacle macabre, le Martial pris peur et ne pu s’empêcher de paniquer. Il couru alors dans tout les sens, priant pour qu’un miracle le sorte de cette situation périlleuse. Dans sa course, il fut amené à traverser une voie de chemin de fer. Le « Monte-Charges » qui le suivait de près, envisagea elle aussi de traverser la voie ferrée, et c’est ce qu’elle fit. Mais alors qu’elle était au milieu de celle-ci, une Lucomotive apparue et renversa l’ignoble créature. Le Martial pu alors la mettre en cage. Le lendemain, il lança l’offensive contre la place-forte du Têtard. Il arriva devant d’énormes murs blindés ne demandant qu’à être démolis. Le Martial mis donc le « Monte-Charges » en colère, ce qui eu pour effet de lui faire pousser un rugissement tellement puissant que les murs cédèrent un à un. Il entra donc dans l’édifice accompagné de son fidèle compagnon Rambo. Ensemble, ils réussirent à parvenir jusqu’au bureau où le Têtard et son Acolyte la pelleteuse disputaient un conseil de discipline contre un innocent petit mangeur de cailloux. Le Martial dégaina alors sa nouvelle arme et ouvrit l’eau sur ces deux êtres cruels. Seulement quelques secondes plus tard, une cancéreuse entrait dans la pièce et y défenestra tous les occupants, le mangeur de cailloux et Rambo y compris. Le Martial quant-à-lui, était satisfait, et c’est très souriant qu’il repartit chez lui. Mais à peine était-il arrivé, qu’Anadouli vint lui apporter une bien triste nouvelle : La Sandra Bonhomme avait été enlevée et était retenue en otage par Belloulisme, un des hommes de main de Don Daniel. Ce dernier lui donna rendez-vous au port de plaisance de Noviant-aux-Prés et exigea qu’il vienne seul s’il voulait revoir Sandra en vie. Le Martial, victime d’un profond chagrin, dû accepter l’offre. Il s’y rendit donc et rencontra Belloulisme. Belloulisme était un bien étrange personnage, atteint depuis tout petit de la tourista, ce qui expliquait en partie son caractère calme et détendu. Il détenait Sandra captive et promis de la libérer si Martial se livrait sans résister. Le pauvre Martial, désespéré, accepta. Belloulisme tenu sa parole et libéra Sandra. Il bâillonnât Martial et l’emmena dans un lieu tenu secret. Peu après le Martial se réveilla et aperçu un visage qui lui était familier. Don Daniel était là, assis, fixant droit dans les yeux le Martial sans rien dire. Le Martial comprit que la partie était terminé et qu’il vivait ses derniers instants. Don Daniel afficha un sourire narquois et continua à fixer le Martial. Le Martial, tout de même très intrigué par la situation, en profita pour admirer le lieu dans lequel il se trouvait. C’était une grande salle recouverte d’ornements en or massif auxquels venaient s’ajouter toutes sortes de trophées. De magnifiques tableaux peints par le magnat du crime lui-même venaient également enrichir la décoration de la salle. Don Daniel, quant-à-lui, était assis sur un extravagant trône d’ivoire. Après avoir admirer le Martial sous tous les angles, Don Daniel prit enfin la parole, et questionna le Martial sur ses choix et ses centres d’intérêt pour ensuite lui trouver une orientation qui lui conviendrait. Après quelques brefs échanges, la filière qui semblait convenir le mieux au Martial était Taxidermiste. Soudain, Don Daniel se souvint qu’il n’était pas là pour parler de l’orientation du Martial et qu’il s’était, comme à son habitude, éloigné du sujet.


Chapitre VII

Après s’être mainte fois éloigné du sujet de conversation, et avoir parlementer sur le Luxembourg, les tailleurs de pierre, les bateaux et l’art, Don Daniel en arriva finalement au problème que représentait le Martial et la manière dont ce dernier serait éliminé. Daniel en profita pour récompenser Belloulisme de la prime qui lui était dû pour la capture du tant convoité Martial. Avec cet argent, Belloulisme pu partir faire du tourisme où bon lui semblait. Après avoir aborder le sujet en large et en travers, il fut finalement décider de cryogéniser le Martial et de l’exposé sur le Yacht de Don Daniel, à la vue du monde entier. Le Martial fut donc confié aux soins du Dr. Sakhri. Ce dernier était néanmoins débordé de travail, du fait qu’il devait rédiger sa thèse qui lui permettrait d’accéder au savoir et à la sagesse ultime. Le docteur était donc très préoccupé et ne fit pas attention au fait qu’il avait laisser le Martial sans surveillance dans la salle adjacente. Le Martial pu donc utiliser discrètement le téléphone de Sakhri pour communiquer sa position à Sandra et Adolf qui partirent sans attendre à son secours. Malheureusement, ils arrivèrent trop tard, et le Dr. Sakhri avait déjà fait son œuvre sur le Martial. Sandra, folle de rage, saisit le docteur et lui fracassa le crâne à l’aide d’une truelle posait sur le bureau de ce dernier. Elle eu simplement à mettre de violents coups de boule dans le bloc de glace pour le briser et libérer le Martial. Mais alors qu’ils pensaient pouvoir s’échapper tranquillement. Jean-Paul sortit apparut. Lourdement armé, il obligea le martial, Sandra et Adolf à se rendre une fois de plus. Il les garda captifs dans sa cave pendant des mois, le temps de négocier un prix convenable auprès de Don Daniel. Pendant ce temps, Patrick reprit du service et opposa une concurrence farouche à la Couscoussière Corporation, qui sans son leader à sa tête, ne réussit à se diriger correctement. La domination commerciale de « VKP Industries » fut telle qu’elle s’empara de la Couscoussière Corporation et de tous ses services. La situation était plus chaotique que jamais. Les dirigeants de la Couscoussière Corporation durent se cacher et démarrer une nouvelle vie clandestine, à l’abri de Don Daniel et son organisation. En attendant, le Martial était toujours retenu prisonnier, culpabilisant sur les choix qu’il eut fait antérieurement, et, qui l’avait mené lui et ses proches dans la situation dans laquelle il se trouvait ce jour-là. Le temps s’écoulait inexorablement, et la douleur de l’échec pesait de plus en plus sur les épaules du Martial. Un matin, alors qu’il attendait l’heure du jugement dernier, Jean-Paul vint le chercher, lui annonçant qu’il venait de conclure un marché équitable avec Don Daniel. En effet, il avait échangé le Martial et sa famille contre pas moins de 7000€ de chèques cadeaux de chez « VKP Industries ». Le Martial fut cette fois ci condamné à la peine capitale. Pour l’occasion, Don Daniel convoqua une foule de personnes influentes. L’une d’entre elles fut particulièrement intéressée par l’évènement. Cette dernière n’était autre que Zizou l’Eucalyptus, un jeune homme d’une grande vertu qui n’avait malheureusement pas la capacité d’articuler convenablement. Il n’en resta pas moins très agréable et respectable. L’exécution allait bientôt commencer et les invités se pressèrent pour ne pas manquer le spectacle. Le Martial, sa mère et Adolf furent présentés au public avant d’être mis en place pour subir leur tragique destiné. C’est alors qu’Hubert fit son grand Comeback, ayant plus que jamais une dégaine de Lama, il avait été engagé comme bourreau et était déterminé à prendre sa revanche sur le Martial, qui l’avait mis à mal lors de leur rencontre dans les mines du Luxembourg.


CHAPITRE VIII

Le Martial ne pouvait échapper à son destin. D’une seconde à l’autre, la hache d’Hubert pouvait s’abattre sur la gorge du pauvre pécord et lui enlevé la vie. Hubert prit son temps, pour faire durer le plaisir plus longuement. Il en profita même pour mastiquer un Chewing-gum du Lidl, ce qui lui donnait un peu plus une apparence de Vigogne. Il n’avait pas pris en compte que le Martial avait des alliés fidèles. Et alors que la foule était enflammée, Victor Jeandel fit irruption et rétorqua un rire stupide accompagné d’une gestuelle ridicule, ce qui attira tous les regards sur lui, y comprit celui d’Hubert. Pendant ce temps, Zizou l’Eucalyptus, ayant pitié du pauvre Martial aux portes de la mort, pris la décision de s’allier à celui-ci et profita de la diversion créer par Victor pour délivrer le pécord et prendre la fuite. Quand Hubert s’aperçu de la fuite du captif, il entra dans une colère noire et tenue Victor Jeandel pour responsable. Il saisit son arme et ne fit qu’une bouchée du pauvre commis. En ce triste jour, un grand homme eu perdu la vie ; mais son sacrifice ne fut pas vain puisqu’il avait permis au Martial et sa famille d’échapper une fois de plus à la mort. Ces derniers lui rendirent un hommage et des funérailles digne de ce nom, puisqu’il fut inhumé à St-Barthélémy, aux côtés de l’increvable Johnny. Après ce nouvel échec d’Hubert, Don Daniel dû prendre la décision de se débarrasser de cet incompétent une bonne fois pour toute, estimant qu’il avait déjà eu assez de chances de se racheter. Mais Luc ne fut pas de cet avis, et proposa de lui laisser une dernière chance avant d’envisager de lui laisser une autre chance. Don Daniel accepta, bien que pas très convaincu. Il faut avouer qu’il n’eu pas vraiment le choix puisque plusieurs de ses lieutenants commençaient à manquer, tel que Belloulisme qui avait pris des vacances, ainsi que le Têtard et la pelleteuse qui furent défenestrées quelques mois auparavant. Le Martial avait néanmoins perdu gros, puisque sa corporation appartenait désormais à Patrick. Il dû donc créer un nouveau groupe commercial pour tenir tête à l’empire toujours grandissant de Don Daniel. Ainsi, avec le soutien d’Anadouli, Darwin, Zizou et Pichon, ils fondèrent la filiale « Darwin & Compagnie » ayant pour mascotte le célèbre Toxicomane du même nom. Avec le soutien permanent de Saunier, ils purent mettre en vente des produits toujours plus innovants dont la qualité était bien supérieure à celle des produits « VKP Industries ». C’est d’ailleurs comme ça que le Martial pu reconquérir la fidélité de ses clients. De son côté, Patrick assistait impuissant, à l’effondrement des bénéfices de sa société.


Chapitre IX

Assistant à la chute vertigineuse de l’un de ses principaux coopérateur, Don Daniel se résolut à prendre des mesures drastiques pour en finir définitivement avec le Martial. Il prit donc la décision la plus radicale de sa carrière, et demanda l’envoi d’un peloton d’exécution et l’appui direct de son Yacht de guerre. Cette petite armée était dirigée par Luc en personne. Ce dernier, malgré le fait qu’il en des lunettes, entendait parfaitement bien. Il avait derrière lui un très beau palmarès militaire, puisqu’avant de se ranger du côté de crime, il fut fusiller parachutiste. Ce dernier avait finalement pris la décision de s’orienter vers une carrière plus illicite, sûrement attirer pas l’appât du gain. Et, dans sa décadence, avait croisé la route de Don Daniel qui lui proposa un poste des plus alléchant. Il était d’ailleurs resplendissant, le plus beau de hommes de main de Don Daniel. Il apporter un soin très particulier à sa magnifique chevelure. Alors que Luc et son escouade approchaient de Noviant, Adolf, qui montait la garde, les aperçus et prévint aussitôt le Martial. C’est à ce moment précis que le Martial réalisa que sa toute nouvelle société était menacée. Il ne pu se résigner à la laisser tomber et réussit à convaincre ses amis à défendre jusqu’à la mort le fruit de leur coopération. Ainsi, une cinquantaine de partisans du Martial se dressèrent contre l’envahisseur et mirent en place des défenses impénétrable. Ils bâtirent par exemple d’énormes remparts à base de foin et de bétail. Mais alors qu’ils se sentirent en sécurité à l’intérieur de leur forteresse, une détonation retentie, suivie d’une explosion qui ouvrit une brèche dans l’un des murs. C’était le Yacht-cuirassé de Daniel, sur lequel était monté d’énormes pièces d’artillerie manipulées avec soin par l’artilleur Fernand. Luc et ses hommes se faufilèrent par la brèche et exécutèrent quiconque leur résister. La situation était chaotique et échapper totalement au contrôle du Martial. Pendant ce temps, Zizou téléphona à l’artilleur Fernand et le supplia de cesser le feu. La vérité éclata alors au grand jour : Zizou était en fait le fils caché de Fernand ! Le Martial se rendit compte de cet réalité quelques secondes plus tard, lorsque les tirs de shrapnels cessèrent suite à la demande de l’Eucalyptus. Cette information essentielle troubla alors énormément le Martial qui ne savait plus où donner de la tête. La bataille faisait rage et l’illustre Luc n’éprouva aucune pitié envers la bande du Martial. Les alliés du Martial étaient en net infériorité numérique et se faisaient décimés les uns après les autres. Devant un tel massacre, le Martial n’eu d’autre choix que de prendre un risque réel, et nagea jusqu’au Yacht du magnat du crime. Il monta discrètement à bord et se dirigea vers l’une des batteries d’artillerie. Arrivant devant celle-ci, il dû affronter le regard aiguisé d’un personnage des plus dangereux : L’archiduc Daoudi. Anciennement Vicomte du comté de Belleville, il avait graissé la patte de Don Daniel pour obtenir un statut encore plus avantageux. Le Martial ne l’avait jamais vu en vrai et n’avait entendu que de brèves rumeurs à son sujet. L’Archiduc pointa le Martial de son doigt gracieux, tout en adoptant une posture ambigüe. Le Martial pris son courage à deux mains et chargea ce malotru, qui, surprit par une action aussi fortuite, n’eut le temps d’esquiver et se retrouva éjecter par-dessus-bord.


CHAPITRE X

Le Martial pu donc s’emparer du redoutable canon et fit feu sur les hommes de Luc. Ces derniers périrent sous le feu du Martial ou prirent la fuite. Luc quant à lui, préférait mourir que de laisser le contrôle du Yacht à Martial. Ainsi, il se servit de sa dégaine d’oiseau pour s’envoler jusqu’au Martial et dévoila alors une énorme ceinture d’explosifs surchargée de Nitroglycérine. Tout en hurlant des mots incompréhensibles que seul Zizou pourrait décrypter, il se fit exploser et emporta avec lui le Yacht de Don Daniel. Le Martial quant à lui, avait eu le temps de plonger et échappa in extremis à la déflagration. Quand Don Daniel apprit l’échec de Luc, et vit ce qui restait de l’épave de son Yacht, il entra dans une rage incontrôlable : c’en était trop, il allait s’occuper du Martial en personne. Il envoya donc l’œil de Noviant capturé Anadouli et donna rendez-vous au Martial dans l’usine de St-Gobain où ils livreraient le dernier des combats sous la chaleur de la fonte en fusion. Le Martial ne pris pas cette rencontre à la légère et convoqua ses camarades les plus dévoués. Ensemble ils se rendirent dans l’antre du démon. La tension était palpable et le Martial ne savait à quoi s’attendre. Ils arrivèrent enfin devant l’entrée principale. Après avoir décliné leur identité, le portail s’ouvrit et ils arrivèrent directement au cœur des haut-fourneaux. Quelques mètres plus haut, Don Daniel les observait depuis une passerelle qui surplombait une immense cuve de fonte en fusion. Il invita le Martial à le rejoindre pour en finir d’homme à homme. Le Martial, ne voulant perdre sa dignité et sa réputation durement acquises accepta et monta sur cette même passerelle. Enfin, ils allaient pouvoir en découdre. Le Martial n’était qu’a quelques mètres du prince du crime. Il pouvait ressentir la haine qu’éprouvait Don Daniel. Après un bref échange de regard, ils en vinrent aux poings. Et alors, dans un combat d’une virilité excessive, la violence de chaque coup acéré résonnait tels les cris déchainés d’un « Monte-Charges » contrarié. Un seul allait sortir vivant de cet affrontement frénétique. En-dessous, les collègues de Martial furent agressés par les lieutenants du clan Daniel. C’est ainsi qu’un combat sans précédent allait avoir lieu. Philippe et sa mâchoire Carnassier, Jean-Paul, Patrick et Hubert entamèrent le combat face à Sandra, Adolf, Darwin, Zizou, Pichon et Rambo. Après un combat acharné de plusieurs semaines, les compagnons de Martial réussirent tant bien que mal à se débarrasser de leurs assaillants. Ils avaient néanmoins subi de terribles blessures. Le pauvre Zizou par exemple, dû être évacué d’urgence pour subir des sois intensifs. La lutte acharnée qui opposée le Martial à Don Daniel continuait toujours et aucun des deux adversaires ne semblait prendre l’avantage. Dans une dernière tentative désespérée, le Martial imita la charge qui lui avait permis de venir à bout de l’Archiduc Daoudi. Hélas Don Daniel était un combattant expérimenté et réussit à parer sans la moindre difficulté l’attaque du Martial. Il le saisit par le col et le plaqua contre la barrière de sécurité, à moitié au-dessus de la cuve de fonte bouillante. Le Martial se débattait comme il le pu, mais cela ne mena à rien. Don Daniel était bien trop fort. Alors que Daniel s’apprêtait à lâcher le Martial dans le métal en fusion, Adolf vint soudain à son secours et agrippa fermement le criminel. Ce dernier, prit de panique, perdit tout contrôle de ses mouvements et chuta accidentellement dans la cuve où il avait entrepris de jeter le Martial. Le Martial était sauf, et la domination tyrannique de Don Daniel s’achevait enfin. Quelques semaines plus tard, la vie reprit sa cour. Anadouli devint le nouveau dirigeant de l’ancien empire criminel de Don Daniel. Zizou ouvrit une agence de télécommunication bon marché. Darwin devint président et légalisa le commerce de la drogue. Pichon prit des cours de rasage pour éviter d’avoir à porter un pensement ridicule au milieu de sa barbe. Les lieutenants de Don Daniel écopèrent d’une peine de prison à perpétuité. Et le Martial ainsi que sa famille reprirent leur vie d’avant dans la mégalopole Noviantaise. C’est ainsi que s’achève la fantastique épopée du Martial des près.


A la mémoire de Lucie Wahu…



Editions VKP 14, rue du Martial des près, PAM www.VKPindustries.com

EFM/01 : ©Deleys Sandwich Antonin, 2018, pour le texte ©VKPindustries, 2018, pour l’édition française [[Catégorie:Roman]] [[Catégorie:Fantastique]] [[Catégorie:Fable]] [[Catégorie:Poème]] {{DEFAULTSORT:L’épopée fantastique de martial, le bourreau des cœurs}}