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le film de ken Loach décrit différent aspect de la fracture numérique
- l'injonction faites par l'administration d'utiliser internet et les ordinateur "internet par défaut" pour déposer ces demande d'allocation, alors que l'utilisateur déclare utiliser "un stylo par défaut.
- l'absence d'aide de l'administration
- l'aide entre utilisateurs
- la perte de temps lors de la fermeture d'une session si le temps écoulé est trop long
- la contrainte de rechercher des emploies en utilisant le site internet de l'agence
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Josephine English
De Wikipedia
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Josephine English était une gynécologue américaine qui a été la première femme noire à ouvrir un cabinet privé à New York . Elle était également connue pour son travail dans l'immobilier et les soins de santé , en plus de sa philanthropie envers les arts. Sa pratique a été compromise en 1995 en raison de problèmes financiers avec le centre médical d'Adelphi. [1] Plusieurs de ses établissements ont risqué la saisie et manqué de fonds de réparation. [2] [3] https://www.saltyfeatures.com/about/
Adoption des outils de réseau social
L'usage des RSE se développe rapidement mais leur adoption par les utilisateurs est variable et le nombre de contributeur actif est parfois faible[1]. L'utilisation professionnelle des réseaux sociaux est en effet bien différentes de l'utilisations personnelle qui c'est largement développé avec Facebook, Twitter ou Snapchat. La sociologue Camille ImIhoff relève: "l’Esprit d’initiative individuelle requis par la pratique de l’outil est menacé par le lien de subordination salarial" et "l’enjeu d’une production collective auto-organisée, d’une technologie décentralisée est mis à mal par l’organisation hiérarchique"[2]. D'autres raisons expliquent la difficulté du développement de ces pratiques collaboratives: la surcharge informationnelle mais aussi la crainte du jugement ou de la surveillance. Au sein d'une organisation, le réseau social a besoin d’un cadre de confiance renouvelé et adapté à ces nouveaux outils numériques[1].
L'usage des RSE se développe rapidement mais leur adoption est variable et le nombre de contributeur actif est parfois faible[3]. L'utilisation professionnelle des réseaux sociaux est en effet bien différentes de l'utilisations personnelle qui c'est largement développer avec Facebook, Twitter ou Snapchat. La sociologue Camille ImIhoff relève: "l’Esprit d’initiative individuelle requis par la pratique de l’outil est menacé par le lien de subordination salarial." et "l’enjeu d’une production collective auto-organisée, d’une technologie décentralisée est mis à mal par l’organisation hiérarchique"[4]. D'autre raison explique la difficulté du develeppement de ces pratique collavborative: la surcharge informationnelle mais aussi La crainte du jugement ou de la surveillance. Au sein d'une organisations, le réseau social a besoin d’un cadre de confiance renouvelé et adapté à ces nouveaux outils numériques[3].
Un environnement numérique de travail (ou digital workplace en anglais) est un ensemble de technologies permettant à un professionnel d'accéder à toutes ses informations de travail, de communiquer et de collaborer sur ces projets et activités. L'environnement numérique de travail intègre généralement un moteur de recherche, une gestion documentaire et un réseau social d'entreprise[5].
La social collaboration permettrait aussi de réduire les coûts de communication et de déplacement de 10 à 15%.
https://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/la-mode-des-reseaux-sociaux-d-entreprise_1834288.html
Mobilité
[modifier | modifier le code]L'environnement numérique de travail doit prendre en compte deux types d'usages:
- Les pratiques bureautiques: publications de documents de travail conséquents, échanges structurés, gestion de projet complexe...
- Les pratiques mobiles: information rapide, notifications, chat, lecture de veille, annotation ou commentaire sur le corps d’un document, coordination en équipe...[6]
Le baromètre "Digital workplace 2018" mesure la perception et l'évolution de l'environnement numérique de travail. Cette enquête est réalisée par l'IFOP auprès de plus de 1015 collaborateurs dont 300 millenials (nés entre 1983-2000)[7]. Selon cette enquête, 35 % des collaborateurs sont équipés en PC portables et téléphones mobiles[8].
Interopérabilité
[modifier | modifier le code]La multiplication des applications et des équipements est un frein au développement d'un environnement numérique de travail cohérent. La qualité des réseaux est aussi un facteur important pour l'utilisation de ces outils dans le cadre professionnel[8]. Afin de permettre une transformation durable des méthode de travail, l’interopérabilité des données doit être garanti par un système d'information facilitant les dialogue entre les applications[9].
Adaptation aux différents secteurs d'activité
[modifier | modifier le code]La transformation numérique touche l'ensemble des secteurs d'activité et l'environnement numérique de travail doit s'adapter au contexte professionnel. Dans le domaine industriel par exemple, l'implémentation d'écran tactile dans les ateliers, l'avénement de la 3D et de la réalité virtuelle nécessite de nouvelles compétences [10][11].
Dans le domaine de l'éducation, le terme environnement numérique de travail ou espace numérique de travail (ENT) est aussi utilisé pour désigner l'ensemble des outils numériques utilisés pour l'enseignement.
L'informatisation des procédures judiciaires nécessite de mettre en place la traçabilité de la communication et la simplification du processus de signature. "Le juge a ses habitudes et il a besoin d’avoir tout devant lui. Le vrai défi est de trouver l’environnement informatique qui lui permettra de continuer à faire tout ce qu’il fait actuellement sur papier"[12].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Pralong, J., « Mode collaboratif ou collaboratif à la mode ? Pourquoi les réseaux sociaux d’entreprise peinent encore à développer des comportements collaboratifs », IGS-RH, Rapport de l’école de management des ressources humaines, (lire en ligne)
- Camille Imhoff, Penser la collaboration dans les organisations à partir des communautés virtuelles sur le réseau social d’entreprise, Conservatoire national des arts et metiers - CNAM, (lire en ligne), p. 107
- Pralong, J., « Mode collaboratif ou collaboratif à la mode ? Pourquoi les réseaux sociaux d’entreprise peinent encore à développer des comportements collaboratifs », IGS-RH, Rapport de l’école de management des ressources humaines, (lire en ligne)
- Camille Imhoff, Penser la collaboration dans les organisations à partir des communautés virtuelles sur le réseau social d’entreprise, Conservatoire national des arts et metiers - CNAM, (lire en ligne), p. 107
- « Comprendre ce qu'est une digital workplace en 6 questions », journaldunet.com, (lire en ligne, consulté le )
- Les nouveaux environnements de travail numériques Tome 7, Lecko -, (lire en ligne), p. 145
- « Baromètre Digital Workplace 2018 »,
- « Transformation digitale : les Français souhaitent être mieux accompagnés », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le )
- Etat de l’art de la transformation interne des organisations, Lecko, (lire en ligne), p. 44
- « La réalité virtuelle s’immisce dans la production industrielle », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- L'Usine Nouvelle, « [Tribune] Valoriser et transformer notre savoir-faire industriel pour répondre aux besoins de l’usine du futur - Numerique », usinenouvelle.com/, (lire en ligne, consulté le )
- « La justice prépare sa mue numérique », Le Temps, (lire en ligne, consulté le )
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Où va le travail à l’ère du numérique ? Auteur: Jean-Luc Metzger. Éditeur: Presses des Mines via OpenEdition, 2013 (ISBN 2356710884 et 9782356710888) - 274 pages
- Perspectives de l'économie numérique de l'OCDE 2017 Auteur: Collectif. Éditeur: OECD, 2018. (ISBN 9264282491 et 9789264282490) - 376 pages
- Quand travailler, c’est s’organiser: La multi-activité à l’ère numérique. Auteurs: Gérald Gaglio, Caroline Datchary, Alexandra Bidet. Éditeur: Presses des Mines via OpenEdition, 2017. (ISBN 2356714812 et 9782356714817). 222 pages
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Collaboratif info: Revue professionnelle des pratiques collaborative {{Portail|entreprise|Sciences de l'information et des bibliothèques|informatique}} [[Catégorie:Intranet|Sécurité du réseau informatique]]
Ida Holz, née à Montevideo, en 1935) est une informaticienne uruguayenne, pionnière dans le domaine de l'informatique et d'internet.
Biographie
[modifier | modifier le code]Issu d'une famille Juive d'origine polonaise, elle a habité avec sa famille entre 18 et 22 ans sont allés en Israël. 2
À son retour en Uruguay, elle souhaitait étudier l'architecture , il ne pouvait pas faire parce qu'il a travaillé pendant la journée, et a commencé à enseigner les mathématiques à l' Institut des professeurs Artigas . Là, son professeur de logique mathématique invité à présenter un cours offert par l'Université de la République dans le domaine de l' informatique. 3
Au début des années 70, Ida Holz fait partie de la première génération d'étudiants uruguayens dans l' informatique, formés par de l' Université de la République. 4
En 1964 , il épouse l'artiste Anhelo Hernandez. En 1976 , ils partent en exil au Mexique. Durant cette période, Holz travaillé à la Direction générale de la politique économique et sociale, puis à l'Institut national de la statistique 5
Après son retour en Uruguay, en 1986 , elle est nommée directrice du service informatique de l'Université de la République. De cette position, Ida Holz a dirigé le développement de l' Internet en Uruguay depuis les début des années 90 Depuis lors et jusqu'à aujourd'hui, a joué un important rôle dans le développement et l' évolution des TIC dans le rôle Uruguay. Depuis 2005 , siège également au conseil d'administration de l'Agence pour la société de l' information de l' Uruguay ( AGESIC ). Il a également été l' un des promoteurs du plan Ceibal .
Holz est reconnu pour être qui se sont opposés à une conférence à Rio de Janeiro en 1991 aux États-Unis et en Europe a imposé ses autorités en Amérique latine dans le réseau mondial émergent. 5
Sous sa direction, en 1994 , le Seciu installé le premier noeud de l' Internet en Uruguay. 6
Prix et distinctions [ code d'édition · modifier ] Il a gagné le Lifetime Achievement Award 2009, décerné par le Registre des adresses Internet pour l' Amérique latine et les Caraïbes ( LACNIC ) et les AGESIC qui ont contribué à l' élaboration continue de l' Internet. 7
En 2013 , il a été la première femme latino - américaine d'entrer dans le Hall of Fame de l' Internet Society , une initiative qui honore les personnes qui ont été importants pour le développement et le renforcement de l' Internet. 8 9 Octobre Novembre La National Administration postale a publié dédié à l'Uruguayen juif scientifique Ida Holz en 2015 phoques.
Un des soi - disant «pères de l' Internet" Vint Cerf , a demandé s'il y avait une "mère de l' Internet , " a noté:
"Oui, il y a une mère de l'internet. Et appelé Ida Holz" Vint Cerf , 2015. Décembre 12 Ida Holz
Au début des années 1990, Ida Holz collaborer a contribue à la créations des premiers réseaux qui sont devenu l'Internet en Amérique latine.
Elle a joué un rôle de premier plan dans la construction du Latin American Network Forum (Forum des Réseaux latino-américain), le registre d'adresses Internet Amérique latine et Caraïbes, l'organisation des ccTLD Amérique latine et Caraïbes et de l'Amérique latine coopérative des réseaux avancés (RedCLARA).
Depuis plus de 20 ans, jusqu'en 2011, elle a dirigé des services informatiques à l'Université centrale de l'Uruguay de la République; C'est sous sa direction que l'université a installé le premier noeud de l'Internet en Uruguay.
Plus récemment, elle a coordonné l'Uruguayen Advanced Network. Dans ce rôle, Mme Holz supervise le développement et le maintien de la connectivité entre les établissements universitaires et de recherche dans tout le pays.
Depuis 2012, elle est présidente de la commission de la directive RedCLARA, le réseau Internet de pointe mis en place pour l'interconnexion en Amérique latine, également liée à GÉANT2 et Internet 2 (les réseaux USA avancés pan-européen).
Elle est membre du conseil d'administration de l'Agence pour le développement de la gouvernance électronique et la société de l'information, et est membre du comité de programme de Ceibal Center (Programme enfant One-Computer-per-).
In the early 1990s, Ida Holz helped lead the group of computing pioneers whose efforts resulted in the development of the first networks of what has become the Internet in Latin America.
She played a leading role in the construction of the , the Latin American and Caribbean Internet Address Registry, the organization of Latin American and Caribbean ccTLDs and the Latin American Cooperative of Advanced Networks (RedCLARA).
For over 20 years, until 2011, she directed Central Computer Services at Uruguay’s University of the Republic; it was under her direction that the university installed the first node of the Internet in Uruguay.
More recently, she has been coordinating the Uruguayan Advanced Network. In this role, Ms. Holz oversees the development and maintenance of connectivity among the now 64 nodes at academic and research institutions throughout the country.
Since 2012, she has been President of the Directive Committee of RedCLARA, the advanced Internet network established for Latin America interconnection, also linked to GÉANT2 and to Internet 2 (the pan-European and the USA advanced networks).
She is a member of the Board of Directors of the Agency for Development of Electronic Governance and the Information Society, and is a member of the Program Committee of Ceibal Center (One-Computer-per-Child Program).
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