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Utilisateur:Franck.schneider/Brouillon2

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Dark ads

La publicité sombre est un type de publicité en ligne visible uniquement par l'éditeur de la publicité et le groupe cible visé .

La publicité sombre permet à un éditeur d'envoyer différentes publicités à différents groupes de publics cibles, ce qui désavantagerait le public d'un groupe cible de voir les publicités destinées à un autre groupe. Cela augmente le taux de réussite de la campagne publicitaire de l'éditeur .

Cette forme de publicité est couramment utilisée sur les plateformes de médias sociaux en ligne qui permettent l' identification du groupe cible . Les groupes peuvent être identifiés en utilisant le ciblage par âge, le ciblage géographique , le ciblage comportemental et, plus récemment , le ciblage psychographique , entre autres.

History[modifier]

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En juillet 2012, le réseau social Facebook a ajouté la possibilité de créer des publications non publiées.  Ceux-ci pourraient être sponsorisés, citant que "les articles d'une page contiennent généralement des informations qui ne concernent qu'un segment de l'audience de la page". Le terme "publicité sombre" a été inventé par les professionnels du marketing peu de temps après et est utilisé dans les médias depuis  .

Il a été rapporté que la campagne présidentielle de Donald Trump avait utilisé une publicité sombre lors de l' élection présidentielle des États-Unis en 2016pour dissuader les Afro-Américains de voter  .

En mai 2017, un groupe de militants a formé le projet Who Targets Me , recueillant des données sur la manière dont les campagnes politiques utilisaient la publicité sombre lors des élections générales au Royaume-Uni de 2017 et appelant à mettre fin à la publicité sombre sur Facebook  .

Le 22 septembre 2017, Mark Zuckerberg , PDG de Facebook, a annoncé que Facebook mettait fin à la publicité sombre

Les Facebook Stories sont de courtes collections de photos ou de vidéos générées par l'utilisateur qui peuvent être publiées sur Facebook. Cette fonctionnalité a été intégré au réseau social en mars 2017. Comme sur Snapchat, les utilisateurs peuvent ajouté à leurs photos et vidéos des filtres amusants, des balises de géolocalisation visuelles ou des autocollants. Le contenu peut être diffusé publiquement sur l'application Facebook pendant 24 heures seulement ou peut être envoyé sous forme de message direct à un ami Facebook.

Après les nombreuses tentatives infructueuses de cloner certaines fonctionnalités de Snapchat, Facebook a testé en 2016 une fonctionnalité appelée Messenger Day[1], qui permet aux utilisateurs de publier des photos et des vidéos, qui disparaissent après 24 heures.

Ce test a permis de développé les stories afin qu'elles deviennent en mars 2017 une fonctionnalité de l'application Facebook[2].

Popularité et critique

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Lorsque cette nouvelle fonctionnalité est lancé, certain indique que les Facebook Stories sont impopulaires auprès des utilisateurs et que Facebook va au devant d'un échec[3]. Instagram, qui appartient à Facebook a lancé ces stories en août 2016 et moins d'un an plus tard Instagram comptait 250 millions d'utilisateurs actifs publiant des stotiers . Mark Zuckerberg a déclaré: «Il est important de publier des produits que les gens connaissent bien, les Facebook Stories seront la première plateforme de réalité augmentée grand public»[4].

Fonctionnalité

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Accès aux Stories

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Un utilisateur peut visualiser les stories de deux manières. Tout d'abord, en les faisant défiler depuis le haut du flux, les utilisateurs peuvent afficher les stories de vos amis et créer une stories. Deuxièmement, directement depuis n'importe quel écran de l'application Facebook. Les utilisateurs ne peuvent pas "aimer" les histoires, mais peuvent y répondre.

Saving Stories[modifier]

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Avant de télécharger du contenu dans un article, les utilisateurs peuvent l’enregistrer sur la pellicule. Une fois que les utilisateurs ont fini de créer l'histoire, appuyez sur la flèche vers le bas pour enregistrer sur la pellicule, ou sur la flèche centrale pour la partager. Les utilisateurs peuvent envoyer un message direct à des amis, poster sur une chronologie ou ajouter un récit.

Views[modifier]

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Si les utilisateurs publient une histoire sur une chronologie, celle-ci apparaîtra en haut du profil comme s'il s'agissait d'une autre image ou vidéo. Et tout comme pour l’affichage sur une timeline, les utilisateurs peuvent décider qui le voit (public, amis, etc.). Mais poster sur un "récit" le rendra disponible pour tous les amis pendant 24 heures et apparaîtra sous forme de bulle à le haut de leurs aliments. À l'heure actuelle, il n'y a aucun moyen de sélectionner qui voit ou ne voit pas une histoire. Pour supprimer une histoire, allez en bas à droite de l'écran et cliquez sur l'onglet Afficher l'icône. Vous pouvez supprimer une histoire en appuyant sur les boutons des trois points en haut.

Tools[modifier]

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Facebook est la première application à obtenir des filtres de visage animés. La société a travaillé avec les artistes Hattie Stewart et Douglas Coupland pour concevoir des filtres originaux pour l'application Facebook.  Pour accéder aux objectifs, balayez de haut en bas, mais les utilisateurs doivent les appliquer avant d’enregistrer ou de prendre une photo, ce qui constitue une différence essentielle entre les histoires Facebook et Snapchat. Ainsi que des histoires vidéo d'une durée de 20 secondes et pouvant rejouer le message direct d'un ami.

Liste de ce qui est inclus dans Facebook Camera:

  • Dessin avec un marqueur redimensionnable et des pinceaux à la craie
  • Emoji stickers Légendes colorées
  • Selfie et lentilles animées
  • Effets environnementaux tels que lignes de surbrillance et miroirs Funhouse
  • Filtres réactifs qui réagissent au mouvement comme les couleurs des lampes à lave
  • Filtres alternatifs qui vous surprendront avec de nouveaux effets si vous obtenez plus de personnes dans le cadre
  • Transferts de style Beaux-Arts qui font ressembler vos images à des dessins au trait ou à des peintures impressionnistes
  • Des filtres d'artistes professionnels comme les bombes de griffonnage de Hattie Stewart et le psychédélique de Doug Copeland
  • Filtres sous licence de six studios de cinéma, y ​​compris un filtre Minions
  • Filtres soutenant la cause, comme des arcs-en-ciel pour la fierté gay
  • Filtres de géolocalisation pour certains lieux
  • Filtres spécifiques à un pays pour environ 10 marchés initiaux



En 2016, l'OMS publie un guide pratique pour mener la recherche et les évaluations concernant les Interventions de santé numérique[5]

Pour la prévention

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En 2017, les études montrent que l'utilisation de capteur connecté est utile pour les personnes qui ont déjà choisi de changer de comportement, l'aide des soignants reste essentiel pour amener une personne à modifier son comportement[6].

Pour les maladies aiguës

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Au delà de l'utilisation de système expert, codant les connaissances pour les utiliser sur des scénarios cliniques spécifiques, c'est l’apprentissage automatique qui offre la possibilité d'utiliser de nouveaux types de données, dont le volume ou la complexité auraient rendu l'analyse inimaginables[7]. En 2019, le HAS, publie ses recommandations sur l'évaluation des dispositifs médicaux connectés (DMC). Ce guide concerne les applications disposant d'une fonction de télécommunication éventuellement liée à une intelligence artificielle et utilisés à des fins médicales par le patient[8]. L'étude de la HAS conclut que "les méthodologies d’études se rapportant à un dispositif médical connecté ne se distinguent pas de celles des autres dispositifs médicaux". Néanmoins les dispositifs médicaux connectés se distinguent par leur rapidité d’évolution, l'impact sur les patients et sur l’organisation des soins et l'interaction avec d’autres systèmes[9].

Pour les maladies chroniques

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En 2017, il existe des évidences scientifiques pour le diabète et les maladies coronariennes concernant les applications qui permettent aux patients d’introduire leurs données pour la gestion de leur affection[6]. Mais la majorité de ces patients souffrent généralement de plusieurs maladies chroniques. ce qui réduit l'avantage de l'utilisation ces applications[6].


Emma Walmsley
Fonction
Directrice générale
GSK
depuis
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Université d'Oxford
St Swithun's School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Père
Robert Walmsley (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
GSK (depuis )
L'OréalVoir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Dolder (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction

Amy Hotte CFO et vice-président exécutif, Microsoft, 44


CFO depuis 2013 et la première femme à occuper le poste chez Microsoft Hood joué un rôle clé dans les négociations pour 26,2 milliards $ à l'acquisition de la société de LinkedIn en Juin. L'ancien banquier d'investissement est maintenant considéré comme la main droite de PDG de Microsoft Satya Nadella. Elle supervise l'aspect financier de la transition de l'entreprise $ 85,3 milliards en revenus pour le cloud computing, y compris près de 7 milliards $ à dépenser sur les nouveaux centres de données l'année dernière. Après COO de Microsoft a quitté cette année, Capot a pris la responsabilité de la licence dans le monde entier et les prix.

Notes et références

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  1. Chris Welch, « Facebook is testing a clone of Snapchat stories inside Messenger », sur The Verge, (consulté le )
  2. (en-US) « Facebook pivots into Stories », sur TechCrunch (consulté le )
  3. (en) Damon Beres, « Seriously, no one is using Facebook Stories », sur Mashable (consulté le )
  4. (en-US) « Zuck says copying Snapchat was just step 1 of Facebook’s AR platform », sur TechCrunch (consulté le )
  5. (en) OMS, Monitoring and Evaluating Digital Health Interventions A practical guide to conducting research and assessment, OMS, (lire en ligne)
  6. a b et c Marc-André Raetzo, « Informatique et médecine », sur www.revmed.ch, Revue Médicale Suisse, (consulté le )
  7. Ziad Obermeyer et Ezekiel J. Emanuel, « Predicting the Future — Big Data, Machine Learning, and Clinical Medicine », The New England journal of medicine, vol. 375, no 13,‎ , p. 1216–1219 (ISSN 0028-4793, PMID 27682033, PMCID PMC5070532, DOI 10.1056/NEJMp1606181, lire en ligne, consulté le )
  8. « La HAS publie un guide sur l'évaluation des dispositifs médicaux connectés », sur www.ticpharma.com (consulté le )
  9. « Haute Autorité de Santé - Spécificités méthodologiques d’évaluation clinique des Dispositifs Médicaux Connectés », sur www.has-sante.fr (consulté le )