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Utilisateur:Based tunisian/Brouillon3

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Insurrection tunisienne (1952-1954)

Informations générales
Date 1952-1954
Lieu Gabès,Gafsa,Ghomrassen,Bizerte,Tunisie
Casus belli Assassinat de Farhat Hached
Issue
  • victoire des Fellaga
  • Succès de la résistance
  • La France est contrainte d'accepter les revendication des nationalistes
  • Discours de Carthage
  • autonomie interne de toute la Tunisie
Belligérants
Fellaga Troupes coloniales
Commandants
Mahjoub ibn Ali
Sassi Lassoued
Hilal al-Firchichi
Tahar Lassoued
Hassan ibn Abd al-Aziz
Mesbah Jarbou
colonel Durant †
Forces en présence
3000 Fellaga inconnues
Pertes
inconnues inconnues

Batailles

Bataille de Djebel Mitr·Bataille d'al Ghandri·Bataille de Djebel Orbata·Bataille de Djebel ichkeul Bataille d'Ouled Omrane·Bataille de Djebel Sidi Aïch·Bataille d'Ebba ksour·Bataille de Djebel Haddaj·Bataille de Djebel Bargou·Bataille de Djebel Maloussi·Bataille de Djebel Khchem·Bataille de Djebel Qadhoum Bataille d'al Hamma·Bataille de Djebel Sidi Ommeziane·Bataille de Djebel Marfaq·Bataille de Djebel Ouslat·Seconde bataille de Djebel sidi Aïch

L'insurrection de 1952 à 1954 est une insurrection mené par les insurgés nommé les Fellaga contre les troupes coloniales françaises.

Noyaux de la résistance[modifier | modifier le code]

Les premiers noyaux de la résistance résidaient dans les campagnes et dans les milieux tribaux, ils étaient administrés par le parti Destour. Ces résistance étaient orchestré dans le but de maintenir un moyen de pression en continu contre les Troupes coloniales. L'organisation de ces résistance demeure dans la dispersion des clans dans certaines régions de la Tunisie. Le développement des moyens de transport engendrait une grande mutation dans l'intensité des combat puisque qu'elle permettait de se déplacer plus vite pour les Fellaga.[1]

Guérilla urbaine[modifier | modifier le code]

La guérilla urbaine s'intensifiait de plus en plus et atteindra son apogée en 1954 ou les insurgés tunisien s'attaquer au policier et au gendarme français, les incident dans la ville de Sousse en témoigne ou 9 policier et 50 gendarmes trouvèrent la mort dont le colonel Durant. [1] Cependant, de nombreuses autres méthodes de guérilla ont étaient utilisés comme le dynamitage des entrepôts, le sabotage des chemins de fer ou le sabotage des réseaux téléphoniques.[1]

Conséquences[modifier | modifier le code]

Devant le succès exorbitant de la résistance tunisienne et l'ouverture de multiples autres fronts en même temps tel que la guerre d'Algérie et la guerre d'Indochine, la France est contraintes d'accepter les revendications des nationalistes Fellaga,suite à ça, le 31 juillet 1954, Pierre Mendès France prononça le célèbre Discours de Carthage[2]où la Tunisie gagne son autonomie interne. Ces événements seront inscrits par la suite dans la lutte international tunisienne.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Ministère de la défense tunisienne, « La lutte armée tunisienne »
  2. « Discours à Carthage », sur archive.wikiwix.com (consulté le )