Discussion:Umami

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comment se prononce ce mot ? y a-t-il un lien avec la chanson de Nicoletta ? :o) --Pontauxchats | 16 aoû 2004 à 13:59 (CEST)

manifestement il y a un doublon avec Unami (saveur) --Serenityping 28 février 2006 à 18:27 (CET)[répondre]


Qui a repris l'intro ? Wikipedia ou le site ? http://www.restaurant-umami.com/

Définition[modifier le code]

Je trouve que l'article manque d'une définition de la saveur en elle-même. (A quoi la reconnaît-on ?) --Pierre Rudloff (d) 30 novembre 2011 à 01:14 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une proposition d'anecdote pour la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil, et basée sur cet article, a été proposée sur la page dédiée.
N'hésitez pas à apporter votre contribution sur la rédaction de l'anecdote, l'ajout de source dans l'article ou votre avis sur la proposition. La discussion est accessible ici.
Une fois l'anecdote acceptée ou refusée pour publication, la discussion est ensuite archivée .
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 24 août 2017 à 15:16, sans bot flag)

Sérieusement ?[modifier le code]

Je découvre le terme, et après quelques lectures je me demande si tout ça est bien sérieux. Pour commencer, dès l'introduction l'article traite le sujet comme étant scientifiquement acquis et admis, ce qui n'est pas du tout le cas d'après ce que je lis çà et là. Personne ne semble être capable d'en donner la même description, description toujours très vague ("savoureux" ; "gout de viande" ; etc.).

On peut critiquer les 4 "goûts élémentaires" comme ils ont été définis par Cohn, mais ils ont au moins le mérite de la cohérence et de la clarté : même avec le nez complètement bouché, une goutte de jus de citron sur la langue sera acide, une pincée de sel sera salée, un zeste d'orange sera amer, et une goutte de sirop sera sucrée. Si on devait ajouter quelque chose, ça serait plus cohérent d'y ajouter le "frais" (comme la menthe), et le "chaud" ou "piquant" (comme le piment), qui peuvent se ressentir avec la langue seule.

Faites le test avec des aliments réputés "umami" en gardant le nez bouché : ils sont salés uniquement, parfois un peu sucré, et rien d'autre. Vraiment rien d'autre ne ressort. Umami se révèle avec la langue et le nez, il relève plus de l'arôme, du parfum, de la saveur ou de tout autre phénomène faisant intervenir la langue et l'appareil olfactif. Or si on décide que l'arôme particulier "umami" doit être un goût à part entière, autant créer un gout pour tous ce qu'on ressent : gout céleri, gout cuivré, gout de moisi, gout lacté, gout rance, gout radis, etc... Alors la classification perdra tout intérêt, comme avoir un tiroir chez soi pour chaque affaire, chaque tasse, chaque chaussette.

Par ailleurs, en voyant sur internet que le sujet fait débat, je constate un fait intéressant : lorsque les tenants du concept "umami" butent à le faire admettre à ceux qui en doutent, ils se réfugient presque tous dans un argumentaire antiscientifique au possible, consistant à dire que refuser "umami" parmi les gouts élémentaires est une position occidentalo-centrée. Un peu comme si je disais qu'Ikeda a inventé ce goût pour montrer que les Japonais aussi sont capables de proposer au monde un concept fondamental, tel qu'ajouter un 5ème point cardinal, ou une 5ème force fondamentale au modèle standard. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 62.212.109.73 (discuter), le 5 avril 2019 à 11:51

C'est vrai qu'on ne retire rien de tangible des articles francophone et anglophone. On dirait des articles sur un objet qui n'est pas identifié. On ne sait pas de quoi ça parle. Donc gros doute sur la scientificité de tout ça. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 2A01:CB08:832F:A100:D869:668E:33:9B2 (discuter), le 26 août 2022 à 13:36 (CEST)[répondre]
je partage 100% de ces observations. Quand je lis : Le goût umami est donc commun aux aliments contenant un taux élevé de L-glutamate, d'IMP et de GMP, et plus particulièrement dans le poisson, les crustacés, les viandes fumées, les légumes (par exemple : les champignons, les tomates mûres, le chou chinois, les épinards, etc.) ou le thé vert, ainsi que dans les produits fermentés et vieillis (par ex. : les fromages, les purées de crevettes, la sauce soja, etc.) je me dis que ce concept est un espèce de fourre tout absolument indéfinissable.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Matieu Sokolovic (discuter), le 12 mai 2023 à 14:22‎