Portail:Chambéry/Section:lumiere sur/7

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Exemple d'un article lumière sur ...[modifier le code]

   Benoît de Boigne[modifier le code]

   Un grand militaire...

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Benoît Leborgne, plus connu sous le nom de général-comte de Boigne, né le 24 mars 1751 à Chambéry et mort, dans sa ville natale, le 21 juin 1830, est un aventurier et militaire savoyard qui fit fortune aux Indes. À son retour en Savoie, il fut également nommé président du Conseil général du département du Mont-Blanc par l'empereur français Napoléon Ier.
Fils de petits commerçants, il fit une carrière militaire. Formé au sein de régiments européens, il rencontra le succès en Inde en se mettant au service de Mahâdâjî Sindhia, qui règne sur l'empire marathe. Il exerça également des activités commerciales et administratives.
Après une vie mouvementée, Benoît de Boigne revint en Europe, d'abord en Angleterre où il se remaria avec une émigrée française après avoir répudié sa première épouse d'origine persane, puis en France à Paris durant le Consulat, et enfin en Savoie. Devenu notable, il consacra la fin de sa vie à des œuvres de bienfaisance au profit de Chambéry. Le roi de Piémont-Sardaigne lui attribua le titre de comte.
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   Claude Favre de Vaugelas[modifier le code]

   Un grand grammairien...

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Second fils d’Antoine Favre, président du Sénat de Savoie à Chambéry et baron de Pérouges, Vaugelas nait au Clos Vaugelas dans la paroisse de Meximieux en Bresse, qui fait partie à l’époque des États de Savoie. En 1624, à la mort de son père, il obtient la qualité de baron de Pérouges qu’il porta longtemps et qu’il aliéna par la suite.
Il jouissait d’une pension de deux mille livres, que son père, en 1619, lui avait fait obtenir de Louis XIII ; mais cette pension, d’ailleurs assez mal payée, qui formait à peu près tout son revenu, fut supprimée plus tard par Richelieu. Il vint, jeune encore, à Paris, et s’attacha, en qualité de gentilhomme ordinaire, à Gaston d’Orléans, dont il fut ensuite un des chambellans.
Comme le prince n’avait pas l’habitude de payer très exactement les gages de ses domestiques, Vaugelas, qui dut l’accompagner dans ses fréquentes retraites hors du royaume, ne tarda pas à contracter des dettes qui pesèrent sur toute sa vie. Parlant l’italien et l’espagnol, il travaille comme interprète à la cour de Louis XIII.
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