Parti communiste révolutionnaire de Côte d'Ivoire
Le Parti communiste révolutionnaire de Côte d'Ivoire (PCRCI) est un parti politique communiste de Côte d'Ivoire.
Positionnement et dirigeant
[modifier | modifier le code]À l'échelle extérieure, il participe à la Conférence internationale des partis et organisations marxistes-léninistes (Unité et lutte), réseau international de partis communistes marxistes-léninistes favorables à la ligne du Parti du Travail d'Albanie sous la direction de Enver Hoxha. Officiellement, il lutte pour une Révolution prolétarienne. Depuis 1990, il est dirigé par Achy Ekissi. En , son domicile personnel a été saccagé par des militants se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), une organisation proche du pouvoir[1],[2],[3],[4].
Mouvement de jeunesse associé
[modifier | modifier le code]La Jeunesse Communiste de Côte d'Ivoire (JCOCI), est un mouvement politique de la jeunesse en Côte d'Ivoire, l'aile de la jeunesse du Parti Communiste Révolutionnaire de Côte d'Ivoire. Le , le secrétaire général de la JCOCI, Habib Dodo, a été assassiné par un membre de la Fédération estudiantine de Côte d'Ivoire (FESCI)[5],[6].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Leftist Parties of the World: Côte d'Ivoire
- Sur la Reprise de la Guerre Civile en Cote D'ivoire et les Tueries Perpétrées par l'Armée Française Abidjan Adresse du PCRCI aux Partis et Organisations Communistes, 8 novembre 2004, (Address by Secretary General of the PCRCI, A. EKISSI)
- Rapport de la Commission d’enquête internationale sur les allégations de violations des droits de l’homme en Côte d’Ivoire (May 2004) on Fr.Wikisource.
- Vincent Duhem, « Côte d’Ivoire : 33 candidats à la présidentielle ont déposé leurs dossiers », Jeune Afrique, (lire en ligne)
- (en) « Human Rights Violations by Government Security Forces: 2005 Trends », sur Human Rights Watch
- « Repères. Le gouvernement reste en suspens en Côte d'Ivoire », Le Monde, (lire en ligne)