Matajur

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Matajur
Vue du Matajur.
Vue du Matajur.
Géographie
Altitude 1 641 ou 1 642 m[1],[2]
Massif Alpes juliennes (Alpes)
Coordonnées 46° 12′ 45″ nord, 13° 31′ 45″ est[2],[1]
Administration
Pays Drapeau de l'Italie Italie
Drapeau de la Slovénie Slovénie
Région à statut spécial
Région historique
Frioul-Vénétie Julienne
Goriška
Province Udine
Géologie
Roches Calcaire
Géolocalisation sur la carte : Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Matajur
Géolocalisation sur la carte : Slovénie
(Voir situation sur carte : Slovénie)
Matajur
Géolocalisation sur la carte : Frioul-Vénétie Julienne
(Voir situation sur carte : Frioul-Vénétie Julienne)
Matajur

Le mont Matajur, appelé aussi Monte Re ou Baba en dialecte slovène local, se trouve dans la région orientale du Frioul-Vénétie Julienne en Italie, à la frontière de la Slovénie. Il s'élève à 1 641 ou 1 642 mètres d'altitude. On y trouve un observatoire, une chapelle, un refuge et des bergeries. Il abrite quelques plantes alpines rares, parmi lesquelles l'edelweiss, la gentiane, le chardon, l'aconit, le narcisse et le crocus.

La vue porte sur la plaine du Frioul, les Alpes et Préalpes juliennes, sur la Slovénie et, au loin, sur la mer Adriatique.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'une des premières mentions du Matajur est faite par l'érudit d'origine lombarde Paul Diacre qui rapporte que le Matajur fut escaladé par le roi lombard Alboïn pour admirer les fertiles plaines du Frioul qu'il voulait envahir[3].

Installations humaines[modifier | modifier le code]

La chapelle[modifier | modifier le code]

Au sommet du Matajur, se trouve une chapelle.

Le refuge[modifier | modifier le code]

L'observatoire[modifier | modifier le code]

Vue de l'observatoire du Matajur, en région Frioul-Vénétie Julienne.

Sur les flancs du Matajur est construit un observatoire.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Visualisation sur le géoportail de la Slovénie
  2. a et b Visualisation sur le géoportail italien.
  3. (la) Paul Diacre, Histoire des lombards (lire en ligne), Livre II - Chapitre VIII