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Discussion utilisateur:ServicelangueoccitanePACA

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Bienvenue sur Wikipédia, ServicelangueoccitanePACA !

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Wikipédia est une formidable aventure collective, toujours en construction. La version francophone comporte aujourd'hui 2 632 147 articles, rédigés et maintenus par des bénévoles comme vous et moi. Vous allez y effectuer vos premiers pas : si vous avez besoin de conseils ou d'aide pour cela, n'hésitez pas à laisser un message sur le forum des nouveaux. Une réponse vous sera apportée avec plaisir !

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Vous êtes invité à découvrir tout cela plus en détail en consultant les liens ci-contre

Un livret d'aide à télécharger, reprenant l’essentiel à savoir, est également à votre disposition.

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DocteurCosmos (d) 11 décembre 2008 à 16:33 (CET)[répondre]

Encyclopédie en français

[modifier le code]

Bonjour,

Je lis sur votre page utilisateur : « Pour ma part, je considère totalement irrecevable en la matière une discussion de la part d'un francophone sur ces questions. Je ne répondrais qu'en occitan à toute discussion pour placer d'emblée l'échange à un niveau de sérieux et de compétence. »

Cela ne va pas être possible.

En revanche vous pouvez vous impliquer dans la Wikipédia en occitan.

Cordialement, DocteurCosmos (d) 12 décembre 2008 à 08:57 (CET)[répondre]

Je précise que si dans cette rubrique les articles sont en français. Seul un auteur compétent peut prétendre à argumenter dans la partie discussion. Sa compétence se vérifie par la maîtrise de la langue occitane.
Vous ne pouvez pas débarquer sur Wikipédia et décréter unilatéralement que telle règle de fonctionnement s'applique désormais. Le problème est justement : comment déterminer qui est expert et qui ne l'est pas ? Or comme cette question est indécidable, le projet s'en remet aux publications existantes. Vous en apprendrez plus sur cette page : Wikipédia:Citez vos sources. Cordialement, DocteurCosmos (d) 12 décembre 2008 à 09:15 (CET)[répondre]
C'est vous qui imposez le français pour parler d'un sujet qui concerne l'occitan.
Et jusqu'à preuve du contraire, vous ne maîtrisez pas ce sujet.
Je n'impose rien du tout. Je vous rappelle simplement les règles de fonctionnement d'un projet que vous venez de découvrir. DocteurCosmos (d) 12 décembre 2008 à 09:40 (CET)[répondre]

Aquelei règlas son pas acceptablas. E un òme que demòstra pas sis competéncias en oc pòt pas parlar de l'occitan es lo cas de Loupiat que refusa la discussion et impausa sei crèires sus lo sujèct. E la pagina qu'indicatz sus lei fònts convèn pas estent que siam nautres la reférencia e non pas aquelei libres pareissuts en francés e mai clafits d'errors.

ÉmoticôneDocteurCosmos (d) 12 décembre 2008 à 10:06 (CET)[répondre]

Correction d'un article tendancieux et hostille aux vrais marseillais ceux qui parlent leur langue expressions marseillaises

[modifier le code]

Je ne prétends à aucunes compétences en matière d'occitan parce que je nie l'existence même de cette invention.

Es una opinion que per malastre es una opinion minoritària. Tant lo COnseu regionau de PACA coma lo MInistère afortisson lo contrari.

Les indications de livres qui sont données dans l'article ne sont pas toutes de moi mais elles sont fondées, fondadas sus una lectura faussa deis articles maucomprés e d'errors

quant à toi tu n'as aucune autorité pour rejeter la référence à Frédéric Mistral .

Ai bèn l'autoritat per criticar FM. E de tota maniera fa un bon sègles qu'es remés en causas sus lei contenguts. Aquò lèva ren dau personnatge.

Tu donnes des étymologies fausses,esbailler vient de l'italien sbagliare et non pas d'un prétendu occitan idem pour bau-bau et j'en passe. Cu vos permete de dire aquò ? Lo problèma ambe leis estrangiers es que sabon pas lei mots que nautres disèm cada jorn !

Je constate qu'une fois de plus tu as vandalisé l'article alors ça serait bien que tu expliques tes interventions sur la page de discussion de cet article comme ça je pourrais en discuter et les autres lecteurs aussi. Même les occitans les plus fanatiques reconnaissent l'existence de la Provence et des provençaux ainsi que du dialecte provençal,

Es tot lo contrari mon Servici es cargat fach quasi un sègle de défendre lo dialècte provençau. Denegui ren de la Provença e mai dau dialecte provençau. Solament lei mots citats an ren de provençaus !

ils admettent aussi qu'il existe une graphie qu'ils appellent mistralienne (sic) alors pourquoi imposer tes opinions (fausses)aux autres ?

Vos vieu (m'escusaretz aqueste marselhisme de lengatge !) bèn sabent en matèria de grafia dins nostra lenga. Vos aconselhariáu pasmens de bèn escriure lo francés avant que vos permetre de jutjaments sus la lenga deis autres.

Aquesta grafia es pas la grafia oficiala de l'ensenhament. E mai lo Felibrige eu l'emplega quasi plus. Es pas mai qu'una demorança dau sègle XXn.

Cette encyclopédie est francophone si tu veux parler occitan il en existe une dans cette "langue"Loupiat (d) 12 décembre 2008 à 19:53 (CET)[répondre]

Es un biais de fugir lei problèmas. Lo solet e lo bòn : aqueu de la competéncia per parlar de la lenga de Marselha.



Preuve est maintenant faite de la censure faite à l'occitan. Je le signalerai donc aux utilisateurs. Preuve est faire aussi de l'incompétence des rédacteurs en matière de connaisances linguistiques concernant l'origine des mots marseillais.

RAPPEL de la terminologie officielle française:

L’Occitan

Il y a une singularité de l’occitan. La manière de le nommer, déjà : cette difficulté à faire reconnaitre l’existence même d’une langue à travers une appellation stable et assurée. Depuis l’époque classique, ce qu’on appelle ici l’occitan est donné comme nonlangue, dialecte, patois, autre chose que lui-même, néant.


L’appellation langue d’oc (au singulier) ou langue occitane une longue tradition jamais démentie.

Du Moyen-Age à nos jours les auteurs et les textes officiels français reprennent l’expression Langue d’Oc et Langue occitane (au singulier).

Avec la conquête progressive du Midi, les références aux emblèmes, au nom et à l’écriture de la langue s’estompent. Des appellations confuses souvent calquées sur le nom de la province d’ancien régime apparaissent : provençal, gascon, auvergnat, niçois, languedocien… Les premières tentatives scientifiques de restauration se font au XIXe siècle.


• C’est un Provençal d’Allos, qui propose les premiers projets pour remettre en ordre l’orthographe de la langue. Simon-Jude Honnorat, a établi le premier « Dictionnaire provençal-français ou Dictionnaire de la langue d’oc ancienne et moderne », publié en 1847.

• A sa suite, F. Mistral d’abord enthousiasmé par l’orthographe d’Honnorat et critique à l’égard du système de Roumanille, évolue rapidement dans son appréciation, et finit par donner son nom à l’orthographe mistralienne. C’est celle qu’il choisira pour éditer son œuvre, et particulièrement, en 1886, son « Tresor dóu Felibrige, dictionnaire provençal-français embrassant tous les dialectes de la langue d’oc moderne ».

• Poursuivant la voie tracée, la Section Regionale de l’Institut d’Estudis Occitans achève l’adaptation moderne de la graphie classique occitane au dialecte provençal. Depuis 30 ans ses outils : dictionnaires , grammaires , cahiers linguistiques et pédagogiques… sont la référence pour l’occitan-provençal et sont utilisés largement par les acteurs culturels de la région.

Unité et variété

Contrairement au français, l’occitan ne se présente pas comme une langue unifiée et standardisée, mais sous différentes modalités régionales ou locales. Une tradition récente classe, sur des bases empiriques, les parlers occitans en six variétés ou dialectes : gascon, languedocien, provençal, vivaro-alpin (ou « provençal alpin »), auvergnat, limousin ; mais il est difficile de tracer des limites précises entre ces différents « dialectes », car on a affaire à un continuum.


Unité et varieté : le plaisir de se comprendre sur un vaste espace

Après une large consultation d’un an, concernant l’ensemble des acteurs culturels de la région et la publication d’un Rapport sur la Langue et la Culture Régionale (Rapport Langevin).

Le Conseil Régional de PACA dans la séance du 15 Décembre 2003, affirmait que « la langue occitane ou langue d’Oc est la langue régionale de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur : le provençal rhodanien, le provençal maritime, le niçard et l’alpin sont les formes régionales de la langue occitane ou langue d’Oc en Provence-Alpes-Côte d’Azur ».


août 2008 : Le gouvernement français rappelle l'unité de la langue occitane dans le respect de sa diversité !

 Suite à une question de Michel Vauzelle, président de la Région Provence, demandant que le Provençal soit reconnu "à part entière parmi les langues régionales" (question publiée au Journal officiel du 13/5/08 page 3919) , voici la réponse de Mme la Ministre de la Culture  et de la communication (Journal Officiel du 5/08/2008. Page 6760)

".... Pour ce qui concerne le domaine linguistique gallo-roman, les services de l'Etat n'entendent pas remettre en cause la nomenclature traditionnelle, en usage dans l'administration depuis la loi Deixonne de 1951 : l'occitan est une langue avec différentes variétés dialectales, dont le provençal. Chaque variété est l'expression pleine et entière de la langue qui n'existe qu'à travers ses composantes. Sous appellation englobante de provençal, c'est cette vision unitaire de la langue, "des Alpes aux Pyrénées" que Mistral exprimait dans son Dictionnaire provençal-français embrassant tous les dialectes de la langue d'oc moderne.



Le cadre réglementaire garantit la diversité au sein de la langue occitane.

Une tentative d’imposer la norme graphique mistralienne et le nom de Provençal a par ailleurs été condamnée par les tribunaux. La réglementation garantit le respect de la liberté graphique des enseignements, et la formation pédagogique dans notre région demande à tous la maîtrise des deux systèmes principaux (mistralien et classique-traditionel).

• La dénomination de la langue a reçu un cadre officiel à travers la loi Deixonne de 1951, qui autorisait pour la première fois l’enseignement des langues régionales dans le temps scolaire de l’école primaire à l’Université : elle la désigne du terme de « langue occitane ». La loi Deixonne a été abrogée en 2000 et remplacée par des articles du Code de l’Education. • Le Certificat d’Aptitudes au professorat du Second Degré (C.A.P.E.S.), définit un « C.A.P.E.S. d’Occitan-langue d’oc » • La circulaire du ministère de l’Education n° 2001-166 du 5/9/2001, intitulée «Développement de l’enseignement des langues et cultures régionales à l’école, au collège, et au lycée » reprend les mêmes termes. • C’est enfin le terme qu’emploie la Délégation à la langue française et aux Langues de France, dépendant du ministère de la Culture, ainsi que les instances européennes.

Dans notre académie la spécificité du dialecte provençal (rhodanien comme central), du dialecte alpin et du dialecte niçois ne sont nullement menacée.

• Les textes organisant le baccalauréat parlent de « langue régionale » et dans les rubriques consacrées aux programmes nomment la langue : occitan et les dialectes : provençal, languedocien, gascon, alpin…

• Aux épreuves des concours nationaux, les candidats se présentent à une épreuve d’occitan-langue d’oc et peuvent s’exprimer dans le parler de leur choix. Ils n’ont aucune obligation de se limiter au dialecte provençal. Le jury ne peut imposer la variante dialectale, les sujets proposés non plus.

• Indiquer « provençal » en lieu et place de l’appellation officielle dans l’intitulé des épreuves, des sujets représente le risque de voir l’épreuve contestée au tribunal administratif et invalidée.




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Les REFERENCES qu'ignorent les contributeurs


ANCIEN OCCITAN – E. LEVY : Petit dictionnaire provençal-français. Carl Winter, Heidelberg, 1909. Plusieurs rééditions, dont une aux éditions C.P.M. (Culture provençale et méridionale, Marcel Petit) à Raphèle-lès-Arles. PROVENÇAL (RHODANIEN ET MARITIME) – S. A. PELLAS : Dictionnaire provençal et français. Avignon, 1723. Réédition Lacour, Nîmes, 1996. – J. T. AVRIL : Dictionnaire provençal-français, suivi d’un vocabulaire français-provençal. Edouard Cartier, Apt, 1839. Réédition C.P.M., Raphèle, 1980. – J. J. CASTOR : L’interprète provençal, contenant un choix de 15 000 termes provençaux, les plus utiles, expliqués en français. Apt, 1843. Réédition Lacour, Nîmes, 1994. – S. J. HONNORAT : Dictionnaire provençal-français ou Dictionnaire de la langue d’oc ancienne et moderne, suivi d’un vocabulaire françaisprovençal. Digne, 1846-1847. Réédition C.P.M., Raphèle, 1991 [en deux volumes ; le vocabulaire est publié à part par le même éditeur]. – F. MISTRAL : Lou Tresor dóu Felibrige ou Dictionnaire provençalfrançais, embrassant les divers dialectes de la langue d’oc moderne4. Aix, 1882-1886 [il en existe plusieurs rééditions]. – E. GIBELIN : Pichòt vocabulari occitan. I.E.O. Grassa. – R. ROURRET : Dictionnaire français-occitan provençal. I.E.O. Alpes Maritimes, 1981. Réédition Lacour, Nîmes, 2000. – C. MARCO, J. UBAUD : Lexic provençau de botanica. I.E.O. Bouches du Rhône, 1984. – P. BRECHET : Vocabulari provençau en imatges. I.E.O. Var, 1988. – G. BARSÒTTI : Bestiari d’Occitània. Lexic latin-occitan provençaufrancés dei vertebrats d’Occitània. I.E.O., 1992. – F. VERNET : Petit lexique du provençal à l’époque baroque. Institut d’Etudes Niçoises. Centre d’Etudes Occitanes [sans date ; après 1992]. – J. FETTUCIARI, G. MARTIN, J. PIETRI : Dictionnaire provençalfrançais. Edition conjointe par l’Escomessa et le C.R.E.O.-Provence. Di�usion Edisud, 2003. NIÇOIS – G. CASTELLANA : Dictionnaire français-niçois. Réédition Serre, Nice, 1983. VIVARO-ALPIN – A. BOISSIER : Glossaire du patois de Die. Société d’archéologie de la Drôme, Valence, 1873. Réédition Lacour, Nîmes, 1992. – F. ARNAUD, G. MORIN : Le langage de la Vallée de Barcelonnette. Paris, 1920. Réédition La�tte Reprints, Marseille, 1981. – J. DUFAUD : L’occitan nord-vivarais. Publication à compte d’auteur, Davézieux, 1986 [parler de La Louvesc : grammaire, dictionnaire occitan-français, anthologie de la littérature orale, carte]. – G. BERNARD : Lou Saber. Dizionario enciclopedico dell’occitano di Blins. Edizioni Ousitanio Vivo, Venasca, 1996 [parler d’une commune de la haute vallée de la Varaita]. – J. DUFAUD : Dictionnaire français-nord-occitan. Editions J.-P. Huguet, Le Pré Battoir, Saint-Julien-Molin-Molette, 1998 [occitan du nord du Vivarais, et du Velay]. – E. GAMONNET : Glossaire du parler des Boutières, noté à Saint- Julien-du-Gua. Publié à compte d’auteur, Guilherand-Granges, 2001. – COLLECTIF : Le parler Embrunais-Val Durance. L’Escoureta dou Parpaioun, Embrun, 2002. LANGUEDOCIEN – P. BOISSIER DE SAUVAGES : Dictionnaire languedocien-français. Nîmes, 1756. Réédition Lacour, Nîmes, 1993. – G. HAON : Le discours languedocien. Recueil des locutions et occitanismes du dialecte d’Alais. Alès, 1900. – L. ALIBERT : Dictionnaire occitan-français d’après les parlers languedociens. I.E.O., Toulouse, 1966. Réédition I.E.O., 1977. – J. TAUPIAC : Pichon diccionari francés-occitan5. Section du Tarnet- Garonne de l’I.E.O, 1977. – Ch. LAUX : Dictionnaire français-occitan (languedocien central). Section du Tarn de l’I.E.O, 1999. CATALAN – Ll. CREIXELL : Diccionari bàsic francès-català (tercera edició ampliada). Universitat de Perpinyà, 1981. – COLLECTIF : Gran diccionari de la llengua catalana. Enciclopèdia Catalana, Barcelona, 1998. – COLLECTIF : Diccionari compact[e] català-francès, francès-català. Larousse, Barcelona, 2002. FRANÇAIS – G. GOUGENHEIM : Dictionnaire fondamental de la langue française. Didier, Paris, 1984. – A. REY (sous la direction de) : Dictionnaire historique de la langue française. Dictionnaires LE ROBERT, Paris, 1998. FRANÇAIS REGIONAL DE PROVENCE – J. B. REYNIER : Corrections raisonnées des fautes de langage et de prononciation qui se commettent même au sein de la bonne société, dans la Provence et quelques autres provinces du Midi. Marseille, 1829. Réédition C.P.M., Raphèle, 1977. – A. BRUN : Le français de Marseille. Institut historique de Provence, Marseille, 1931. Réédition La�tte Reprints, Marseille, 1982. METHODES ET DOCUMENTS. – F. PELLÓS : Compendion de l’Abaco, 1492. Incunable publié aux Editions de la Revue des Langues Romanes, Montpellier, 1967 [manuel de mathématiques en niçois. Texte établi par R. Lafont ; commentaire mathématique et historique de G. Tournerie]. – La bugado provençalo vonte cadun l’y a panouchon. J. Roize, Aix, 1649. Réédition Makaire, Aix, 1859 [recueil de proverbes]. – F. T. GROS : Recuil de pouesiés prouvençalos. Nouvello edicien, courrigeado et augmentado per l’autour, eme uno explicacien dei mots lei plus di�ciles. Sibié, Marseille, 1763. – V. GELU : Nouvè Grané, Marseille, 1856. Réédition par une équipe du C.R.E.O.-Provence. Publications de l’Université de Provence, Aix, 1987. – M. DE REGIS DE LA COLOMBIERE : Les cris populaires de Marseille. Marius Lebon, Marseille, 1868. – Ch. GALTIER : Le trésor des jeux provençaux. Collection de culture provençale, Vaison-la-Romaine, 1952. – H. HARANT, D. JARRY : Guide du naturaliste dans le Midi de la France. Delachaux et Niestlé, Neuchâtel, 1967 [plusieurs rééditions ; inclut un lexique de noms occitans de plantes et d’animaux de la région méditerranéenne]. – J. B. REBOUL : La cuisinière provençale. Tacussel, Marseille (vingtdeuxième édition revue et augmentée). – C.R.E.O.-PROVENCE : Bulletins pédagogiques (années 1970 à 1980). – G. MARTIN, Y. POGGIO, C. BARSOTTI : Parlam provençau (version provençale de Metòde per aprene l’occitan parlat, de Ch. Baylon et R. Lafont). Lo Calen, C.R.E.O.-Provence. Centre régional de documentation pédagogique. Marseille, 1971. – P. BEC : Manuel pratique d’occitan moderne. Picard, Paris, 1973. Réédition, 1983. – L. PORTE-MARROU : Cantam provençau, cançonier dau Calen. I.E.O. Vaucluse, C.R.E.O.-Provence, Calen de Marseille. Comptador generau dau libre occitan, Vedena, 1977. – P. BRECHET : Manuau practic de lectura e prononciacion. I.E.O. Var. – Forcalquier au temps de la peste (délibérations du conseil municipal en 1478 et 1479 ; texte provençal intégral publié, traduit et annoté par J. Y. Royer). Revue Les Alpes de Lumière, no 62, dernier trimestre 1977. – G. MARTIN : Provence au présent ; 44 textes d’oc contemporains pour les Provençaux d’aujourd’hui. C.R.E.O.-Provence, 1978 [inclut un petit lexique occitan-français]. – F. BRONZAT, F. MARTEL : L’espandi dialectau alpenc, assag de descripcion. Novel Temp, no 21, gennaio-aprile 1983. – J. ROUX (sous la direction de) : Vocabulaire occitan d’Auvergne et du Velay. I.E.O. et C.R.E.O.-Auvergne, 1984. – H. DE VALBELLE : Histoire journalière (1498-1539). Texte provençal, traduction et notes, publiés en deux volumes par V. L. Bourrily, R. Duchêne, L. Gaillard, Ch. Rostaing. Université de Provence, Aix, 1985. – C. MARCO, I. MEYNARD, J. MOLINA, J. UBAUD : Les salades sauvages (L’ensalada champanèla). Cahier de Cuculles no 1. Les Ecologistes de l’Euzière, Saint-Jean-de-Cuculles, 1986 [travail d’ethnobotanique]. – La galeòta d’Arle. Texte provençal du XVe s. publié, traduit et annoté par Ph. Rigaud. Editions Mesclum, 1984. – G. MARTIN : Notes sur le parler de Victor Gelu, appendice (pp. 200 à 228) à la réédition de 1987 de Nouvè Grané [cf. supra]. – A. FAURE : Apprendre l’occitan, dialecte provençal alpin, en 20 heures. I.E.O. des Alpes et de Haute Provence, 1991. – COLLECTIF : En cò nòstre. Edité par La Faraça, groupe occitan des Vans, 1991 [occitan du Pays des Vans, au sud-ouest de l’Ardèche : vocabulaire thématique, expressions, textes, notes et iconographie]. – J. UBAUD : Des arbres et des hommes (architecture et marqueurs végétaux en Provence et Languedoc). Edisud, Aix, 1997. – A. BARTHELEMY-VIGOUROUX, G. MARTIN : Manuel pratique de provençal contemporain (parler, lire, écrire le provençal d’aujourd’hui). Edisud, Aix, 2000 [en 15 modules : lexique, structures grammaticales, exercices corrigés ; une description du provençal est fournie en début d’ouvrage, illustrée par des cartes linguistiques ; sont disponibles deux disques compacts audio contenant les enregistrements des dialogues, textes et chansons du manuel]. – R. RUFFI : Contradiccions d’amor. Treize sonnets présentés et traduits par J. Y. Casanova. Atlantica et Institut Occitan, Biarritz-Pau, 2000. – M. ROMIEU, A. BIANCHI : Iniciacion a l’occitan ancian. Presses Universitaires de Bordeaux, 2002 [dix-neuf textes médiévaux commentés]. – V. BERENGUIER : Balthazar, l’âne testard. Editions C.L.C., Le Lutin Malin, 2003 [bilingue français-occitan ; traduction de G. Martin].


Je vais essayer de répondre simplement pour faciliter la compréhension des administrateurs qui vont certainement intervenir pour faire cesser ce vandalisme. L'article en question s'intitule expressions marseillaises ce qui délimite bien son champ d'action,il n'a aucune vocation à être un article sur la linguistique mais à expliquer simplement des expressions en usage à Marseille à l'intention des lecteurs étrangers à cette ville.L'étymologie de certains mots n'est là que pour aider la compréhension et séparer leurs différentes origines.

La réponse que tu fais au premier avertissement comporte beaucoup d'erreur et de mensonges délibérés.

1° mensonge: Tu parles de censure faite à la langue dite "occitane",il suffit de regarder la page d'accueil pour voir qu'il existe une version "occitane" de Wikipédia.Il existe aussi différents articles consacrés a cet idiome qui sont d'ailleurs verrouillés par leurs auteurs à un point tel qu'il se chamaillent entre eux et le bloquent régulièrement par des guerres d'éditions.

2° mensonge: Tu conteste l'utilisation du terme "provençal" dans l'article et tu conteste la graphie des mots.Dans tes propres références tu cites un texte règlementaire qui dit: "...La réglementation garantit le respect de la liberté graphique des enseignements, et la formation pédagogique dans notre région demande à tous la maîtrise des deux systèmes principaux (mistralien et classique-traditionnel). On trouve aussi "...Les textes organisant le baccalauréat parlent de « langue régionale » et dans les rubriques consacrées aux programmes nomment la langue : occitan et les dialectes : provençal, languedocien, gascon, alpin…". Ta propre référence admet qu'il existe au moins un dialecte provençal avec une graphie dite "Mistralienne".Tu n'as donc aucun droit de remplacer dans l'article le mot "provençal" par "occitan",tu n'as pas plus le droit d'imposer une graphie prétendument classique à la place de la graphie "mistralienne".Je précise que le texte que tu cites à été rédigé parce qu'autrefois on appelait Provençal tous les dialectes du Sud de la France ce qui bien entendu était impropre,et non pas pour nier l'existence du provençal localisé à la Provence d'ailleurs le CAPES s'appelle bien "CAPES Occitan-Langue d'oc" pour le distinguer du provençal.Je note aussi que tu te sers des textes règlementaires uniquement quand ils vont dans ton sens ou que tu peux les détourner pour les faire coller à ton idéologie.

3° mensonge: Dans l'article tu dis que la graphie des termes provençaux n'est pas respectée,c'est évidemment faux il suffit de prendre le dictionnaire de Frédéric Mistral qui est cité dans l'article pour voir que l'orthographe est scrupuleusement respectée.

4°,5° et 6° mensonges: Tu reproches aux autres de ne pas connaitre le sujet,je tai déjà fais remarqué que le mot provençal esbailler ne vient pas de "l'occitan" qui n'est pas une langue princeps mais de l'italien sbagliare.A Marseille on utilise l'expression jouer au ballon pour jouer au football idem avec un match de ballon pour un match de football tu as colonisé ce terme en disant qu'il a une origine "occitane" c'est encore faux il vient du mot français ballon qui vient lui même de l'italien palone.Ton étymologie de Bau-Bau est aussi fantaisiste c'est une onomatopée italienne pour imiter l'aboiement et qu'on applique aux fanfarons,en provençal bau-bau est le nom d'un personnage qu'on crée pour faire peur aux enfants,lis Mistral et tu en aura la confirmation.

5° mensonge: Contrairement à ce que tu racontes cet article n'est pas un article scientifique comment pourrait il l'être ? puisque les locuteurs ne sont pas tous d'accord sur le sens et que les contributeurs ont eux mêmes précisé qu'il s'agit d'un parler c'est à dire une langue très informelle qui est un mélange de provençal,d'italien,d'arabe,d'espagnol et même d'arménien.Les précisions lexicographiques ne peuvent être qu'à minima et sans objet précis.

6° mensonge ....et non des moindres! : Tu cites une longue liste d'auteurs,dont Mistral et Reynier, en disant qu'ils sont inconnus des contributeurs de l'article,c'est la preuve que tu n'as pas lu cet article parce que le dictionnaire de Frédéric Mistral est cité en référence et Jean Baptiste Reynier aussi.

Le vandalisme proprement dit

Si tu tiens vraiment à faire des remarques.

Le patagon scientifique que tu emploies à l'intérieur de l'article pour faire savant,doit être situé sur la page de discussion de l'auteur ou de l'article,le mettre dans le corps de l'article relève du vandalisme.

Tes remarques doivent être rédigées en français,et non pas en "occitan" pour être comprises par tous les francophones,sinon c'est du vandalisme doublé d'un manque de respect pour les lecteurs surtout étrangers qui ont certainement déjà du mal avec la langue française.Tu as aussi mis un lien qui ne débouche sur rien.

Un dernier point qui me parait très étrange,je ne sais pas si tu en es l'auteur,il y a dans cet article un lien vers un article Wikipédia sur les expressions bibliques (?!) je me demande quel rapport il a avec les expressions marseillaises.

Sur un plan personnel,j'ai fini depuis longtemps de discuter avec les occitanistes qui sont le plus souvent des gens bornés et paranoïaques qui voient des agressions partout alors que ce sont eux les agresseurs,ils veulent standardiser et formater les langues et les peuples,on le voit avec les différents articles sur ce sujet ou ils finissent par se chamailler entre eux faute d'avoir des interlocuteurs qui daignent encore leur parler.Loupiat (d) 23 décembre 2008 à 19:37 (CET)[répondre]

Descurbissi uèi l'integrisme occitan !--Rafèu de Provença (d) 1 avril 2010 à 11:42 (CEST)[répondre]