Discussion utilisateur:Rogermichel98

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Kelson 7 février 2012 à 17:00 (CET)[répondre]

Grand-croix de l’ordre pro merito Melitensi[modifier le code]

Bonjour,

Dans l’article Michel Roger (d · h · j · ), il a été sigalé que l’appartenance à l’ordre pro merito Melitensi n’était pas mentionnée dans la dernière édition (43e édition pour 2012, imprimée en 2011) du Who’s Who.

Il doit donc s’agir d’une nomination récente.

Merci donc de sourcer l’information : un lien vers un article en ligne de Monaco-Matin (par exemple) est suffisant.

Cordialement. Alphabeta (d) 9 mars 2012 à 13:16 (CET)[répondre]

en effet j'ai reçu cette décoration fin septembre 2011 à Rome du Grand Maître de l'Ordre de Malte. Figurera dans la prochaine édition du Who's Who
Merci
Non signé : l’histo indique : «  9 mars 2012 à 21:40‎ Rogermichel98 (d · c · b) ». Alphabeta (d) 9 mars 2012 à 21:49 (CET)[répondre]
J’ai indiqué à titre de source dans l’article encyclopédique le site http://www.gouv.mc/Gouvernement-et-Institutions/Le-Gouvernement/Ministere-d-Etat/Le-Ministre-d-Etat , site gouvernemental mentionnant la « Grand-Croix pro Merito Melitensi de l’Ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte » parmi les décorations du ministre d’État. Alphabeta (d) 10 mars 2012 à 18:27 (CET)[répondre]

Armoiries de Monaco[modifier le code]

Monsieur le Ministre d'État, pouvez-vous aider la communauté wikipédienne à éclaircir le mystère des armoiries de Monaco ? Plusieurs débat sont actuellement en cours, notamment sur Discussion Projet:Blasons#Armoiries de Monaco. Nous recherchons surtout un texte légal qui fixe leur blasonnement ainsi que leur statut (copyright). Merci d'avance. --Cyril-83 (d) 10 mars 2012 à 20:18 (CET)[répondre]

réponse: Voici une note qui , je l'espère vous sera utile; Sur l'usage des armoiries, voir le texte de la loi du 18 décembre 1961 qui le réglemente ( Legimonaco sur le site www.gouv.mc) . C'est l'Administration des Biens de S.A.S. le Prince qui est chargée d'accorder les autorisations d'usage.


Bien à vous Michel Roger



ARMOIRIES DE LA MAISON DE MONACO ________________________________________


L'écu, fuselé d'argent et de gueules et entouré du Collier de l'Ordre de Saint-Charles, est placé sur un manteau rouge doublé d'hermine, sommé de la Couronne Princière.

Tenants : Deux Frères Mineurs chevelus, barbus et chaussés, portant chacun une épée levée, debout sur une banderole, avec la devise : DEO JUVANTE.


L'écu

Le blason de la Famille Grimaldi n'a pas subi de modifications fondamentales au cours des siècles.

Les premiers écus connus, ceux de Rainier Ier (vers 1267-1314) et de Charles Ier (-1357), empruntent tout naturellement leur forme à l'écu français du XIVe siècle. Plus tard, en particulier au XVIIe siècle, l'écu français moderne ou héraldique est adopté.

Seul le nombre des fusées ornant le champ sans partition et alternant l'argent (blanc) et les gueules (rouge) varie dans le temps.


Les Armoiries de la Maison de Monaco et les ornements extérieurs à l'écu

Les premières armoiries connues sont antérieures au protectorat espagnol (1524-1641) et, par conséquent, à l'adoption du titre de Prince par Honoré II (1612), titre reconnu, en 1633, par la Chancellerie espagnole. …/… 2.-


Deux moines figurent déjà de part et d'autre de l'écu, comme tenants. Leur présence trouve son origine dans la prise du château de Monaco (1297) par François Grimaldi surnommé Malizia (arrière-petit-fils de Grimaldo) qui, pour la circonstance, s'était déguisé en moine.

Depuis, ces moines ont été généralement représentés chevelus, barbus et chaussés, en robe de bure (ceinte parfois du cordon franciscain) tenant l'écu et brandissant une épée. Pendant le règne du Prince Florestan (1841-1856) ceux-ci apparaissent glabres, pieds nus et vêtus d'une robe blanche, avec par-dessus une dalmatique noire à croix blanche et un manteau blanc, l'un d'entre eux, celui de gauche, dirigeant la pointe de son épée vers le sol (cette dernière caractéristique se présentant aussi sous Honoré V).

Le cimier à la fleur de lys surmontant le timbre, en l'occurrence une couronne de pointes pyramidales à la mode ancienne reposant sur un heaume grillagé, témoigne de la protection accordée alors aux Seigneurs de Monaco par le roi de France. La devise "Deo Juvante" (avec l'aide de Dieu) qui apparaît pendant l'administration de Lambert Grimaldi (vers 1420-1494) époux de Claudine, jaillit de la couronne. Par la suite, cette devise se trouvera placée juste au-dessus du blason puis au-dessous, dès le règne du Prince Florestan.

Pendant le temps de l'alliance avec l'Espagne (1524-1641), le cimier fait place à des lambrequins, une palme et un rameau d'olivier, issants du timbre. La couronne, quant à elle, prend l'aspect ducal ou princier.

Avec la protection française qui s'ensuivit, de 1641 à 1793, la fleur de lys trouve à nouveau sa place entre la palme et le rameau d'olivier, tandis qu'une autre couronne princière, de plus grandes dimensions, s'intercale entre l'ancien timbre (qui s'atrophie sous le règne du Prince Louis Ier – 1662-1701 – puis disparaît) et le blason. Avec la dignité de pairs conférée par le roi Louis XIII, les Princes de Monaco complètent leurs armoiries par l'ornement en usage : le manteau doublé d'hermine qui entoure l'ensemble. Au XIXe siècle, après la disparition de la monarchie française et la restauration des Princes, le manteau ducal cédera la place au manteau royal de pourpre (à quelques exceptions près) doublé d'hermine et orné d'une couronne princière fermée, signe de la pleine souveraineté des Princes.

Sous le règne du Prince Florestan, le cimier change encore une fois d'apparence : la fleur de lys est définitivement substituée par une croix, symbole des liens étroits qui perdurent entre le Saint-Siège et les Princes de Monaco. (Notons cependant que cette croix apparaît déjà dans les armoiries du Prince Héréditaire Honoré (1778-1841) futur Honoré V, au sommet de la deuxième couronne fermée reposant sur l'écu qui, quant à elle, sera supprimée le règne suivant). …/…

3.-


Les ordres représentés autour de l’écu changent de nature à la suite des renversements d'alliance successifs : le collier de l'ordre de la Toison d'Or, octroyé à Honoré II en 1625 ; les colliers de l'ordre de Saint-Michel et de l'Ordre du Saint-Esprit, lorsqu'en 1641 les Princes choisirent la protection de la France, laquelle ne subira d'interruption qu'avec la Révolution française, de 1793 à 1814.

Le 5 février 1793, toutes les marques, titres de l’ancien régime et armoiries sont abolies par la Convention nationale monégasque. Après l'annexion de la Principauté à la République française, Monaco, Roquebrune et Menton suivirent les lois et règlements en vigueur dans le département des Alpes-Maritimes. Le décret de la Convention nationale française du 4 juillet 1793 ordonne l'abolition des armoiries sur tous les monuments publics et l'abolition du papier timbré armorié.

En 1858, le Prince Charles III institue un ordre honorifique portant son nom, afin de récompenser le mérite et reconnaître les services rendus à l'Etat ou à sa personne. Dès lors, en toute logique, c'est le collier de l'ordre de Saint-Charles qui ceint l'écu de la Maison de Monaco, réaffirmant ainsi la souveraineté de ses Princes.

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Cette communication n’est pas signée (il convient de signer au moyen de quatre tildes rappelons-le) mais l’historique indique : « 27 mars 2012 à 22:33‎ Rogermichel98 (d · c · b)‎ . (11 437 octets) (+5 853)‎ . . (→‎Armoiries de Monaco : précisons officielles) ». Alphabeta (d) 28 mars 2012 à 21:01 (CEST)[répondre]