Discussion utilisateur:Lucas·G

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Le sourcier de la colline 28 février 2013 à 18:18 (CET)[répondre]

Îlet Madame[modifier le code]

Bonjour,

J'ai indiqué une source pour cette altitude qui est l'IGN et qui indique 19 mètres d'altitude. Si tu as d'autres sources qui indiquent d'autres valeurs, tu peux les rajouter dans l'article. Mais google earth n'est pas assez précis pour les altitudes et les mesures personnelles comme avec un gps sur le terrain ne sont pas des informations acceptées dans les articles.

Cordialement, Rémi  5 mars 2013 à 00:36 (CET)[répondre]

Îlet Madame[modifier le code]

Dans ce cas d'accord, merci de ton explication.

Cordialement, Lucas·G.

Analyse automatique de vos créations[modifier le code]

Bonjour.

Je suis Badmood, un robot dressé par Phe. Je fais l'analyse quotidienne de tous les articles créés deux jours plus tôt afin de détecter les articles en impasse et les articles sans catégorie.

Un article en impasse est un article qui ne contient aucun lien interne. Pour plus de détails sur les liens internes, vous pouvez consulter cette page.

Les catégories permettent une classification des articles. Pour plus de détails sur les catégories, vous pouvez consulter cette page.

Ajouter des liens ou des catégories n'est pas obligatoire, bien sûr, mais cela augmente fortement l'accessibilité à votre article et donc ses chances d'être lu et d'être amélioré par d'autres contributeurs.

Pour tout renseignement, n'hésitez pas à passer voir mon dresseur. De même, si vous constatez que mon analyse est erronée, merci de le lui indiquer.

Si vous ne souhaitez plus recevoir mes messages, vous pouvez ajouter « * [[Utilisateur:Lucas·G]] » en bas de cette page. Badmood (d) 8 mai 2013 à 12:53 (CEST)[répondre]

Analyse du 8 mai 2013[modifier le code]

Badmood (d) 8 mai 2013 à 12:53 (CEST)[répondre]

Bonsoir,

Vous avez annulé ma dernière modif de l'article (c'était donc un "[Quoi ?]") au motif que je serais "l'unique rédacteur à ne pas saisir le sens de cette phrase pourtant simple", en ajoutant "Veuillez ne pas persister davantage".

Je pense être d'une compréhension honnête, voire bonne, en général, et je déplore de ne pas comprendre, effectivement, le sens "profond" de la phrase, ou plutôt de la proposition, en question.

Il est question du fait que l'eigengrau est perçu "plus lumineux qu'un objet noir en condition d'éclairage normal", ce que je comprends a priori, mais ce qui suit est censé expliquer pourquoi cela, puisque le reste de la phrase est après un "car".

Or c'est là que les choses se compliquent, je trouve. L'explication donnée est donc que "le contraste entre les luminosités de deux couleurs est plus déterminant pour la vision que la luminosité absolue d'une teinte". Je peux toujours comprendre cette assertion censément explicative de la première partie de la phrase en soi, mais je ne saisis pas la relation d'explication. Car l'eigengrau "est la couleur vue par l'œil humain dans l'obscurité totale", nous sommes bien d'accord. Mais on parle du "contraste entre les luminosités de deux couleurs" dans l'explication alléguée. Ce contraste est, nous dit-on, "plus déterminant pour la vision que la luminosité absolue d'une teinte". Quel rapport avec l'eigengrau, puisqu'il s'agit dans ce cas d'obscurité totale, même si un gris intrinsèque, ou "lumière intrinsèque" ("gris foncé uniforme" dû à la transmission d'un potentiel d'action le long du nerf optique même en l'absence de lumière), est perçu(e) dans ce cas ? Je dois avouer ma perplexité.

L'exemple qui suit ne nous "éclaire", si j'ose dire, pas plus, à mon sens. Savoir que "la nuit, un ciel sans nuage est perçu d'un noir plus foncé que l'eigengrau" est peut-être un fait, mais quel rapport avec ce qui précède ?

Je ne veux pas entrer dans une guerre d'édition, mais, comme écrivait Boileau quelque part, "Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, / Et les mots pour le dire arrivent aisément.".

Je n'ai pas l'impression que les choses soient clairement énoncées dans le passage de l'article dont nous nous entretenons.

Mais peut-être me convaincrez-vous du contraire...

Bien à vous,

Aruspice (discuter) 8 novembre 2013 à 01:01 (CET)[répondre]

Bonsoir,

Je comprends votre perplexité, car il est vrai que ces notions de contrastes et de luminosité absolue ne sont peut-être pas assez clairement énoncées. L'explication donnée au fait que « l’eigengrau est perçu plus lumineux qu'un objet noir en condition d'éclairage normal » consiste en le fait suivant : l'œil n'ayant, dans l'obscurité totale, aucune luminosité repère lui permettant d'apprécier la qualité du noir, c'est la luminosité intrinsèque de cette teinte qui prime et donne un gris qui, quoique foncé, se distingue assez aisément du noir (comme le montre son code RGB). Ce n'est pas un noir complet du fait du « potentiel d'action transmis le long du nerf optique » même si aucune lumière ne parvient à l'œil, lié à un constant processus d'isomérisation de la rhodopsine, pigment photosensible présent dans les bâtonnets et responsable de la sensibilité de l'œil à la lumière (voir article dédié).

En revanche, et comme le montre l'exemple du ciel étoilé, lorsque des teintes de luminosités différentes, et de préférence éloignées, sont présentes dans un même champ de vision, le contraste fourni par des objets lumineux (étoiles) accentue, en proportion, la noirceur de la teinte sombre (ciel). Par conséquent, le ciel est bel et bien noir, mais si l'on regardait uniquement sa couleur sans autre objet, on percevrait de l'eigengrau ; mais la présence d'étoiles inhibe ce phénomène et rétablit la vision d'un noir d'encre.

C'est en tout cas ce que je pense avoir compris à ce sujet. J'espère avoir pu vous éclairer, mais si vous souhaitez, désormais, rendre l'article encore plus clair, n'hésitez pas à apporter vos compétences. Simplement, il ne servirait à rien de rétablir une balise "Quoi ?".

Boileau est certes un très grand auteur et l'aphorisme que vous citez semble pertinent, mais en science, il est parfois des vérités qui ne peuvent pas être énoncées de manière complète et précise si l'on ne s'autorise que la plus poussive des simplicités d'énonciation. Richard Feynman, prix Nobel de Physique en 1963, écrivait : « Si vous insistez pour avoir une définition précise de la force, vous ne l'aurez jamais. »

En espérant avoir répondu à vos questions,
Cordialement,
Lucas·G (discuter) 8 novembre 2013 à 21:36 (CET)[répondre]
Bonsoir,
Je ne suis pas compétent a priori pour le sujet, c'est d'ailleurs pourquoi je me permettais de demander, à travers mon "Quoi ?", une introduction plus claire pour l'article. Peut-être que vous pouvez en proposer une en reprenant ce que vous venez de tenter de m'expliquer, je ne sais pas. Pour ma part, et si j'ose dire, je n'y vois pas vraiment plus clair, encore que. Si jamais j'arrive à clarifier quoi que ce soit, je ne manquerai pas de vous en faire part et/ou de modifier l'article. Sinon, je ne pense pas que nous soyons tenus à "la plus poussive des simplicités d'énonciation", comme vous dites, mais nous pouvons toujours tenter d'améliorer les choses et surtout de permettre au lecteur lambda, non spécialiste a priori, d'y comprendre quelque chose.
Bien à vous,
Aruspice (discuter) 8 novembre 2013 à 23:13 (CET)[répondre]