Discussion Projet:Tourisme/Archive 2013

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Pages à supprimer ou fusion d'articles[modifier le code]

L'article Groupe Plein Air Terrebonne est proposé à la suppression[modifier le code]

Page proposée à la suppression Bonjour,

L’article « Groupe Plein Air Terrebonne (page supprimée) » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). Après avoir pris connaissance des critères généraux d’admissibilité des articles et des critères spécifiques, vous pourrez donner votre avis sur la page de discussion Discussion:Groupe Plein Air Terrebonne/Suppression.

Le meilleur moyen d’obtenir un consensus pour la conservation de l’article est de fournir des sources secondaires fiables et indépendantes. Si vous ne pouvez trouver de telles sources, c’est que l’article n’est probablement pas admissible. N’oubliez pas que les principes fondateurs de Wikipédia ne garantissent aucun droit à avoir un article sur Wikipédia.

11 janvier 2013 à 15:18 (CET)Patrick Rogel (d)

Les articles Maison du tourisme et Maisons du tourisme en Wallonie sont proposés à la fusion[modifier le code]

Proposition de fusion en cours.
Proposition de fusion en cours.

La discussion a lieu sur la page Wikipédia:Pages à fusionner#Maison du tourisme et Maisons du tourisme en Wallonie. La procédure de fusion est consultable sur Wikipédia:Pages à fusionner.

Lysosome (d) 18 février 2013 à 13:48 (CET)

L'article Voie verte le Chemin vert est proposé à la suppression[modifier le code]

Page proposée à la suppression
Page proposée à la suppression

Bonjour,

L’article « Voie verte le Chemin vert » est proposé à la suppression (cf. Wikipédia:Pages à supprimer). Après avoir pris connaissance des critères généraux d’admissibilité des articles et des critères spécifiques, vous pourrez donner votre avis sur la page de discussion Discussion:Voie verte le Chemin vert/Suppression.

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Rigoureux (d) 21 février 2013 à 22:45 (CET)

Explorers Hotel Disneyland Paris[modifier le code]

Bonjour,
L'article Explorers Hotel Disneyland Paris est proposé à la suppression. Vos avis sont les bienvenus. ---- El Caro bla 11 décembre 2013 à 21:11 (CET)

Discussions[modifier le code]

Page de discussion du Portail:Tourisme[modifier le code]

Bonjour. Je pense que ce serait pas mal de rediriger la Discussion Portail:Tourisme vers ici. Lysosome (d) 18 février 2013 à 13:50 (CET)

J'ai archivé cette page : voir Discussion Portail:Tourisme/Archive. La pdd du portail redirige désormais ici. Cordialement. --Skouratov (discuter) 27 août 2014 à 15:01 (CEST)

Idée sur le tourisme en RDC[modifier le code]

Par définition, Le tourisme s’entend comme étant le fait de voyager en direction d’un lieu autre que celui où l'on vit habituellement, y parcourir pour son plaisir. Ce qui peut impliquer le fait de louer une chambre pour une nuitée auprès d'un aubergiste et éventuellement la réservation de titre de transport.

Primitivement relié aux simples loisirs et à la santé humaine, le tourisme englobe actuellement tout un ensemble des activités économiques auxquelles la personne fait appel lors d'un déplacement inhabituel (transports, hôtels, restaurants, bars, etc.).

Désormais plusieurs formes de tourisme cohabitent au jour d’aujourd’hui, c’est ainsi qu’on parle distinctement d'un voyage d'affaires (on parle alors de « tourisme d'affaires ») ou d'un pèlerinage religieux (« tourisme culturel ») ou encore de voyager dans le but d'avoir des relations sexuelles avec des autochtones (« tourisme sexuel ou immoral »). On peut également désirer aller se faire soigner dans un autre pays différent de celui dans lequel on réside généralement, on parle alors dans ce sens de tourisme médical.

Il faut noter que pratiquer le tourisme permet en outre de marquer des pauses dans son emploi du temps utilitaire imposé par la nécessité de gagner sa vie pour les personnes très occupées dans leur vie. A cet effet ; il est vrai que Le touriste s'intéresse comme monnaie courante à la culture ou aux paysages qu'il visite. Cette pratique a été longtemps le privilège des individus riches ou fortunés qui pouvaient se permettre le luxe de voyager, pour apercevoir des constructions remarquables, admirer des œuvres d'art ou simplement goûter à d'autres cuisines. En ce qui nous concerne, Notre pays la RD Congo offre un éventail de toutes ses possibilités. Relevons que le tourisme a donné naissance à une véritable industrie dont notre pays peut sans aucun doute bénéficier s’il est correctement appliqué.

LES ATOUTS DE LA RDC EN MATIERE DU TOURISME.

Pays magnifique renfermant d’énormes atouts naturels aussi insoupçonnés qu’attrayants, la RDC présente des paysages aussi divers qu’attachants avec un patrimoine culturel extraordinaire porté par les quelques centaines d’ethnies qui composent son peuple.

Son riche écosystème, tout à fait particulier, présente une variété de paysages d’une beauté exceptionnelle (savanes, forêts profondes, montagnes, mangroves, fleuve et rivières), elle-même façonnée par la diversité climatique à l’œuvre au Congo. Ainsi qu’une faune unique avec de nombreuses espèces endémiques au pays dont plusieurs spécimens emblématiques parmi lesquels l’okapi, le bonobo, le gorille de montagne, le gorille de plaine, le paon congolais et jusqu’il y a peu le rhinocéros blanc. Ce formidable réservoir de faune et flore notamment présent au sein des huit parcs nationaux et des soixante-trois réserves et domaines naturels que compte la RDC, dont plusieurs sont inscrits à la liste des sites mondiaux en danger de l’UNESCO. La plupart de ces espaces protégés étant en effet confrontée à de graves problèmes (braconnage, déforestation, pillage des ressources naturelles, etc.) conséquents aux troubles que le pays a connus ces quinze dernières années et qui mettent en péril les efforts de conservation déployés pour sauvegarder ces trésors inestimables. Quant au patrimoine culturel et humain, il est d’une richesse ahurissante en ce sens que l’on compte plus de 450 ethnies et presque autant de langues, pratiques, coutumes et traditions, la plupart méritant encore d’être étudiées et valorisées sur les plans artistique, culturel et anthropologique. Tout cela forme ce pays unique en bien des aspects, d’une beauté et richesse incroyables, et au potentiel, écotouristique notamment, énorme.

Pays de superlatifs

Ce qualificatif ne manque pas de fondement concernant notre pays si l’on regarde de près le Congo. Tout d’abord par l’immensité de son territoire qui le place au douzième rang mondial : avec 2 345 409 km² (80 fois la Belgique et 4 fois la France), seuls l’Algérie et le Soudan surpassent la RDC sur le continent africain. Pays le plus peuplé d’Afrique centrale, la RDC est traversée par deux fuseaux horaires. La capitale Kinshasa, mégapole de plus de dix millions d’habitants elle-même appelée à devenir la première ville africaine d’ici à 2020, occupe le même fuseau horaire que Bruxelles et Paris et se trouve à plus de 500 kilomètres au sud de l’équateur. Celui-ci traverse le pays, notamment à Mbandaka (Equateur) et à Butembo (Nord-Kivu), conférant au Congo son climat majoritairement tropical. A proximité de l’équateur, dans la province du Nord-Kivu, on trouve le troisième plus haut sommet d’Afrique couvert de neiges éternelles : le Pic Marguerite du massif du Ruwenzori qui culmine à 5 119 mètres derrière le Kilimandjaro et le Mont Kenya. Autre caractéristique impressionnante : le réseau hydrographique de la RDC et colossal. Couvrant environ 77 810 km² ; il est constitué d’une multitude de lacs et rivières, dont les fameux Grands Lacs (lac Victoria, lac Tanganyika, lac Edouard, lac Kivu…) à cheval sur les pays voisins à l’Est, et qui comptabilisent aussi des records au niveau africain et mondial. Et bien sûr le majestueux fleuve Congo, véritable colonne vertébrale du pays, et deuxième fleuve au monde derrière l’Amazone pour son débit de 80 832 m³/s, et cinquième par sa longueur (4 700 km). Mais la RD Congo, c’est aussi ce « scandale géologique » selon l’expression consacrée, avec des teneurs incomparables en minerais parmi les plus précieux au monde (coltan, diamant, or, cuivre, étain…). La RDC peut être fière également de posséder 47 % du massif forestier tropical du continent africain, le deuxième du monde après l’Amazonie et 6 % des réserves tropicales mondiales. C’est dire la démesure présente au sein d’un seul pays et la richesse incroyable qu’il contient. D’où l’énorme intérêt qu’il suscite, y compris sur le plan touristique.

Patrimoine culturel exceptionnel.

Près de 450 ethnies différentes cohabitent sur le territoire tout en conservant leur mode de vie propre qui se traduit par de nombreuses pratiques spécifiques comme les danses, les musiques, les masques, l’habitat, l’artisanat et divers arts formant ainsi un patrimoine humain et culturel unique. La langue officielle est le français aux côtés des quatre langues nationales reconnues : le swahili dans les provinces de l’Est ; le lingala dans la Province Orientale, l’Equateur et à Kinshasa ; le kikongo dans les provinces du Bas-Congo et du Bandundu ; et le tshiluba dans les deux Kasaï et le Katanga. Des centaines de dialectes sont également identifiés dans le pays, qui font partie de son patrimoine immatériel tel que reconnu par l’UNESCO. S’il est vrai que la capitale Kinshasa s’est affirmée comme le carrefour de toutes les cultures du Congo et de celles venues d’ailleurs à la suite de mouvements de populations à travers le temps, cette ville a par ailleurs réussi à créer et à développer sa propre culture, basée notamment sur un sens de la fête inégalé et une ambiance résolument particulière (voir le city guide Petit Futé Kinshasa). Avec ses codes et ses manifestations particulières, la culture kinoise permet à la capitale, non seulement de jouer un rôle central au Congo, mais d’avoir une identité propre qui la distingue des autres villes d’Afrique et du monde. Tout cela fait de Kinshasa une ville à découvrir et à redécouvrir, et où il fait bon vivre au-delà des apparences et des problèmes d’insalubrité. Enfin, rendons hommage à cette population congolaise chaleureuse, pour qui le visiteur de passage est toujours le bienvenu et traité comme il sied, à la mesure des moyens disponibles et fidèle à la tradition d’accueil, que l’on soit en ville ou en brousse profonde. Ce qui participe également à la spécificité et richesse de cette destination largement méconnue.

Contrée mythique

De tous temps, et bien avant sa découverte officielle à partir du 15e siècle, le Congo a fasciné et nourri de nombreux mythes, fantasmes et rêves d’exploration depuis le vieux continent européen. Dès le premier siècle, l’astronome et géographe Ptolémée situe approximativement les Monts de la Lune (Massif du Ruwenzori) et des lacs supposés alimenter le Nil, sur sa célèbre carte du monde. Ce qui donnera lieu à de nombreuses expéditions au fil de l’histoire, souvent largement médiatisées en Europe : tout d’abord celles, portugaises, du 15e siècle qui marquent la découverte de l’embouchure du fleuve Congo. Jusqu’aux explorations britanniques et belges du 19e siècle, ces dernières aboutissant à la création de l’Etat Indépendant du Congo, propriété personnelle d’un monarque devenu mythique lui aussi, Léopold II. Autres figures et épisode historiques légendaires qui ont nourri la fascination européenne à propos de cette région à la même époque : l’explorateur Stanley parti à la recherche du Docteur Livingstone qu’il retrouvera finalement en 1871 avec la célèbre formule restée célèbre elle aussi : « Dr Livingstone, je présume ? ». Sans parler des campagnes esclavagistes à l’œuvre au cours du 19e siècle et conduites depuis Zanzibar par les « Arabisés » qui, quoique bien réelles, n’en ont pas moins alimenté nombre de fantasmes et contribué à l’édification du « mythe Congo ». Ne manquait plus qu’un certain Joseph Conrad avec son édifiant « Heart of Darkness » (1902), l’évocation des missionnaires partis évangéliser le cœur de l’Afrique, et autres récits coloniaux épiques (construction du chemin de fer, campagnes anti-esclavagistes, capture et exhibition de Pygmées, légendes de cannibalisme ou lions mangeurs d’hommes, etc.), pour rajouter à l’imaginaire collectif sur cette contrée à l’histoire véritablement incroyable. Et dont des vestiges subsistent aujourd’hui (objets ethnographiques, marchés aux esclaves, bateau de Stanley, missions religieuses, première locomotive, etc.).

Potentiel impressionnant

Potentiel humain tout d’abord avec une population d’environ 66 millions d’habitants, et une forte croissance démographique évaluée à 3,3 % par an. Il n’est de richesses que d’hommes dit-on surtout si l’on affaire à Une population si jeune et si volontaire, dont les moins de quinze ans constituent 46 %. En cas de contexte économique stable et pourvoyeur d’emplois pour le plus grand nombre, cette belle et noble jeunesse représenterait une force de travail assez incroyable pour le pays. Enorme potentiel économique ensuite, lié en premier lieu à l’industrie minière et qui devrait logiquement voir le Congo émerger parmi les nouvelles puissances mondiales, tant son sous-sol est riche en minerais et ressources stratégiques. Mais qui malheureusement ne profite pas encore assez au pays et à ses habitants, à cause principalement à la mauvaise gestion caractérisant notre Pays malgré des remaniements annoncés dans les contrats miniers actuellement favorables aux sociétés et pays étrangers. Autre secteur porteur économiquement et pourvoyeur d’emplois en plus d’assurer à terme une autosubsistance bien nécessaire : le potentiel agro-alimentaire de cette terre si fertile et au climat tropical propice et varié où tout pousse comme par enchantement. Et ce, bien que le Congo soit encore contraint d’importer massivement des produits alimentaires, alors qu’il pourrait nourrir tout le continent si ce secteur primaire était organisé comme il se doit ! Ce qui constitue par ailleurs des pistes intéressantes en termes d’agrotourisme, comme c’est déjà le cas au sein de certaines initiatives dans la périphérie de Kinshasa et ailleurs dans le pays avec des domaines agro-pastoraux ou agro-forestiers ouverts au public, notamment au Katanga. Les énormes ressources hydrographiques représentent aussi un fort potentiel à différents niveaux : production d’électricité, halieutique, en termes de transport et tourisme… Sans parler bien sûr des ressources naturelles en faune et flore et de ces espaces vierges et authentiques (parcs naturels) déjà évoqués, dont l’impact touristique paraît évident.

Perspectives éco touristiques

Labyrinthe à part entière, si tous ces secteurs sus évoqués ou presque, étaient développés comme il se doit, cela produirait des effets explosifs fort favorables à l’éclosion d’un écotourisme durable et responsable. Qui plus est, relativement facile et rapide à mettre en place et qui nécessite peu d’investissements. Que ce soit via l’agrotourisme, le tourisme industriel, fluvial, historique, culturel… Les parcs nationaux notamment peuvent faciliter rien qu’à eux seuls le développement d’un tourisme de vision (safaris), très porteur économiquement, et/ou d’un tourisme d’aventure (trekking, alpinisme, activités nautiques, etc.). Reste aux Congolais à prendre ces initiatives et dégager les moyens nécessaires pour déployer ces projets d’envergure et optimiser les immenses ressources en latence de leur pays. Pour qu’on assiste enfin au « réveil du géant » et que la RDC prenne la place qui lui revient sur l’échiquier mondial, eu égard à toutes ses potentialités. Et pour que cela profite enfin et surtout à la population, qui n’a bien souvent pas vu la couleur d’un quelconque progrès au cours de l’histoire. Même si on constate que les choses commencent à bouger et qu’un frémissement est perceptible, y compris sur le plan touristique… Pourvu que ça dure.

Place occupée par Le tourisme en République démocratique du Congo.

Le tourisme étant une richesse pérenne qui survivra après les mines (diamant, or, pétrole, cassitérite, cuivre, coltan, cobalt, etc.), il t reste le seul secteur de rechange pour la RDC avec ses magnifiques parcs, rivières, forets vierges, surtout sont prestigieuse parc de Virunga ou l’ont trouve les Gorilles de montagne, les eaux thermales, les volcans actives de Nyiragongo et Nyamuragira, la plaine de la Rwindi, les forets alpines, le mont Rwenzori avec ses neiges éternelles.

Cette grande potentialité touristique de la RDC devra être entretenue, sécurisée, conservée et exploitée en vue de faire du Congo la destination la plus demandée par les touristes étrangers, et nationaux, et ceci contribuera à faire entrer les devises dans le trésor public. Le tourisme international peut apporter au pays des devises étrangères et est le seul moyen dans le contexte actuel de la fin de la transition de compenser le déficit de la balance commerciale tan disque le tourisme national peut contribuer à limiter les sorties des devises. Chose déplorable, le tourisme qui peut constituer une base de développement économique du Congo est quasiment ignoré par les politiciens congolais, fait constater lors des dernières campagnes électorales.

Mais malgré la conjoncture socioéconomique et sécuritaire précaire, quelques initiatives locales ont permis la relance des visites aux gorilles des montagnes habitués à Jomba et l’agence du tourisme Go Congo (www.gocongo.com ) a put organisé des croisières sur le fleuve Congo depuis 8 mois déjà.

Et maintenant que la réunification du pays et la réconciliation nationale sont effectives, le gouvernement devra mettre à profit la stabilité retrouvée pour créer une véritable industrie touristique dont l’hôtellerie, routes, sécurité cessation des tracasseries policières constitue le facteur capital incontournable du tourisme. Certaines mesures urgentes doivent être prises pour la relance du tourisme dont voici quelques propositions concrètes.

Le gouvernement devra juguler l’insécurité persistante dans quelques coins de notre pays et garantir une libre circulation des touristes en sensibilisant nos policiers, les agents de l’ANR, et de la DGM ont cessé de tracasser les étrangers. Pour servir d’exemple L’état devra commencer a arrêté jusqu'à condamner sévèrement à 5 ans de servitude pénale toute personne qui sera prise entrain d’une manière ou d’une autre, de tracasser un touriste. L’Etat devra aussi cibler les ambassades de la RDC dans une large politique de Marketing d’utilité nationale en vue de les sensibiliser à la nécessité d’accueillir chaleureusement leurs visiteurs car le voyage commence à l’ambassade. L’Etat devra assurer la disparition des taxes comme le permis de photographie et de toutes autres taxations inadéquates. Aussi pour attirer les touristes à venir en grands nombres dans notre pays l’état devra imiter d’autre pays En réduisant le prix du visa jusqu'à la supprimé comme ont fait quelques pays d’Afrique australe et le Rwanda.

L’ ICCN devra à son tour formé et engagé des guides qui parlent anglais, la langue parle par beaucoup des touristes.

Espérons que le Gouvernement issu des dernières élections démocratiques accordera une grande importance au développement du Tourisme Congolais et le soutien politique nécessaire pour son essor car le tourisme dans le monde est devenu une des principales activités au point que certains pays en vivent, par exemple la Suisse, le Kenya, l’Egypte, le Maroc, le Cuba, la Tunisie, etc.….

En conclusion, tout le monde doit savoir que le respect aux touristes constitue l’élément essentiel dans le monde pour la promotion du tourisme.

Le tourisme et la réduction de la pauvreté

Le tourisme est l’un des vecteurs majeurs du commerce international et de la prospérité. La réduction de la pauvreté est l’un des défis mondiaux les plus importants. Malgré cette période de turbulences pour l’économie mondiale, il est peu probable que ces affirmations de base changent. La polarisation des richesses pour renforcer un tourisme au profit des populations les plus démunies représente une énorme tâche mais aussi une opportunité.

LA POSITION SPÉCIALE DU TOURISME DANS LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ

1. La taille et la croissance du secteur

Dans de nombreux pays, le tourisme agit comme un moteur de développement grâce à l’épargne en devises étrangères et à la création d’emplois directs et indirects. Le tourisme contribue à 5% du PIB mondial. Il représente 6% des exportations mondiales de services ; il est également le quatrième secteur exportateur, après le pétrole, les produits chimiques et l’automobile. Le tourisme offre 235 millions d'emplois, soit un emploi sur douze dans le monde entier. Les arrivées internationales ont augmenté de plus de 4%, passant de 939 millions en 2010 à 982 millions en 2011, année caractérisée par une reprise économie mondiale stagnante, par de nombreux changements politiques au Moyen-Orient et Afrique du nord, et les catastrophes naturelles au Japon.

2. L’importance relative du tourisme dans les pays en développement Le tourisme, dans de nombreux pays moins développés et en développement, représente l’option de développement économique durable la plus fiable, et, pour certains de ces pays, la principale source d’épargne en devises étrangères. Une partie de ces revenus favorise différents groupes de la société et, si le tourisme met l’emphase sur la réduction de la pauvreté, celui-ci peut bénéficier directement les groupes les plus pauvres grâce l’emploi des populations locales dans les entreprises touristiques, l’approvisionnement en biens et services aux touristes, ou par la création de petites entreprises communautaires locales, etc., l’impact sur les niveaux de réduction de la pauvreté étant positif. Ces dernières années, le tourisme fut caractérisé par deux grandes tendances : la première fut la consolidation des destinations touristiques traditionnelles telles que l’Europe occidentale et l’Amérique du nord ; la deuxième fut une expansion géographique prononcée. Il y a eu une diversification substantielle des destinations et nombreuses d’entre elles ont enregistré une augmentation significative de leurs arrivées touristiques. Les arrivées vers les pays en développement ont enregistré 46% des arrivées internationales globales pour 2011. Le tourisme est devenu un élément majeur dans l’économie des pays en développement.

Voici quelques faits probants :

  • En 2011, les arrivées touristiques internationales vers les marchés émergents et les pays en développement ont enregistré 459 millions.
  • Le tourisme est la première ou la seconde source d’épargne en devises pour 20 des 48 pays les moins développés du monde.
  • Dans certains pays en développement, particulièrement les petites îles Etats, le tourisme peut représenter 25% du PIB.

3. Les caractéristiques du tourisme

Il existe plusieurs caractéristiques du tourisme en tant qu’activité particulièrement bénéfique pour les pays à faibles revenus et leurs communautés les plus pauvres. Ceci inclut :

  • Ses atouts particuliers. Le tourisme donne une grande valeur à des particularités communes aux pays en développement, telles que le climat chaleureux, le patrimoine culturel riche, les paysages envoûtants, et l’abondante biodiversité. Ces traits forts sont particulièrement apparents dans les zones rurales, à l’avantage du tourisme et, en revanche, au désavantage de la plupart des autres secteurs économiques.
  • Son accessibilité aux pauvres. Le tourisme est un secteur de main-d’œuvre relativement important, formé traditionnellement par des petites et micro entreprises. De nombreuses activités touristiques sont particulièrement vouées aux femmes, aux jeunes et aux groupes de populations marginales telles que les minorités ethniques. Plusieurs emplois touristiques sont facilement accessibles aux pauvres car ils requièrent de faibles capacités et de petits investissements. Certains emplois peuvent être à temps partiel et servir ainsi de revenus complémentaires à d’autres activités.
  • Son interaction. Les différents critères et actions définissant le produit touristique sont tellement nombreux, à l’intérieur d’une chaîne d’approvisionnement large et diversifiée, que les dépenses des touristes bénéficient à un large éventail de secteurs tels que l’agriculture, l’artisanat, les transports et autres activités. A leur tour, les employés de ces secteurs, dont les revenus sont assurés grâce au tourisme, bénéficient à d’autres secteurs économiques (il s’agit d’un effet multiplicateur).
  • Ses liens entre les consommateurs et les producteurs. Le tourisme est une activité qui met en contact le consommateur avec le producteur. L’interaction entre les touristes et les communautés défavorisées peut fournir des bénéfices intangibles et pratiques. Les valeurs culturelles, environnementales et économiques favorisent la prise de conscience croissante des enjeux dont la stimulation des investissements locaux en matière d’infrastructures.

Il existe néanmoins des aspects négatifs du tourisme qui, s’agissant de la réduction de la pauvreté, requièrent une attention particulière. Les principaux sont les suivants :

  • Imprévisibilités et fluctuations de la demande. Le tourisme est très sensible aux événements économiques, environnementaux, et sociopolitiques qui influent sur la disposition des touristes aux voyages. Les pauvres sont très vulnérables à la baisse soudaine de la demande car ils ne possèdent ni assurances ni sécurité sociale. Cependant la demande touristique remonte rapidement dès le changement favorable des événements.
  • La nature saisonnière de la demande, caractérisée par des pointes d’activités. Ceci requiert une bonne intégration entre le tourisme et les autres activités économiques dans le but de fournir un moyen de subsistance suffisant tout au long de l’année.
  • L’impact sur les ressources vitales. Ceci inclut l’eau, la terre, l’alimentation, les sources d’énergie et la biodiversité. Leur usage par les pauvres peut être mis en danger par une surconsommation des touristes. La dégradation des aspects culturels et la perturbation des structures sociales sont des menaces parallèles. Les questions sur la réduction des ressources et la dégradation environnementale sont tout aussi importantes à l’échelle mondiale que locale, qui incluent les effets du tourisme à long terme sur le changement climatique et sur l’impact des mesures pour mitiger et adapter les modes de voyage.
  • Faibles liens avec les pauvres. La nature des investissements touristiques et le manque d’engagement de la part des pauvres peuvent causer une fuite des touristes, donc de leurs dépenses, vers d’autres destinations. Les revenus générés ne bénéficieront donc pas aux pauvres mais aux segments de la société les mieux qualifiés et les plus riches.

Le tourisme ne doit pas être considéré comme la « réponse » à la réduction de la pauvreté bien qu’il y contribue fortement. Le potentiel permettant de développer un tourisme plus large et de canaliser un pourcentage plus élevé de dépenses touristiques au bénéfice des pauvres, est parfois élevé dans certaines zones, plutôt faibles dans certaines autres. Ceci dit, et conformément à la taille du secteur, certains changements, même minimes, peuvent contribuer largement à faire la grande différence.

Si l’on considère la croissance dans son ensemble, les bénéfices économiques et autres avantages pour les pauvres doivent être étudiées sous deux facettes :

Afin de contribuer de manière significative à la réduction de la pauvreté, il est essentiel d’étudier les différents courants touristiques dont deux d’entre eux requièrent une attention particulière :

  • Engager le secteur privé, à travers des opérations et des investissements significatifs, et par le biais de petites et micro entreprises, grâce auxquels les ressources économiques liées au tourisme seront créées et distribuées. Ces opérations devront être complétées par des mesures générant plus de bénéfices pour les pauvres telles que les politiques de l’emploi, les liens entre l’implantation d’activités touristiques et les produits locaux, ainsi qu’une plus grande concurrence.
  • S’assurer que les destinations touristiques soient concurrentielles et durables, en étudiant les problèmes de gestion des ressources et la relation entre le tourisme et les autres secteurs de l’économie.

Cette approche devra être complétée par des séances de travail avec les communautés locales afin de leur faire comprendre quels sont leurs besoins et comment créer des opportunités accessibles. Ceci doit cependant rester lié à un contexte touristique plus large et au marché.

10 Principes pour atteindre la réduction de la pauvreté grâce au tourisme [1]

  1. Tous les aspects et les types de tourisme peuvent et doivent s’engager à réduire la pauvreté.
  2. Tous les gouvernements doivent inclure la réduction de la pauvreté comme objectif-clé du développement touristique, donc considérer le tourisme comme un instrument possible de réduction de la pauvreté.
  3. La compétitivité et le succès économique des entreprises touristiques et des destinations sont décisives pour la réduction de la pauvreté. Sans cela les pauvres ne tirent aucun profit.
  4. Toutes les entreprises touristiques doivent se sentir concernées par l’impact de leurs activités sur les communautés locales et faire en sorte de bénéficier les pauvres à travers leurs actions.
  5. Les destinations touristiques doivent être gérées par des stratégies et des plans d’actions dont l’objectif principal est la réduction de la pauvreté.
  6. Una grande compréhension de la façon dont le tourisme fonctionne dans les destinations est demandée, à savoir : comment les revenus touristiques sont-ils distribués et qui peut en bénéficier.
  7. La gestion et le développement du tourisme doivent inclure un large éventail d’intérêts, dont la participation et la représentation des communautés pauvres.
  8. Les impacts potentiels du tourisme sur les moyens de subsistance des communautés locales doivent être pris en compte, dont les impacts locaux et globaux, actuels et futurs, des ressources naturelles et culturelles.
  9. Une attention doit être donnée à la viabilité de tous les projets concernant les pauvres, en assurant l’accès aux marchés et aux grandes opportunités bénéficiant les liens avec les entreprises existantes.
  10. Les impacts du tourisme sur la réduction de la pauvreté doivent être contrôlés de façon efficace.

Développement du tourisme durable

1) OBJECTIF

Établir un cadre stratégique pour les activités de la Communauté européenne (CE) dans le secteur du tourisme dans les pays en développement afin de faire en sorte que le tourisme puisse se développer de manière durable en assurant la contribution positive de ce secteur à long terme.

2) ACTE

Communication de la Commission, du 28 octobre 1998, au Conseil et au Parlement européen. "Une stratégie d'appui au développement d'un tourisme durable dans les PVD pour la Communauté européenne" [COM(1998) 563 final/2 - Non publié au Journal officiel].

3) SYNTHÈSE

Rôle du tourisme

Le tourisme est devenu un secteur très important et dynamique dans l'économie mondiale et en particulier pour les pays en développement. Sa croissance touche non seulement les activité liées au tourisme (principalement le secteur privé) mais aussi d'autres secteurs tels que le transport. Il permet la création d'emplois et ceci pour des couches diverses de la société, qualifiées et non-qualifiées et les personnes souvent marginalisées dans le marché du travail, comme les femmes.

Le tourisme est déjà un secteur important pour certains pays en développement et va le devenir pour d'autres pays. Il s'agit de saisir les occasions que ce phénomène présente mais il faut aussi veiller à ce que ce secteur ne développe pas de manière incontrôlée menaçant l'environnement naturel et la vie sociale et culturelle du pays. Le développement incontrôlé du secteur risque de rendre l'avenir du secteur limité sur le long terme.

Acteurs

Le tourisme repose quasi-exclusivement sur le secteur privé, aussi bien sur les grandes entreprises que les petites et moyennes entreprises (PME). Néanmoins, il faut tenir compte du rôle essentiel des pouvoirs publics. La stabilité politique, la bonne gestion de l'environnement, la sécurité, etc. sont des facteurs essentiels pour attirer les touristes et les pouvoirs publics sont, en grande partie, responsable de ces domaines.

Quant à la Communauté européenne, la croissance de ce secteur est reflétée dans sa politique de développement et elle est un bailleur de fonds significatif dans ce domaine.

Objectifs et moyens

La Communauté européenne a examiné les activités du passé dans ce domaine et a tiré quelques conclusions comprenant les points suivants:

  • les activités ont été trop centrées sur la promotion du tourisme et les aspects environnementaux et sociaux ont été négligés;
  • le choix des interlocuteurs a été trop restreint. Les offices nationaux du tourisme et les administrations nationales du tourisme constituaient en effet les interlocuteurs principaux. Il faut élargir le champ en consultant plus souvent le secteur privé, les organisations non-gouvernementales et les acteurs impliqués aux différents niveaux territoriaux (régional, local, etc.).

Une stratégie plus cohérente et globale est nécessaire.

Les objectifs principaux et le soutien de la CE visent à:

  • favoriser un développement durable du tourisme.

Aider à la mise en place de conditions favorables au développement durable qui protègent l'environnement et la population. La stratégie de la CE s'adresse aussi au problème du tourisme sexuel impliquant des enfants;

  • soutenir les pouvoirs publics à planifier et à gérer leur politique dans ce domaine ainsi qu'à assurer un suivi efficace.

La CE fournit principalement de l'aide technique pour aider les gouvernements des pays bénéficiaires à mettre en œuvre des politiques qui favorisent le développement d'un tourisme durable. Celles-ci comprennent la mise en place du cadre légal et institutionnel nécessaire, le soutien du développement des ressources humaines, la préservation du patrimoine public et l'amélioration des infrastructures. L'aide technique est aussi nécessaire pour améliorer l'information et l'organisation commerciale du secteur ;

  • contribuer à consolider le rôle de l'industrie du tourisme dans l'économie de marché ouverte et concurrentielle d'aujourd'hui.

Il faut encourager la coopération dans le secteur privé et accorder un soutien direct aux PME qui apportent une contribution considérable à ce secteur.

Principes de base pour la mise en œuvre de la stratégie

Le tourisme est un secteur fragmenté et complexe avec des relations étroites avec d'autres secteurs. L'approche de la CE doit être adaptée à cette complexité et à chaque pays. Les pays bénéficiaires seront principalement les pays en développement ayant des accords de coopération avec la CE qui incluent ce secteur.

La stratégie devrait être fondée sur les principes suivants :

  • définir le cadre de soutien pour le pays concerné.
    Le développement du secteur de tourisme varie d'un pays à l'autre. La stratégie pour le pays est fondée sur une analyse du secteur, visant, entre autres, à identifier la validité du développement touristique. Il faut aussi cibler l'aide en fonction du niveau de développement du secteur et les besoins (aide à court ou long terme, aide ciblée sur un secteur ou l'adoption d'une approche plus globale, etc.);
  • impliquer différents acteurs

Pour y arriver il s'agit notamment de promouvoir un partenariat entre l'administration publique et le secteur privé, de conclure des accords de cofinancement entre la CE et les pays bénéficiaires et de soutenir les initiatives locales. L'intervention de la CE se fait de bas en haut pour impliquer davantage d'acteurs;

  • encourager la coopération régionale

La coopération régionale peut être très utile, particulièrement pour les petits pays car elle permet de faire des économies d'échelle, de trouver des solutions communes aux problèmes communs et de faciliter l'échange de bonnes pratiques. Cohérence, coordination et complémentarité.

La stratégie doit être en harmonie avec les autres stratégies et politiques de la CE et doit aussi s'appuyer sur l'acquis communautaire en matière de tourisme. Il faut aussi assurer une cohérence entre tous les bailleurs de fonds. Cependant, la CE devrait assumer un rôle de pilote car elle a beaucoup d'expérience dans ce domaine et est le bailleur de fonds le plus important dans ce secteur.

Restaurant...[modifier le code]

Restaurant BISTRONOMIQUE LE FIL EST BLEU 2, Rue DUGUAY-TROUIN 29900 CONCARNEAU 02 98 11 20 00

Bonjour,

Nous n'arrivons pas a être connecte. Pouvez vous prendre contact
Pierre-Yves LANCIEN Gérant 06 09 76 06 13 ou restaurant 02 98 11 20 00
Voir notre site crée par les Pages jaunes. LE FIL EST BLEU CONCARNEAU
Merci.
Bien cordialement.

Pierre-Yves LANCIEN

Avis sur l'admissibilité d'une entreprise d'e-tourisme[modifier le code]

Bonjour,

J'ai proposé ce brouillon à la relecture (https://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Webnotori%C3%A9t%C3%A9/Brouillon), on m'a donné une première réponse à ma demande sur le forum de relecture. Réponse à laquelle j'ai répondu à mon tour et depuis je n'ai pas eu de retour. Je suis donc entrée en contact en privé via le tchat avec Juraastro, qui m'a dit que la page pourrait être admissible, si je modifiais la rédaction de l'article en le rendant moins publicitaire, plus factuel et neutre. Il m'a donc indiqué ce groupe de discussion ainsi que le groupe https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion_Projet:Entreprises, pour vous demander votre avis. Je viens donc vous demander si la page serait admissible si je modifiais son contenu. J'avais indiqué des éléments supplémentaires dans le forum de relecture, ici > https://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Forum_des_nouveaux/relecture#Demande_de_Webnotori.C3.A9t.C3.A9_:_Utilisateur:Webnotori.C3.A9t.C3.A9.2FBrouillon, afin d'expliquer pourquoi je pensais qu'il n'était pas illégitime de proposer la page de cette entreprise d'e-tourisme sur Wikipédia. Merci d'avance pour votre réponse. Cordialement.--Webnotoriété (discuter) 23 octobre 2013 à 13:01 (CEST)

propositions commerciales[modifier le code]

Bonjour, J'ai une association appelée "Activités Actions Anti-Galère et anti-crise" Je propose à mes adhérents différents services dont celui des loisirs jusqu'à présents locale, mais prochainement des voyages dans différentes destinations et avec animations.

Merci de me donner un contact direct et décisionnaire pour des propositions commerciales pour des voyages aériens

Cordialement

Will ATT 06 60 39 64 07