Discussion:Ville en transition

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Décroissance[modifier le code]

J'ai supprimé la phrase sur la complémentarité avec la décroissance, parce que je trouvais ça très réducteur et aussi susceptible de prêter à confusion sur la dimension politique des VeT, mais à la place, on pourrait sans doute le faire de manière plus détaillé pour lever toute ambiguïté... Leverbal (d) 24 mars 2009 à 23:14 (CET)[répondre]

J'ai écrit un texte conséquent sur les différences entre les VeT et la décroissance, que je connais depuis quelques années. J'ai pas forcément été tendre avec la décroissance, mais c'était dans le but de marquer les différences. Permactiviste (d) 11 avril 2009 à 16:22 (CEST)[répondre]

Vers un article de qualité ?[modifier le code]

L'article se remplit bien, aussi je me disais qu'on pourrait tendre vers un article de qualité, ça permettrait d'avoir des retours sur l'article, une meilleure visibilité etc.. Ce n'est pas pour demain, vu l'exigence de qualité que wikipedia demande (voir lien sur article de qualité), mais ça peut donner une direction et des idées. Permactiviste (d) 1 mai 2009 à 09:34 (CEST) Perso, je suis OK pour y participer YBastien[répondre]

Différence avec ville durable[modifier le code]

Quelle différence de fond y a-t-il :

Changement de titre ?[modifier le code]

Bonjour, je pense que le titre "Ville et territoires en Transition" est plus approprié, car c'est celui qu'utilise désormais le mouvement en France. OK pour le changer ? YBastien

Pourquoi pas ?--L'engoulevent [clavardage] 28 mai 2013 à 14:05 (CEST)[répondre]
C'est ce que j'allais proposer !Cxielarko (d) 28 mai 2013 à 21:55 (CEST)[répondre]

La transition Alimentaire indispensable le vegetarisme[modifier le code]

Peut on penser transition sans apporter un changement a son alimentation !

le rôle de l’alimentation sur la santé humaine. Cela aborde aussi la façon dont notre nourriture est produite, laquelle représente une partie non négligeable de nos rejets de gaz à effet de serre. En particulier, on connaît le rôle de la viande qui est associée à des émissions de gaz à effet de serre plus élevées et un usage d’intrants dans l’agriculture plus important que pour l’alimentation végétarienne. Changer ses habitudes alimentaires permet de contribuer à améliorer à la fois l’environnement et sa santé.

1. L’écologie Élever des animaux demande énormément d’eau. On estime que produire un kilo de bœuf nécessite environ 15.000 litres, c’est 15 fois plus que pour un kilo de pommes-de-terres. L’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) estime qu’une journée sans manger de viande économise 5.000 litres d’eau donc si 7 milliards d’humains étaient végétariens, on économiserait 35.000 milliards de litres d’eau par jour! De plus, toujours selon la FAO l’élevage industriel est responsable à 18% des émissions de gaz à effets de serre. En effet, l’élevage produit 115 millions de tonnes de méthane chaque année, de quoi augmenter considérablement le réchauffement climatique. En Bretagne, les déjections des élevages porcins rejettent tellement d’azote que les plages sont envahies par les algues vertes ! « Il faut devenir végétarien pour sauver l’environnement » Pythagore 2. La santé Ce n’est pas parce qu’on ne mange pas de viande qu’on est en carence de protéines !Tous les végétaux contiennent des protéines, à l’exception des fruits. Cependant, certains en fournissent nettement plus que d’autres. Ainsi, vos besoins peuvent être comblés en mangeant des céréales, des légumes et des légumineuses…une alimentation équilibrée doit fournir à nos organismes : environ 65 % de glucides, 25 % de lipides (les deux servant donc entre autres d'apport énergétique mais pas que), et seulement 10 % de protides En revanche, l'excès de protéines est très répandu dans nos pays occidentaux et particulièrement l'excès de protéines animales, qui peut avoir des conséquences néfastes car elles produisent des déchets (urée, acide urique) dont l'accumulation peut-être nuisible (acide urique responsable entre autre de douleurs articulaires ou de calculs rénaux ou biliaires.) En outre l'excès de protéines - et là encore particulièrement animales - acidifie nos corps, qui n'aiment pas cela, et leur lutte contre cette acidification se fait au détriment (entre autre) de la calcification de notre squelette. La surconsommation de protéines animales (notamment la viande rouge) favorise le cancer du tube digestif et du colon (selon hypothèse actuelle du corps médical ce pourrait être par l'action oxydante du fer héminique qu'elle contient), et d'autres joyeusetés. Et surtout il est assez difficile de se procurer des protéines animales sans qu'elles ne soient assorties de ce fameux gras animal saturé qu'on a du mal à éliminer de nos corps et qui est responsable de tant de maladies cardio-vasculaires, en particulier par dépôt dans nos artères dont il rétrécit le passage. Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4072-vegetariens-deficit-proteines «La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est végétale comme celle des anthropoïdes et des singes, que nos canines sont moins développées que les leurs, et que nous ne sommes pas destinés à entrer en compétition avec les bêtes sauvages ou les animaux carnivores.» Darwin 3. Les épidémies Dans les élevages industriels, les animaux sont entassés les uns sur les autres, sont nourris avec des farines animales et des antibiotiques et leurs déjections ne sont pas immédiatement évacuées. Ces mauvaises conditions d’hygiène peuvent déclencher des maladies parmi les animaux, qui peuvent être transmises à l’homme s’il mange de la viande contaminée. Depuis les scandales de la vache-folle et de la grippe aviaire, les consommateurs font plus attention à la qualité de leur viande, mais le moyen le plus sûr est encore de ne pas en manger… "Une véritable civilisation humaine existera non seulement quand il n’y aura plus de cannibales, mais lorsque toute forme de consommation de viande sera considérée comme du cannibalisme."Wilhelm Busch 4. La famine Plus de 800 millions d’êtres humains souffrent de la famine et 10 millions en meurent chaque année. On pourrait nourrir plus de 2 milliards de personnes avec les céréales destinées à engraisser les animaux d’élevage ! Sur un hectare, on peut produire du blé pour 20 personnes ou de la viande pour 4 personnes, le choix semble vite fait. Pourtant, environ 70% des cultures sont destinées à nourrir les animaux d’élevage alors que ces terres pourraient être utilisées directement pour nourrir les humains… «Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d’opter pour une diète végétarienne.» Albert Einstein 5. Les économies La viande coûte de plus en plus cher, le prix de la viande de bœuf a augmenté de 24% en 10 ans ! Quand on voit que le filet de bœuf de un kilo coûte en moyenne 39 euros, on se dit qu’il y a de belles économies potentielles à faire en devenant végétarien… En comparaison, le prix d’un kilo de steak de soja tourne autour de 8,50 euros. «Je suis végétarien et antialcoolique: ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau.» Thomas Edison 6. La gastronomie «Mettez un enfant dans un berceau avec une pomme et un lapin. S’il mange le lapin et joue avec la pomme, je vous achète une voiture neuve!» Harvey Diamond 7. La religion «S’abstenir de viande est d’un grand secours pour l’élévation de l’âme.» Gandhi 8. La violence « Auschwitz commence partout où quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce sont seulement des animaux. » Theodor Adorno 9. L’éthique La Déclaration universelle des droits de l'animal, qui n’a malheureusement aucune portée légale, stipule que toute vie animale a droit au respect (article 1) et considère donc comme un crime contre la vie tout acte impliquant sans nécessité la mort d'un animal et toute décision conduisant à un tel acte (article 7). Mais à partir de quand considère-t-on que la mort d’un animal est nécessaire ? Si ma vie, ou la vie d’un autre être humain est en danger, oui, je tuerais l’animal. Mais si j’ai seulement faim, la mort de cet animal n’est pas nécessaire, je peux me nourrir de végétaux, de céréales, de fruits… «J’ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd’hui le meurtre de leurs semblables.» Léonard de Vinci 10. La souffrance animale Les élevages d’œufs en batteries sont surpeuplés. Les poules sont trois à cinq dans des cages de 50 cm, ce qui les rend folles et déclenche chez elles de l’agressivité et du cannibalisme. Dans les élevages porcins, les truies sont dans des boxes si étroits qu’elles n’ont pas la place de se retourner ou de cajoler leurs petits. Avec deux portées par an, ces truies sont des machines de reproduction et d’allaitement. Il en va de même pour les vaches qui sont inséminées artificiellement tous les ans pour qu’elles continuent à avoir du lait. Souvent, elles sont séparées de leur veau dès la naissance et pleurent et cherchent celui-ci pendant des jours entiers. De son côté, le veau innocent tète les doigts de son bourreau tandis que celui-ci prépare un croc de boucher pour le pendre par une patte et lui trancher la gorge. Lorsque sa mère sera trop fatiguée, elle aussi ira à l’abattoir. Là-bas, les animaux crient, agonisent et se vident de leur sang : ils souffrent. «Peut-être finira-t-on un jour par s’apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l’extrémité de l’os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d’abandonner une créature sensible au même sort. La question n’est pas : Peuvent-ils raisonner ? ni Peuvent-ils parler ? mais Peuvent-ils souffrir ? » Jeremy Bentham Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille le site Vegplanet.com et le documentaire TERRIENS de Shaun Monson.