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Discussion:Révolution civile

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De gauche[modifier le code]

@Chapelin ' elle est quand même de gauche, car je ne vois aucun parti de droite dans la coalition Émoticône.--ᄋEnzino᠀ (d) 6 mars 2013 à 22:08 (CET)[répondre]

"Italie des valeurs" est centriste. Et il s'agit bien d'une coalition électorale, pas d'un "mouvement". Je ne comprends guère que la formulation de Chapelin, plus factuelle, ait été supprimée. Tibauty (d) 7 mars 2013 à 01:48 (CET)[répondre]
Pour une fois que Celette est d'accord avec moi, Émoticône. IdV n'est pas centriste. Les centristes de di Pietro ont rejoint le Centre démocrate (Italie)] en 2012, comme Donadi. Di Pietro est inclassable, populiste ou justicialiste serait sans doute le plus « juste », Globalement, la coalition est très marquée à gauche, comme le montrent tous les analystes italiens.--ᄋEnzino᠀ (d) 7 mars 2013 à 02:25 (CET)[répondre]
Sur le positionnement politique, je vais m'abstenir. Mais vous-même parlez d'une coalition (électorale je suppose ?) Pourquoi supprimer cette indication ? C'est presque l'information la plus importante. Tibauty (d) 7 mars 2013 à 02:52 (CET)[répondre]
Non, vous avez parfaitement raison et il ne faut jamais s'abstenir (d'autant que Celette, ardente lectrice du Figaro a une tendance naturelle à gauchir les plus modérés, ...). C'est une coalition électorale informelle qui va se transformer en parti. Rien de très officiel cependant, y compris comment la nommer.--ᄋEnzino᠀ (d) 7 mars 2013 à 02:58 (CET)[répondre]
Les députés européens d'IDV siègent dans le Groupe démocrate et libéral (Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe (ADLE)). C'est un parti de droite libérale, c'est-à-dire "centriste". Même chose pour le petit Mouvement Orange (même groupe au PE). Il s'agit d'une simple coalition électorale "technique". On pourrait dire que c'est une coalition de gauche s'il y avait une synthèse idéologique, ce qui n'est pas le cas. Donc on ne peut pas dire qu'il s'agit d'une coalition de gauche.--Chapelin (d) 17 mars 2013 à 17:21 (CET)[répondre]
Oui, M. Chapelin, vous avez en partie raison, sauf que l'IdV n'existe presque plus : la mention Di Pietro va être enlevée du symbole électoral, un congrès réuni en juin, après une campagne d'adhésion, que les dissidents font partie du Centre démocrate. N'oubliez pas que l'IdV était (avec la Ligue du Nord) le seul parti à l'opposition du gouvernement Monti, un gouvernement très droite libérale. La dimension populiste, justicialiste et inclassable de Di Pietro est bien plus pertinente que son (ancienne) adhésion au parti ALDE (ELDR n'existe plus). Il n'est pas certain que l'IdV puisse verser ses cotisations d'adhérent à ELDR. Mais vous avez raison : gauche est réducteur, gauche radicale est du "Celette", mais centriste serait faux.--ᄋEnzino᠀ (d) 17 mars 2013 à 18:18 (CET)[répondre]
Il n'empêche que parler de "coalition de gauche" c'est juste du marketing électoral, une sorte d'appréciation pré-mâchée et donc forcément inexacte, pour le lecteur. Rien ne justifie qu'on donne une étiquette à ce qui n'est qu'une coalition électorale d'ordre technique. Même si je comprends bien que certaines forces ont voulu présenter RC comme le pendant de la gauche radicale française du FDG. Par ailleurs, je crois qu'il faut prendre IDV tel qu'il était au moment de la formation de la coalition. IDV avait voté la confiance à Monti en novembre 2011 comme le montre la page WP que vous citez et aussi par ex. le Corriere della Sera du 18/11/2011 : "Fiducia al governo Monti sì ma non in bianco, in assenza di chiarezza sugli impegni programmatici: è stata la posizione espressa da Antonio Di Pietro" (http://www.corriere.it/politica/11_novembre_18/monti-voto-fiducia-camera_4919adc2-11b6-11e1-8aad-a8a00236e6db.shtml). Seule la Ligue du Nord n'a pas voté la confiance. Il est possible que par la suite ils aient progressivement critiqué Monti. Enfin, les parlementaires européens d'IDV n'ont pas quitté le groupe des démocrates et libéraux, ce qui marque bien le grand écart idéologique qui existe au sein de cette coalition qu'il serait hasardeux de qualifier d'"anti-corruption" puisque c'est Grillo qui a joué ce rôle.--Chapelin (d) 20 mars 2013 à 18:45 (CET)[répondre]
Oui, tous sauf la Ligue et deux députés ont voté la confiance à Monti, mais les hommes et les partis évoluent et Di Pietro en refusant rapidement d'accorder sa confiance à Monti, s'est clairement radicalisé, pas progressivement, mais assez brutalement, d'où la scission majeure de Droits et libertés qui a rejoint le Centre démocrate (Italie), avec le chef du groupe parlementaire Massimo Donadi. à ce moment-là, on peut donc dire que l'IdV n'était plus un parti de la droite libérale. D'ailleurs quel est le membre français de l'ADLE: le Parti radical de gauche. Pas du tout d'accord avec votre analyse (pour une fois). Ingroia était à la tête d'une coalition que tous les observateurs italiens qualifiaient de gauche, Di Pietro n'avait même plus les moyens de se présenter de façon autonome, son mouvement était mourant. Et Grillo va bien au-delà des thèmes anti-corruption, puisque pour lui, tous les partis doivent aller à la maison, les moins vertueux comme ceux qui ne présentent pas des mis en examen. Tous les partis, sauf le sien qui n'en est pas un. Le choix du Quart-Etat comme symbole électoral, dans un pays où ce qui compte n'est pas le nom du parti mais ce petit rond où il s'agit de faire une croix avec un crayon, est emblématique. C'est le symbole socialiste et ouvrier par excellence.--ᄋEnzino᠀ (d) 20 mars 2013 à 19:59 (CET)[répondre]
Oui mais je n'ai pas dit que la situation n'était pas complexe et contradictoire, d'où ma réserve justement sur le fait de coller une étiquette en cédant au marketing du "quart-état" qui ne reflète pas la réalité de cette coalition. Je pense que vous faites une confusion sur l'ADLE. Les partis français : le Parti Radical valoisien (UMP puis très récemment UDI) - et non le PRG -, puis l'UDF et Cap21. Pour moi il s'agit quand même de partis de droite (UDF fondé par Giscard ; au départ, courant anti-gaulliste qui a plutôt une filiation avec Vichy) ; transformée en Modem (le rôle de Bayrou est central dans l'ADLE), qui doit son image libérale à son attachement à l'UE et à ses appels du pied à un PS lui-même droitisé.
Rivoluzione civile, comme je l'ai écrit, apparaît plutôt comme le regroupement pragmatique de forces à l'agonie ; un peu comme lorsque le FDG à l'Assemblée française recrute des députés d'Outre-Mer non inscrits pour constituer un groupe. Mais je peux me tromper.--Chapelin (d) 20 mars 2013 à 21:39 (CET)[répondre]
Non, je confirme, le MoDem ne fait pas partie de l'Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l'Europe (parti) mais du Parti démocrate européen qui n'existe quasiment sur le papier. Le PRG faisait partie de l'ADLE jusqu'en 2010. Aucun parti français en fait partie. En Italie, seuls les Radicaux italiens sont à jour de leur cotisation annuelle. La Parti radical ne fait pas partie de l'ADLE...--ᄋEnzino᠀ (d) 20 mars 2013 à 22:12 (CET)[répondre]
Je parle en fait depuis le début (cf. message du 17/03) du groupe au Parlement européen. Je ne parle pas des partis parce qu'effectivement ils n'ont aucune existence réelle (c'est le côté "soufflé" de l'UE...). Le groupe réunit le Parti démocrate européen et l'ex-ELDR. C'est là que sont réunis Modem et Italie des Valeurs : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alliance_des_d%C3%A9mocrates_et_des_lib%C3%A9raux_pour_l'Europe_(groupe).
Le PRG ne dispose plus de député au Parlement européen.--Chapelin (d) 20 mars 2013 à 23:47 (CET)[répondre]