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Discussion:Personnes connues pour leur engagement sur la peine de mort

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Cet article, à mon sens, fait doublon avec celui qui s'intitule Débat sur la peine de mort et qui contient les arguments partisans et abolitionnistes. --A t ar a x i e--d 10 août 2008 à 16:36 (CEST)[répondre]

Abolitionnistes célèbres

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Retrait de la mention ci-dessous quelque peu abusive (voir justifications):

1° Cette affirmation est fausse, s'il est vrai qu'en Belgique après 1950, la peine de mort n'a plus été appliquée, ce n'est pas le cas dans les colonies et territoires administrés où la grâce royale a été refusée à plusieurs reprises au début du règne de Baudouin. La dernière exécution en date (1962) étant celle de Kageorgis, assassin de Louis Rwagasore.

2° Sous les règnes des prédécesseurs de Baudouin, la peine de mort a été très peu appliquée: jamais sous Léopold II, une seule fois sous Albert Ier (dernière exécution pour crime de droit commun en Belgique en 1918). Cela ne fait pas d'eux des abolitionnistes, Léopold approuvait les "exemples" dans "son" État indépendant du Congo, et Albert était opposé à une loi d'abolition et déclarait n'être "...pas hostile à l'application de la peine de mort, qui dans beaucoup de pays n'a que des partisans".

3° Les pouvoirs royaux en Belgique sont constitutionnellement très limités, et son influence s'est considérablement réduite au court du XXe siècle. La grâce royale est accordée sur avis du ministre et comme tout acte du roi, sous sa signature et son contrôle. La non application de la peine de mort est donc plus la conséquence d'un consensus politique des gouvernements successifs que d'une volonté royale.

4° Après 1950, sur le territoire belge, la peine de mort a été fait l'objet d'une commutation automatique en détention à perpétuité, la grâce royale n'était donc plus qu'une formalité.

Il est possible que Baudouin était personnellement opposé à la peine de mort, mais son statut royal ne lui permettait ni d'agir, ni de faire des déclarations publiques dans ce sens. Je précise que tout ce qui précède peut être vérifié dans l'étude de Jean Stengers : L'Action du roi en Belgique depuis 1831, éditions Duculot, Bruxelles, 1992, 310 p., (ISBN 2-8011-1026-4), pages 105 et suivantes : Le droit de grâce. - Ben2 (d) 17 novembre 2008 à 14:05 (CET)[répondre]