Discussion:Mouvement wallon/Proposition José Fontaine

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Voilà la structure de la p telle que je la voudrais :


(...) Le mot wallingantisme pour le désigner n'est plus utilisé car à connotation péjorative (son utilisation était un mot interdit au Parlement belge)[1]. On parle plutôt aujourd'hui de régionalistes wallons.

(...)

Les quatre grandes tendances[modifier le code]

Il y a quatre grandes tendances dans ce mouvement résulltant d'objectifs politiques concrets à concevoir ou non comme étant une réaction au mouvement flamand ou résultant de la position minoritaire des Wallons en Belgique, de la proximité de la France, du prestige de la langue française ou encore de la volonté de transformer politiquement les structures politiques et économiques:

  • les partisans de la défense de la langue française en Belgique sans aucune transformation politique et contre le bilinguisme;
  • les partisans de l’une ou l’autre forme de décentralisation (ou d'un Sénat paritaire;

les partisans du fédéralisme ou du confédéralisme le plus souvent sur la base de trois Régions, qui seront aussi au coeur du mouvement wallon à son apogée autour de la Grève générale de l'hiver 1960-1961, et liées à ce moment à une volonté de transformation de la société liée aussi à la lutte contre le déclin wallon;

===Belgicisme unilingue=== encore que belgicisme est peu employé en français: mauvaise traduction du néerlandais

Défense des francophones[modifier le code]

===Fédéralisme === et non autonomisme: pourquoi? Parce que fédéralisme peut englober confédéralisme

Indépendantisme[modifier le code]

Rattachisme[modifier le code]

(à supprimer pour moi la réfrence à l'article détaillé)

Empreintes idéologiques[modifier le code]

Francophilie[modifier le code]

Républicanisme[modifier le code]

Un mouvement marqué à gauche[modifier le code]

Le mouvement wallon a toujours été marqué à gauche depuis sa création jusqu'à nos jours, même si des éléments plus au centre ou à droite l'ont également animé comme Georges Thone, Philippe Monfils, Jean Materne, Étienne Knoops, René de Dorlodot, René Lefebvre...

Gauche libérale, gauche socialiste, gauche chrétienne et communiste[modifier le code]

Il fut initié dans les cercles de la gauche libérale

Le Renardisme[modifier le code]

Mais c'est avec le renardisme (etc.) Inutile de venir avec supranationalisme et internationalisme prolétarien: le syndicalisme renardiste le dit bien et le suprationalmisme n'est pas un but du MW ou alors on pourrait prendre aussi postnationalisme

La langue française et le concept de Wallonie[modifier le code]

(NON)

Et aussi éviter ce chapitre ''Fondements'' Ce que je veux dire par là c'est que cela fait penser aux fondements d'une idéologie. Or le MW est traversé par 1000 idéologies. Et que Wallonie, c'est désigner un territoire, un pays mais pas une idéologie à proprement parler. L'Ecosse ou la France ne sont pas des idéologies. Et même dire que les diverses formes de nationalismes français sont fondés sur la France n'a pas de sens (truisme). De même le MW est fondé sur la Wallonie (re-truisme). Mais il y a des Wallons militants qui sont fascistes (hélas! mais pas Degrelle), communistes, chrétiens, socialistes, wallophobes( Émoticône sourire), francophiles, protestants, juifs, charismatiques, libéraux, francs-maçons, musulmans, antoinistes (l'antoinisme a été fondé par un Wallon), écologistes, j'arrête.

Identité citoyenne[modifier le code]

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Implications dans la politique belge[modifier le code]

Notes et Références[modifier le code]

  1. Le Monde, Le P'tit Dico. Voir aussi Jean-Pol Hiernaux (Encyclopédie du Mouvement wallon, Tome III, pp. 1621-1624) même si dans «Le chant du coq» de Maarten Van Ginderachter l'utilise encore. C'est le « nom donné par leurs adversaires aux Wallons favorables à l'autonomie de la Wallonie ou au rattachement de celle-ci à la France» Larousse 2008.

etc.