Discussion:L'Idéologie française

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Problèmes[modifier le code]

Interprétation et utilisation de sources primaires + travail inédit = problèmes sur cet article. --G de Gonja 28 janvier 2013 à 02:51 (CET)

Usage abusif des termes « sources primaires et travail inédit » en vue de nuire et de commettre des actes de vandalisme[modifier le code]

M. de Gonja, le contributeur qui conteste le sérieux de mon travail dans la note précédente, ne sait pas ce que veut dire « source primaire ».

Par exemple, à l’article « Bernard-Henri Lévy », M. de Gonja échange à M. Marvoir les propos suivants :

"On vient de retirer ceci : Son second livre Le Testament de Dieu, paru en mai 1979, prolonge La Barbarie à visage humain. "Ce nouvel essai propose une réponse au « nihilisme et au désenchantement contemporain » dus selon lui à « l’oubli de la loi » et à l'échec des grandes idéologies progressistes. En se référant à l'œuvre de Lévinas, il avance que l'humanité peut trouver dans la sagesse du texte biblique de nouveaux chemins de liberté et décrit le monothéisme biblique comme étant dans son essence un rempart contre tout totalitarisme1. + Son second livre Le Testament de Dieu, paru en mai1979, prolonge La Barbarie à visage humain. "

-1. ↑ quatrième de couverture du Testament de Dieu avec la justificaion "retrait de source primaire".

Pourquoi alors avoir laissé ce qui précède : "Son second livre Le Testament de Dieu, paru en mai 1979, prolonge La Barbarie à visage humain.", qui n'est pas sourcé du tout, et avoir également laissé ce qui suit : " Bernard-Henri Lévy écrit : « Si l’on convient d’appeler “tragique” la conception des choses qui dit la pénible dramaturgie du Mal mué en Bien, et “pessimiste” celle qui conte la simple et brute pénibilité d’être homme, homme voué au Mal, au Mal intotalisable, alors il faut conclure, contre l’air du temps une fois de plus, que le Tragique est l’élément même de l’oppression et le pessimisme, peut-être, le point de vue de l’opprimé », en opposant la raison grecque et la loi juive.1",

-1. ↑ Bernard-Henri Lévy, Le Testament de Dieu, Grasset, pp. 234-235 qui est également sourcé par une source primaire ? Marvoir (d) 10 janvier 2013 à 11:48 (CET)

Les sources primaires ne sont pas recommandées et je veux bien l'enlever.--G de Gonja 10 janvier 2013 à 14:12 (CET)"

Quand j'affirme : "Bernard-Henri Lévy écrit : « Si l’on convient d’appeler “tragique” la conception des choses qui dit la pénible dramaturgie du Mal mué en Bien, etc., » en opposant la raison grecque et la loi juive", je me réfère à une source primaire qui est ma proposition, sous ma propre autorité, moi baroukhvidal. Mais comment savoir si Lévy a vraiment écrit ce que j'énonce en en tirant la conclusion que j'énonce ? Qu'est-ce qui le prouve, à part l'affirmation de baroukhvidal, source primaire ?

Je pourrais faire intervenir une seconde source, par exemple Pierre Dupont affirme que Bernard-Henri Lévy a écrit : « Si l’on convient d’appeler “tragique”, etc., ». La question demeure : qu’est-ce qui prouve que Lévy a vraiment écrit ceci ? Qu’est-ce qui le prouve, à part l’affirmation de Pierre Dupont ? En l’occurrence, la source seconde « Pierre Dupont », ne constituerait pas moins une source primaire, assimilable à une opinion, respectable en soi sans doute, mais qui ne donne aucune preuve vérifiable de ce qu’elle avance.

Si je fais intervenir la référence : "Bernard-Henri Lévy, Le Testament de Dieu, Grasset, pp. 234-235", c’est pour que chacun puisse vérifier, indépendamment de baroukhvidal (source primaire), que Lévy a bien écrit ce que j’énonce. La référence au livre constitue une source secondaire, c’est-à-dire qu’elle établit la preuve vérifiable de ce qui est énoncé. C’est la référence au livre, en tant que telle, qui constitue la source secondaire, et non le livre en soi, bien entendu, mais cette procédure est essentielle pour établir une vérité.

Enlever la référence au livre, c’est-à-dire la source secondaire dans ce cas de figure, sous prétexte qu’elle serait une « source primaire », c'est faire acte de vandalisme. C’est ce qui a été fait par M. de Gonja dans l’article « Bernard-Henri Lévy » le 10 janvier dernier.

Revenons à l’article « L’Idéologie française » : il s’agit de rendre compte d’un livre et des thèses qui sont exposées dans ce livre. Quand M. de Gonja intervient dans cet article, le 26 janvier dernier, pour signaler que "Selon la journaliste Bonavita Marie-Laetitia du Figaro, B.H.L « se réjouit à l'avance de l'esclandre à venir »" avec la référence au Figaro, M. de Gonja se réfère à une source primaire, c’est-à-dire à une source qui n’a qu’un intérêt très limité. Mme Bonavita rapporte un propos dans un journal. Et alors ? Qu’est-ce qui prouve que ce propos a vraiment été tenu ? Et en quoi, surtout, ce propos éclaire les thèses qu’il s’agit d’exposer avec autant de rigueur et d’honnêteté intellectuelles que possible ?

M. de Gonja prétend que je me réfère à un « travail inédit ». Il suppose manifestement que « L’Idéologie française » constitue un « travail inédit », c’est-à-dire un travail qui n’est pas fiable, et que les références au livre lui-même constituent des « sources primaires », ce qui revient en somme à contester la possibilité de rendre compte de ce livre dans wikipedia, sauf à ne mentionner que des propos rapportés comme ceux de Mme Bonavita.--Baroukhvidal (d) 14 février 2013 à 02:24 (CET)baroukhvidal, le 14 février 2013, à 2 : 24.[répondre]