Discussion:Kumi Sugaï

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Transfert d'un passage non référencé en attendant de trouver des sources[modifier le code]

Il participe à des expositions collectives dès 1953 sous l'instigation de Charles Estienne au Salon d'octobre à Paris, en 1955, 1958, à l'International de la Fondation Carnegie, Pittsburgh, en 1956 Salon des réalités nouvelles à Paris en 1957, Salon de mai à Paris, en 1959, à la Biennale de São Paulo et à la Documenta de Kassel puis à la Biennale de Venise.[réf. nécessaire] --Lepetitlord [Fauntleroy] 18 mai 2017 à 18:16 (CEST)[répondre]

Passage supprimé, il n'y a pas de salon d'octobre Soit le Bénézit confond avec le salon d'automne, soit le contributeur a mal interprété--Lepetitlord [Fauntleroy] 19 mai 2017 à 21:26 (CEST)[répondre]
Voici le lien d'où vient l'erreur Salon d'octobre/Charles Estienne : The Independant, article paru au moment de la mort du peintre, ayant pour référence sans doute le Bénézit. On considèrera cet article avec prudence : mort de Kumi Sugaï --Lepetitlord [Fauntleroy] 24 mai 2017 à 02:14 (CEST)[répondre]

Phrase peu claire issue du Bénézit (?) en attendant une source + claire[modifier le code]

C'est en 1958 qu'il aboutit logiquement à renoncer à toute évocation, pour la seule force plastique du signe occupant désormais à lui seul la surface de la toile, faisant comparer Sugaï à un Schneider japonais, la gestualité s'infléchissant selon un ésotérique vocabulaire de signes extrême- orientaux rappelant ceux qui s'affirment sur les poteries ou les lanternes de pierre que l'on voit dans les jardins du vieux Japon[pas clair] --Lepetitlord [Fauntleroy] 20 mai 2017 à 01:50 (CEST)[répondre]