Discussion:Je sais tout

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Techniques[modifier le code]

Ce passage : « la photocomposition et le papier glacé deviennent désormais plus rentables que la presse typographique et la gravure classiques » ne veut rien dire. La photocomposition permet de composer des textes non plus avec des caractères en plomb, mais par procédé photographique. Elle n’interviendra couramment qu’à partir des années 50. On veut peut-être parler de photogravure, qui permet la reproduction de photographies, par opposition à la gravure à partir de dessins. Le papier glacé est utilisable sur une presse typographique, ce n’est qu’un support. La question est de savoir si en 1905 on a commencé à utiliser l’offset à la place de la typographie. Et 1905 c’est un peu tôt pour parler de reprographie, qui ne sert pas de toute façon à imprimer des journaux en grande quantité. --Morburre (discuter) 26 février 2015 à 17:00 (CET)[répondre]

Bonjour Morburre, vous avez mille fois raison. C'est aussi que je me perds entre phototypie, chromolithographie, etc. Le seul truc capital en fait semble la possibilité ici de reproduire des photographies, donc de quitter le dessin pour une représentation plus directe du réel. Mais ça devient compliqué... Entre 1898 et 1905, les éditeurs français tentent de généraliser l'illustration à partir de photos. Techniquement, je manque d'outils pour expliquer le pourquoi et le comment. --Spiessens (discuter) 26 février 2015 à 17:30 (CET)[répondre]
En bas de la page 128 du numéro 1, on trouve « S. de Malherbe, imprimeur 12 passage des Favorites (XVe) » : je vais remonter la piste... --Spiessens (discuter) 26 février 2015 à 17:53 (CET)[répondre]
Je ne suis pas très calé sur l’offser et l’article français ne dit rien sur l’historique, mais l’anglais en dit un peu. Les premières bécanes offset apparaissent en 1903, il est possible que les imprimeurs français se soient équipés un peu plus tard. Mais l’impression typo marchait à fond, y compris pour la photo et la couleur, et la chromolithographie aussi. À voir donc… --Morburre (discuter) 26 février 2015 à 18:31 (CET)[répondre]
Anne-Marie Sauvage parle ici de « chromotypographie » dont il existe un bel article sur le wiki allemand. Il se peut que le lien technique soit là. Quant à l'imprimeur c'est Gustave de Malherbe, un proche de Chéret, de Grasset, de Mirbeau. Son imprimerie est aussi importante que Chaix.
Pas trouvé l’article Chromotypographie allemand, j’aimerais bin le voir. Et oui, on avait oublié (enfin, j’avais) l’héliogravure, qui a eu un gros succès et qui a produit des impressions extraordinaires. --Morburre (discuter) 27 février 2015 à 09:58 (CET)[répondre]
Merci pour la réactivité en tous cas. Pour l'article allemand, un texte éclairant est l' autotypie (1880-...), qui semble liée à l'avènement de l'hélio (gravure des trames sur rouleaux en cuivre par insolation) qui donne des gammes de noirs intenses très belles, bref, ça reste pour moi encore un peu confus mais on va y arriver (enfin j'espère) ... --Spiessens (discuter) 27 février 2015 à 19:50 (CET)[répondre]