Discussion:Jacques Pâris de Bollardière

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Arrêts de forteresse[modifier le code]

Les 60 jours de forteresse sont pour avoir dénoncé la torture, ou pour avoir soutenu JJSS ? A moins que ces deux peines soient différentes.--SammyDay 9 août 2007 à 01:20 (CEST)[répondre]


Sur la mission "Citronelle" (et non "Citronnelle") que commanda J.P. de Bollardière sous le pseudo de "Prisme", voir ici : http://ardennetiensferme.over-blog.com/article-22570057.html

Une place venant d'où ?[modifier le code]

« Le Conseil de Paris a décidé, à l’unanimité, de baptiser « Général-Jacques-Pâris-de-Bollardière » le carrefour entre les avenues de Suffren et de la Motte-Picquet (VIIe et XVe arrondissement).»

Serait-il possible de savoir quel était son ancien nom et de le préciser dans l'article ? 212.198.145.112 (d) 29 novembre 2010 à 23:04 (CET)[répondre]

Depuis quelques décennies, pour honorer de nouvelles personnalités sans débaptiser des places déjà nommées, des "places" sont intitulées à l'emplacement de carrefours qui n'avaient pas antérieurement de nom spécifique. Cela semble le cas ici. Kertraon (d) 30 novembre 2010 à 00:18 (CET)[répondre]

Effectivement, il s'agit bien d'un carrefour où se croisent l'avenue de la Motte-Picquet et l'avenue de Suffren, et où commence la rue du Laos, sans même un terre-plein au milieu, et non d'une place. Il n'avait pas de nom auparavant.

Commandant des troupes aéroportées en Indochine[modifier le code]

Bollardière, à l'époque colonel, ne fut-il pas commandant des TAP en Indochine de 1950 à 1951 et non jusqu'en 1953 comme écrit dans l'article. Il semble qu'il ait été remplacé en 1951 par le général Gilles. Bollardière aurait été de 1951 à 1953 commandant d'un groupement tactique en Indochine.

Les sources que j'ai trouvé (Ordre de la Libération, Amicale de la 1ère DFL, Encyclopedia Unversalis) parlent toutes de 1953 comme fin de son commandement des TAP. Mais si vous trouvez quelque chose de plus précis, n'hésitez pas à le mentionner (coucou à Coyau (d · c)...).--SammyDay (discuter) 5 octobre 2013 à 18:00 (CEST)[répondre]

Engagement contre la torture en Algérie[modifier le code]

"Jacques de Bollardière est le seul officier supérieur alors en fonction", il est alors général de brigade, donc officier général. Soit il était le seul officier en fonction parmi les officiers supérieurs et les officiers généraux. Auquel cas, une petite modification de clareté permettrait de lui rendre son grade, soit il était le seul officier parmi les officiers généraux, auquel cas la phrase doit devenir : "Jacques de Bollardière est le seul (officier) général alors en fonction"

Je dirais que c'est plus une analyse personnelle de la situation, une manière de rendre le courage de Bollardière encore plus éclatant, puisque Billotte est également général, mais à la retraite. C'est aussi une confusion régulière dans les sources, qui estiment apparemment qu'un officier général n'est qu'un officier supérieur plus élevé, alors que normalement, ce sont des corps bien distincts (ou simplement dire que Bollardière, bien qu'officier général au moment des faits, est un ancie officier supérieur - logique - et qu'aucun autre officier supérieur n'a eu la même attitude). On peut trouver ce genre de formulation dans plusieurs sources antérieures à l'article [1][2][3]. SammyDay (discuter) 28 juin 2019 à 16:22 (CEST)[répondre]