Discussion:Histoire du mouvement indépendantiste québécois

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Intégration à un autre article[modifier le code]

Salut Mathieugp!

Je me demandais si ça ne serait pas mieux d'intégrer les données historiques du mouvement souverainiste à même un article déjà existant Mouvement souverainiste du Québec. Je crois que les deux devraient ne faire qu'un, pour éviter les liens inutiles entre articles. Ça permettrait aussi de compléter cet article (Mouvement souverainiste du Québec), qui est loin d'être complet, à mon avis. Colocho - Hola!

Citation nécessaire[modifier le code]

« En 1944, Jean-Charles Harvey révéla dans le Jour que le mouvement indépendantiste québécois avait trouvé un allié dans la personne d'Adolf Hitler. »

Par citation nécessaire, il fallait évidemment entendre, minimalement, la citation de l'article du journal Le Jour. Deuxièmement, pour que le verbe « révéler » soit approprié, il faudrait démontrer que c'était bel et bien une nouveauté à l'époque, un genre de scoop. Pour que le nom « allié » soit approprié, il faut démontrer qu'Hitler a offert son soutien. Idéalement, ce qu'il faudrait serait la citation exacte des propos d'Hitler, avec la date et le contexte de sa déclaration.

Dans la forme actuelle, la phrase fait tâche et n'est ni plus ni moins qu'un exemple assez malhabile du sophisme de l'amalgame. Quantité de personnalités étrangères ont donné leur appui au mouvement d'indépendance québécois (au 19e siècle, des députés whigs et radicaux anglais comme James Mackintosh, Henry Brougham, des républicains-démocrates américains, Jules Verne, Félicité Robert de Lamennais, Alexis de Tocqueville et au 20e siècle John F. Kennedy, Charles de Gaulle etc.). Il est très facile de démontrer que les supporteurs comme les opposants se trouvent à peu près partout dans le spectrum politique. -- Mathieugp 14 février 2007 à 07:14 (CET)[répondre]

Voilà, trouvé.
Hitler offre au Québec son indépendance pleine et entière
À la suite de la reddition de la France le 22 juin 1940, une paranoïa soigneusement entretenue par la presse et par une campagne d'affiches s'installe au Québec et laisse supposer que des espions nazis s'y trouvent partout. Le journal Le Jour y contribue à sa façon, dans un texte de Jean-Charles Harvey publié le 29 juin dans le but de discréditer le mouvement pronazi d'Adrien Arcand: « Dimanche soir, la radio allemande, au cours d'une émission sur ondes courtes tout particulièrement destinée au Canada français, a fait savoir au Québec qu'Hitler lui offre sa pleine et entière indépendance. » C'est dans ce contexte de suspicion que se déroule, le 2 juillet, l'arrivée à Québec du premier contingent de prisonniers de guerre allemands.
Tiré de Jean-Marie Fallu, Le Québec et la guerre. 1860-1954, Les publications du Québec, 2003, page 140.
Je pense que ça règle la question. La propagande de guerre n'est certainement pas matière à citation. -- Mathieugp 6 mai 2007 à 17:33 (CEST)[répondre]
Un livre affirme que les dires de Jean-Charles Harvey sont faux : http://books.google.ca/books?id=1pIN_D0sUWcC&pg=PA62 Matju2 (d) 24 novembre 2012 à 17:22 (CET)[répondre]