Discussion:Hauteur (musique)

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Hors sujet[modifier le code]

Je supprime les deux alinéas suivants, qui me paraissent légèrement hors sujet (il n'y a aucun doute que la hauteur ne suffit pas à caractériser la note, ces considérations devraient s'insérer dans Théorie de la musique ou Théorie de la musique occidentale.

« Par ailleurs, assimiler fréquences et notes est loin d'être suffisant pour caractériser une note jouée par un instrument. Il faut aussi pouvoir prendre en compte si une note est piquée (pizzicato) ou liée (legato), préciser de quel instrument elle provient, sans compter tous les effets possibles tels que le glissando, le vibrato, etc. Pour cela, il convient de représenter une note par l'évolution de son spectre au cours du temps.

Il est ainsi possible de voir sur un « sonagramme » l'évolution de tous les harmoniques. D'un point de vue physique, un résonateur comme la corde d'un violon, a une multitude de modes propres, d'oscillateurs harmoniques couplés, par une loi de dispersion non linéaire: le musicien, par son archet, son souffle ou sa percussion donne de l'énergie à la fondamentale et à toutes les harmoniques. Ces harmoniques échangent et dissipent cette énergie d'une manière caractéristique de l'instrument. La non-linéarité est caractéristique de certains instruments non accordés comme le tablâ. »

PolBr (discuter) 16 janvier 2014 à 19:25 (CET)[répondre]

Même remarque pour

« (section) Harmoniques et accords

En regardant attentivement le tableau ci-dessous reprenant valeur des fréquences et notes correspondantes, les musiciens vont reconnaître une correspondance entre les fréquences harmoniques d'une fréquence fondamentale et la constitution des accords à partir de cette note (accords parfaits majeur, septième de dominante, etc). Les harmoniques d'une note sont données par les fréquences multiples de la fondamentale. Ainsi pour un do 0 à 32,7 Hz les harmoniques sont : »

Harmonique 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
Fréquence 32,7 65,4 98,1 130,8 163.5 196,2 228,9 261,6 294,3 327 359,7 392,4
Note Do Do Sol Do Mi Sol ( Si b ) Do Mi ( Fa # ) Sol

« Les 7e et 11e harmoniques ne correspondent pas à des notes utilisées en musique occidentale, elles sont en dehors du cycle des quintes. Le nom indiqué correspond à celui de la note la plus proche.

Quelques remarques :
* Sur un piano, enfoncer doucement la pédale et faire résonner une note, permet de les écouter lorsque l'intensité sonore diminue : les cordes correspondant aux harmoniques vibrent par sympathie; la série indiquée ci-dessus est alors relativement audible. On comprend mieux la constitution de l'accord parfait qui correspond aux premières harmoniques.
* Sur un violon ou une guitare (ou violon alto, violoncelle ou contrebasse), il est possible d'entendre relativement bien les harmoniques successives d'une note en ne faisant qu'effleurer la corde avec sa main gauche à différentes positions (notamment à la quinte et à l'octave), pendant un jeu à vide.
* Dans le cas particulier des cloches, la tierce mineure est également clairement audible, du fait de sa constitution même, qui fait apparaître des modes particuliers de vibration dans lesquels les harmoniques ne sont pas en rapports entiers. Ceci ajoute le mi bémol dans la série des harmoniques « naturelles » d’un do.
* Par ailleurs, dans un son percussif, la quinte est très présente, surtout dans la phase transitoire (attaque de la note), avant que le régime établi de vibration de la corde ne s’installe. On peut donc entendre, pendant la frappe de la corde par le marteau, la même série d’harmoniques issues de la quinte du do : ce sont les notes sol, si, ré, et fa. En y ajoutant la tierce mineure issue du sol (tierce mineure de la cloche), et en les ajoutant aux harmoniques du do, on trouve la série de notes suivantes : do, ré, (mi, mi bémol), fa, sol, la, (si, si bémol) et do. Ceci explicite la constitution des gammes mineures et majeures, comme étant la suite des harmoniques naturelles du son fondamental (tonique) et de sa quinte (dominante).

C'est le bon ajustement entre elles des harmoniques de deux notes entendues simultanément qui validera la consonance de l'intervalle ou de l'accord entendu. »

  • Ces remarques ont plus leur place dans Théorie de la musique occidentale,
  • elles sont sujettes à caution ; c'est la théorie de la musique de Danhauser, mais du point de vue acoustique, c'est ... ;=| douteux (en tous cas, il est bon de douter),
  • il faudra aussi sourcer tout ça,
  • il vaudrait mieux renvoyer sur un des articles spécialisés sur la question de l'harmonie et de la construction des gammes, où le sujet pourrait être développé.

PolBr (discuter) 18 janvier 2014 à 10:37 (CET)[répondre]