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Discussion:Fernanda Fernández

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Discussion sur ce qu'aurait pu être le diagnostic exact chez Sœur Fernanda[modifier le code]

... Le père Garrido s'était adressé pour résoudre sa perplexité aux meilleurs théologiens et aux meilleurs médecins ... Gustave G. 19 mars 2007 à 17:08 (CET)[répondre]

À première vue il semble s'agir d'un cas quelque peu inhabituel de prolapsus utérin et non d'ambiguité sexuelle (sortie du "pénis" lors des augmentations de la pression abdominale, présence d'un écoulement de sang périodique...).
Archibald 19 mars 2007 à 21:49 (CET)[répondre]

Le texte me paraît un document d'histoire intéressant sur l'Église romaine. Cette brave religieuse a eu de la chance d'être née au Siècle des Lumières, cent cinquante ans plus tôt elle risquait le bûcher. Selon votre diagnostic elle aurait pu souffrir d'un prolapsus utérin, ce qui correspond sans doute au «relâchement de l'utérus» soupçonné par ses premiers confesseurs. Il est donc piquant de constater que, sans avoir examiné la chose de visu, ces dignes prêtres devinaient mieux que les médecins et les matrones qui les ont suivis. On sait que le jésuite Sánchez avait disserté en latin de toutes les bizarreries, perversités et anomalies sexuelles (il faudrait que je me procure un compendium), et ses pieux disciples devaient être informés. Quant à l'évêque, on le voit s'en remettre au jugement des experts et l'atitude est louable, même si les personnes retenues n'étaient peut-être pas des plus compétentes.

Il serait intéressant de savoir ce qu'est devenue cette pauvre femme. L'histoire ne le dit pas, mais si votre supposition est exacte elle a dû se trouver dans une situation bien fausse. Les premiers confesseurs étaient donc dans le vrai mais ils avaient manqué de psychologie; à leur décharge je me rappelle ce vieux prêtre qui m'avait avoué un jour que rien n'était plus mortel que d'écouter des confessions: il pensait avoir gagné le paradis rien qu'à supporter ces interminables bavardages.

Amicalement. Gustave G. 20 mars 2007 à 08:38 (CET)[répondre]

L'article Intersexualité auquel vous renvoyez me semble l'œuvre d'une militante, dont nous ignorons même la compétence médicale, et non celle d'un praticien. Il serait bon peut-être qu'un spécialiste allât examiner la question. Comme toujours je m'en remets à eux. Je disais tout de suite à un autre propagandiste que, quand je suis malade, je prends conseil auprès de mon médecin et non auprès d'un garçon-coiffeur. Cordialement. Gustave G. 20 mars 2007 à 09:30 (CET)[répondre]

Remarquez aussi que les prêtres, non contents de faire le bon diagnostic sans examiner la patiente (à la différence des experts de l'Art), ne croyaient pas non plus si bien dire en parlant d'hystérie ... au sens propre si l'on ose dire. Mais je les soupçonne fort d'avoir eu quelques connaissances élémentaires en gynécologie. L'anecdote a aussi le mérite de nous rappeler que s'en remettre à l'avis des spécialistes n'est pas toujours une garantie d'aboutir à la vérité. Je ne me prononcerai pas sur le contenu de la page Intersexualité qui existe aussi sur WP en de nombreuses autres langues.
Archibald. 21 mars 2007 à 22:11 (CET)[répondre]