Discussion:Démocrate fédéraliste indépendant

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Proposition[modifier le code]

Je propose la categorie "nationalisme francophone" pour le FDF. J'ai lu leur programme. C'est comme le Vlaams Belang (ma langue maternelle est l'espagnol)--Periergeia (d) 25 juin 2008 à 16:15 (CEST)[répondre]

Il n'y a pas de "nationalisme francophone" en Belgique. Les seuls nationalistes du côté francophone sont les "unionistes" ou "belgicains". Il y a une réaction au nationalisme flamand. La catégorie "anti-nationaliste flamand" est plus appropriée. Ne comparons pas un parti d'extrème-droite avec un parti social-démocrate tout à fait démocratique et respectueux des lois du peuple belge.Titi2 (d) 8 mars 2011 à 11:50 (CET)[répondre]


Nomination des bourgmestres et scission de BHV[modifier le code]

J'ai réécrit les paragraphes sur les nominations des 4 bourgmestres et la fin de l'alliance avec le MR pour y mettre un style indirect. Wikipedia est là pour rapporter les positions des uns et des autres, pas pour en être un portail de diffusion. Que le FDF pense que la non nomination est un déni de démocratie est une opinion politique (tout à fait respectable et qui doit être connue) non une vérité qui devrait être présentée comme telle dans une encyclopédie. Ruzdu

C'est en fait un peu plus compliqué. En Belgique, lois fédérales et décrets communautaires et régionaux ont la même valeur. Par contre, la constitution belge prime sur les lois et décrets. Dans les articles constitutionnels, figurent les régimes de facilité linguistique qui donc ont priorité sur les lois et décrets. C'est ainsi que la Cour d'appel de Mons a jugé les circulaires Peeters illégales car non conforme au droit constitutionnel. Par contre il est tout à fait possible que deux interprétations du droit belge s'opposent si l'une se base sur un décret flamand et l'autre sur une loi fédérale, décret et loi ayant même valeur. Bel imbroglio juridique.Titi2 (d) 10 mai 2012 à 12:36 (CEST)[répondre]

Charte de Défense des Francophones et de Respect des Droits de l'Homme[modifier le code]

Projet de rubrique Selon Le Soir, la charte que le FDF impose à ses colistiers est « géométrie variable »[1]. Une première version "light", une deuxième plus "hard" et pour finir une troisième version "rien du tout". Selon les communes et selon les tractations préélectorales en cours, on ne signe pas le même texte voire on ne signe rien du tout (Auderghem et Schaerbeek). Olivier Maingain a réagi à cette interprétation[2] en accordant une interview à La Libre Belgique en annonçant que la charte allait être signée à Auderghem, mais ne dit rien sur Schaerbeek. L'accord préélectoral fdf-cdh-ecolo à Schaerbeek en est-il la raison? Cherche-t-on à ne pas froisser des extrémistes musulmans en faisant référence aux Droits de l'Homme? Si quelqu'un a des infos sourcées et encyclopédiques, merci de les apporter.Titi2 (d) 29 mai 2012 à 12:04 (CEST)[répondre]

  1. La charte à géométrie variable du fdf, Martine Dubuisson, Le Soir, 23 mai 2012, disponible en ligne [1]
  2. Olivier Maingain menace et veut imposer sa charte, La Libre Belgique [2]

La note francophone d'Olivier Maingain[modifier le code]

Olivier Maingain a un moment réclamé « la note francophone »[1], reprochant aux autres partis son propre manque de construction politique. Car ce que propose Olivier Maingain n'a séduit que 10-11 % de Bruxellois et 2,1 % de Wallons. Il faut dire qu'il propose l'utopie d'un Etat Wallonie-Bruxelles dont l'économie serait comparable à celle du Portugal ou de la Grèce. La source (celle d'un parti politique!) n'étant pas encyclopédique, je retire cette mention.Titi3 (discuter) 30 janvier 2014 à 12:42 (CET)[répondre]

  1. Mais où est la note francophone?, Guy Debisshop, Perspectives Francophones n°60 (mensuel édité par les FDF), 15 déc.2010-15 janv.2011

Les FDF en Wallonie[modifier le code]

Le FDF représente 2,1 % en Wallonie. Il pourrait disparaître aux provhaines élections dans cette région. Ce texte me paraît non neutre.Titi3 (discuter) 30 janvier 2014 à 12:49 (CET)[répondre]

Après quelques initiatives manquées dans les années 90, les FDF ont véritablement commencé à se déployer en Wallonie à partir de 2009. Actuellement, la structure des FDF wallons s'articule autour d'une instance centrale, l'Interprovinciale wallonne des FDF, de 5 fédérations provinciales et de sections locales, sections locales élargies et sections de district.

Les fédérations provinciales sont présidées comme suit :

Brabant wallon : Vincent Granville (par ailleurs conseiller provincial) ; Hainaut : Christophe Verbist (par ailleurs chef de cabinet à la présidence des FDF et secrétaire de l'Interprovinciale wallonne des FDF) ; Liège : René Courtois (par ailleurs conseiller communal à Ans) ; Namur : Monique Felix (par ailleurs vice-présidente wallonne des FDF et conseillère communale à Sambreville) ; Luxembourg : Jonathan Martin (par ailleurs secrétaire général adjoint des FDF)

Actuellement, il y aurait, d'après le parti, plus de 2000 membres wallons.

En juin 2012, dans le cadre de dispositions transitoires, la direction du parti s'ouvre à deux Wallons : Monique Felix (vice-présidente wallonne) et Jonathan Martin (secrétaire général adjoint). Lors des élections internes de 2013, ceux-ci furent réélus.

Aux élections communales et provinciales de 2012, les FDF décrochent leurs 10 premiers élus en Wallonie : 8 conseillers communaux et 2 conseillers provinciaux.

Avant ce scrutin, les FDF étaient présents dans deux exécutifs communaux en Wallonie : à Tubize (via l'échevine Jeannine Lens ; ex-MR) et à Bastogne (via l'échevin Jean-Claude Crémer ; libéral indépendant figurant en tête d'une liste provinciale FDF). Par ailleurs, ils détenaient deux conseillers provinciaux namurois : André Piérard (ex-Ecolo) et Fabien Scaillet (ex-MR).