Discussion:Cologarithme
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concentration[modifier le code]
Cjp24 : le 28 mars 2020 à 17:45 vous avez mis un lien de concentration -> concentration molaire. Ça m'étonnerait que ce lien soit pertinent. Quand on a des logs, c'est le plus souvent qu'on traite de grandeurs sans dimension, faute de quoi, le changement d'unité change la valeur (log(x mol/l) = log(x mol/m3) - 3). Sébastien Bruneau (d · c · b) a mis l'exemple dès la première version de la page, mais personne n'a précisé ce qu'est cette concentration. J'aimerais consulter une source.
Cordialement, PolBr (discuter) 21 mars 2021 à 14:44 (CET)
- Bonjour PolBr. Une « concentration de référence Créf = 1 mol/L » est mentionnée dans l'ouvrage : Stéphane Mathé, Chimie des solutions. Cordialement. --Cjp24 (discuter) 21 mars 2021 à 20:21 (CET)
- Merci. L'auteur de cette définition a apparemment les mêmes réserves que moi, il introduit une concentration de référence (de 1 mol/l), de ce fait le log s'applique à une grandeur sans dimension. J'aimerais que quelqu'un qui ne découvre pas la question comme je le fais amende le texte. PolBr (discuter) 21 mars 2021 à 20:33 (CET)
entropie[modifier le code]
Le 11 novembre 2015 à 11:11 Anne Bauval (d · c · b) remarque en résumé de son édition « Pertinence de la dernière phrase, puisque « ce mot n'est pas utilisé dans ce domaine » ? ». Il s'agit de l'entropie, qui, à première vue, comprend les logarithmes de l'inverse de la probabilité des évènements de l'ensemble concerné. On peut dire sans doute que c'est un colog, mais il faudrait citer une source qui le dise. Sinon, on peut aussi bien affirmer que l'entropie se calcule à partir du log de la rareté, rapport entre le nombre d'expériences et le nombre de réalisations (inverse de la probabilité) quand le premier tend vers l'infini. Je retire au moins provisoirement
« L'entropie de Shannon utilise un cologarithme en base 2 (bits) ou en base naturelle (nats), mais ce mot n'est pas utilisé dans ce domaine. »
PolBr (discuter) 21 mars 2021 à 15:04 (CET)
usages[modifier le code]
Il me semble que les auteurs utilisent la notion de cologarithme en dehors du pH.
- pour la granulométrie en podologie, colog de la dimension de la maille.
- ici « La premiere etape consiste en une approche de la surface de probabilite stationnaire par un developpement local autour d'un point fixe de son cologarithme, le potentiel stochastique u ».
- en météo (1935)
- en photométrie la densité optique est le colog du facteur de transmission
- un travail sur la détection des objets dans les images
- etc.
Y-a-t-il une raison de se limiter au pH ?