Discussion:Collectif des étudiants libéraux de France

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Le CELF et l'UNI[modifier le code]

Notification Elnon : Bon, je propose de passer en PDD, parce que ça devient ridicule. Il y a visiblement un problème avec la phrase "Tout au long de son existence, le CELF n'aura jamais réussi à s'imposer comme la principale organisation étudiante de droite, concurrencée dans ce domaine par l'UNI, organisation classée plus à droite et regroupant plutôt des étudiants gaullistes." Il se trouve que :

  • le CELF n'a existé qu'une quinzaine d'année, tandis que l'UNI vient de fêter ses 50 ans d'existence
  • l'UNI est toujours arrivée en "tête de la droite" aux élections CNOUS et CNESER.
  • la source citée dans l'article exprime clairement la place de principale organisation de droite occupée par l'UNI.

Sérieusement, il faut quoi de plus ? Même si elle n'était pas sourcée, cette affirmation ne devrait pas vraiment faire débat. --MinxMinkov (discuter) 5 août 2021 à 12:30 (CEST)[répondre]

Le 30 octobre 2018, l'énoncé
« Tout au long de son existence, le CELF aura été en concurrence avec l'UNI, organisation classée plus à droite »
devient
« Tout au long de son existence, le CELF n'aura jamais réussi à s'imposer comme la principale organisation étudiante de droite, concurrencée dans ce domaine par l'UNI, organisation classée plus à droite »
Le 4 août 2021, j’appose un refnec en tête de la phrase soulignée, en indiquant : « Cette interpolation de 2018 n'est pas dans la source existante. »
Vous le supprimez en expliquant que « cette phrase synthétise la position de l'ouvrage "Réformer l'université après 68" » ».
Toujours le 4 août, j’appose alors alors un citnec en précisant : « Si c'est dit dans le livre "Réformer l'université après 1968", une citation devrait permettre de l'établir de façon indubitable. »
Le 5 août,vous supprimez le citnec en indiquant que « La source dit littéralement : "Chez les étudiants, l’UNI souffre de sa réputation extrémiste. Mais dans cette catégorie, elle est récompensée par sa ténacité : même si elle se situe très loin derrière l’UNEF avec des scores tout aussi faibles que pour le collège des autres enseignants, elle finit par devenir la première organisation de la droite. »
J’annule votre retrait avec comme justification : « Dans la citation que vous donnez dans le résumé de diff, il n'est question que de l'UNI, la phrase "le CELF n'aura jamais réussi à s'imposer comme la principale organisation étudiante de droite" n'est qu'une déduction abusive de votre part, rien n'indique dans la citation que le CELF, mécontent de sa deuxième place, cherchait à dépasser l'UNI. »
Le 7 août, vous annulez mon annulation en me renvoyant à la page de discussion, où je trouve votre intervention supra, laquelle montre que vous ne saisissez toujours pas que votre ajout sur le CELF est une déduction personnelle que vous faites endosser par un passage ne mentionnant pas le CELF.
--Elnon (discuter) 8 août 2021 à 11:17 (CEST)[répondre]
Est-ce qu'il y a vraiment besoin d'une source pour affirmer que des organisations étudiantes qui sont sur un positionnement politique proche et qui se présentent l'une contre l'autre aux élections étudiantes sont "concurrentes" ? Supposer que le CELF, au final, avait peut-être juste comme objectif de devenir "la seconde force étudiante de droite", ça ressemble un peu à de la mauvaise foi.
Par ailleurs, je vous renvoie à la source indiquée, qui fait l'état des lieux des forces "à droite" :
L’UNI démarre les luttes électorales à un niveau très bas. Il faut attendre 1979 pour qu’elle franchisse le seuil des 10 % de suffrages exprimés. Elle se maintient ensuite à cet ordre de grandeur. Certes, l’UNI pèse de bien peu de poids face à l’écrasante UNEF. Néanmoins, elle tire profit de sa persévérance : avec l’UNEF, elle est la seule organisation à perdurer sur toute la période d’étude et dès 1983, elle est la première de la droite (pour les élections au CNESER tout du moins). À cette date, le CELF découvre à peine le milieu des élections au CNESER et le CLEF ne tire même pas parti de sa fusion avec la FNEF car le score de la CNEF est inférieur aux résultats antérieurs du CLEF (le CLEF puis la CNEF pâtissent entre autres de la concurrence du CELF). En conclusion, plus l’électeur se situe en haut de la hiérarchie universitaire, plus il est susceptible d’accorder ses voix à l’UNI. L’image conservatrice de l’UNI explique ses scores importants dans le collège des enseignants de rang A. En revanche, elle obtient des résultats assez médiocres pour les autres enseignants. Chez les étudiants, l’UNI souffre de sa réputation extrémiste. Mais dans cette catégorie, elle est récompensée par sa ténacité : même si elle se situe très loin derrière l’UNEF avec des scores tout aussi faibles que pour le collège des autres enseignants, elle finit par devenir la première organisation de la droite. --MinxMinkov (discuter) 9 août 2021 à 09:00 (CEST)[répondre]