Discussion:Armée impériale japonaise

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Changement de nom inusité.[modifier le code]

S'agissant d'une armée historique, le changement de titre est inutile et même contre productif. Surtout qu'il y a des fautes de frappe : Histoire de l'... Armée impériale japonaise. A renommé tout simplement Armée impériale japonaise. L'amateur d'aéroplanes (d) 15 août 2009 à 10:52 (CEST)[répondre]

Ok, admettons. Mais pourquoi dès lors continue-t-on à écrire des Histoires de la Grande Armée, de la Waffen-SS, etc ?? )Le titre Armée .. fait un peu étiquette d'un objet. Histoire de .. décrit l'objet (sic) mais aussi son évolution ( comme on intitule Histoire des Guerres Puniques et pas simplement Guerres Puniques un ouvrrage sur le sujet .. ), son rôle historique national et international, etc. Et puis c'est aussi une page de l'histoire du Japon ou un aspect de celle-ci qui est décrite. C'est le côté évolutif que j'ai voulu souligné en remplaçant le titre original Armée ( qui n'était en effet qu'un simple dscriptif de la chose).Et puis aussi c'est le portail de l'histoire militaire après tout ! Cheers PHILTHEGUNNER60 Bxl 15/08/2009 14:43 CEST
Il y a des règles à suivre, surtout concernant les titres pour qui ceux qui consultent le site puissent s'y retrouver. S'il y a une Histoire de la Royal Navy, c'est parce qu'il y a déjà un article principale sur la Royal Navy. L'amateur d'aéroplanes (d) 15 août 2009 à 16:18 (CEST)[répondre]

Ce renommage est inapproprié pour deux bonnes raisons : 1) une kyrielle d'autres articles se réfèrent à cette armée. Devrait-on écrire à chaque fois «histoire de...» dans le lien interne ? 2) Une pléthore d'armées nationales ou territoriales comme l'Armée du Guandong, l'Armée populaire de libération (Chine), l'Armée rouge et l'Armée nationale birmane se sont déjà vues attribuer un article. Devrait-on modifier tous ces articles pour en faire des «histoire de...» ? De toute façon, il est tout à fait possible d'inclure une section «histoire de...» dans l'article principal... --Tigre Volant (d) 15 août 2009 à 18:20 (CEST)[répondre]

D'autre part, une bonne partie du texte ajouté par l'utilisateur Philthegunner ne concerne pas l'armée impériale mais plutôt l'histoire générale de la Chine et du Japon et n'a en conséquence rien à faire ici. Je conseille donc aux nouveaux venus de s'inspirer de la version anglaise de l'article s'il sont atteints d'une irrépressible envie de s'exprimer, avant d'apporter des modifications intempestives sans consultations préalables...--Tigre Volant (d) 15 août 2009 à 18:38 (CEST)[répondre]

@L'amateur d'aéroplanes 5.214.236.247 (discuter) 5 mars 2022 à 21:40 (CET)[répondre]

Notes de travail[modifier le code]

Le Bushido (de Bushi: guerrier, et Do: le chemin, la voie, la doctrine au sens figuré) est d'essence composite, il a emprunté au Bouddhisme l'endurance stoïque, le mépris du danger et de la mort; au Shintoïsme, le culte religieux de la Patrie et de l'Empereur; au Confucianisme une certaine culture littéraire et artistique ainsi que la morale sociale des "relations": parents-enfants, maître et serviteur, époux, frères, amis.

Même commentaire que plus haut concernant le service aérien : le sujet de l'article Armée impériale japonaise est déjà son histoire, l'autre article est donc un doublon. Son contenu (d'ailleurs plus développé) devrait être fusionné avec le premier. - Fils du Soleil (d) 19 août 2009 à 17:22 (CEST)[répondre]

Pour oui ça me semble une bonne idée. --pixeltoo (discuter) 25 août 2009 à 00:59 (CEST)[répondre]
✔️ Jerome66 28 août 2009 à 11:57 (CEST)


Extraits supprimés[modifier le code]

Voici les extraits écrits par Philthegunner que j'ai supprimé de cet article et qui pourraiet peut-être être placés ailleurs :

== Prélude == article détailléConquête de la Mandchourie par le Japon|Accord de Xi'an Jusqu'au milieu du XIXème siècle, la Chine et le Japon, puissances traditionnellement isolationnistes, n'avaient entretenu que très marginalement des relations avec l'Occident, par le biais de comptoirs et concessions plus ou moins volontairement cédés. Après s'être partager l'Afrique, les puissances impérialistes européennes et les États-Unis, peu soucieux de demeurer en reste dans la course mondiale aux richesses coloniales, tournèrent leurs regards vers l'Asie et se heurtèrent à ces deux « géants immobiles ». Si la porte de la Chine fut forcée de manière brutale (Première guerre de l'opium dès 1832), les choses se passèrent de manière à peine plus « diplomate » pour le Japon avec l'arrivée du Commodore Perry en rade d' Uraga le 8 juillet1853. Les deux nations réagirent avec orgueil à ces deux violations de leur intégrité avec des bonheurs différents. Et si la Chine sombra par la suite dans un chaos qui dura plus d'un siècle[note 1], le Japon en ressortit plus puissant, devenant ainsi le géant de l'Extrême-orient en quelques dizaines d'années. La différence de politique - et donc de destin - entre les deux pays tient avant tout à une différence culturelle de mentalité et à des sociétés radicalement différentes du point de vue politique.

La guerre russo-japonaise (1905)[modifier le code]

L'expansion japonaise sur le continent asiatique : Chine et Corée[modifier le code]

Les relations entre la Chine, civilisation plurimillénaire ayant influencé toute l'Extrême-Orient, et l'archipel du Japon, qui a reçu au premier chef cette influence culturelle, ont une histoire marquée par des échanges et des rivalités incessantes. Dans l'Histoire moderne, deux conflits ont opposés ces deux « frères ennemis » de l'Asie, le premier étant la guerre de 1894-1895. Initiée par une controverse au sujet de la Corée, royaume qui se trouve géographiquement entre les deux pays, la première guerre sino-japonaise débuta en août 1894. Alors que le Japon était entré dans l'ère industrielle et s'était doté d'une armée puissante, la Chine avait alors accumulé un important retard dans son développement économique dû entre autre à l'anarchie intérieure habilement exploitée par les puissances occidentales et au refus superstitieux et teinté de racisme du progrès « blanc » des élites chinoises. Après mars 1895 et de nombreuses défaites militaires, la Chine impériale des Qing doit signer le traité de Shimonoseki. Par le traité de Shimonoseki, dit aussi traité de Maguan, la Chine vaincue cède au Japon : Taïwan, les îles Pescadores et la presqu'île du Liao-dong (avec Port-Arthur en Mandchourie). La Chine abandonne également sa suzeraineté sur la Corée, qui devient une colonie japonaise en 1910. L'ensemble de ces territoires resteront colonies japonaises et sous l'influence modernisatrice et le joug militaire de l'ère Meiji jusqu'à la défaite nippone de 1945. Le Japon ne profitera guère des bénéfices chinois : l’intervention conjuguée de la Russie, de l’Allemagne[note 2] et de la France contraint Tokyo à renoncer à la Corée et à la péninsule de Liao-Toung où les Russes vont créer par contre la base navale de Port-Arthur. Après 1900, Ceux-ci s’installent également en Mandchourie et étendent leur influence à la Corée. Frustré de sa victoire de 1894, le Japon prépare sa revanche. Il bénéficiera pour cela du soutien des Anglais qu’inquiète l’expansion russe. Sans déclaration de guerre, dans la nuit du 8 au 9 février 1904, la nouvelle marine japonaise torpille sept bâtiments russes dans la rade de Port-Arthur. L'armée impériale débarque dans la foulée et assaille les garnisons tsaristes. A la stupéfaction de l'Occident, la guerre qui suit - particulièrement âpre quant à ses conditions - la chute de Port-Arthur (02 janvier 1905) après un terrible siège - au cours duquel le froid, les privations et la maladie tuèrent tout autant que les balles - la prise de Moukden en mars 1905, la destruction de la flotte russe de secours de l’amiral Rojestvensky dans le détroit de Tsouchima (27 mai 1905) révèlent la supériorité militaire tant terrestre que navale du Japon. Il est à noter que les Japonais se comportèrent avec les plus grands égards envers leurs prisonniers russes en dépit des conditions abominables du champ de bataille. Au traité de Portsmouth (5 septembre 1905), la Russie cède la péninsule de Liao-Toung avec Port-Arthur, ainsi que le sud de l’île de Sakhaline, renonçant de surcroît à toute prétention sur la Mandchourie et la Corée. Celle-ci sera annexée par le Japon en 1910.La guerre russo-japonaise de 1904-1905 a fait du Japon la première puissance asiatique, ce qui inquiète les États-Unis. Le pays connaît cependant pourtant de graves problèmes nés de la fragilité de son économie qui, paradoxalement, a connut une croissance fulgurante. --Tigre Volant (d) 28 août 2009 à 16:57 (CEST)[répondre]

  1. 1832 première guerre de l'opium - 1948 fin de la guerre civile et naissance de la République Populaire de Chine
  2. Qui avait pourtant en 1898 arraché une concession sur la ville de Tsingtao aux Mandchous pour une durée de 99 ans en leur forçant quelque peu la main militairement

Lien sur les rapports de Mac Arthur lors l'occupation du Japon[modifier le code]

Je suis tombé hier sur les rapports américains lors de l'occupation du Japon. Il y a beaucoups de données précises sur l'organisation et les capacités militaires nipponnes ainsi que bien sur l'organisation des forces alliés chargé de démilitariser ce pays :

http://www.history.army.mil/books/wwii/macarthur%20reports/macarthur%20v1%20sup/index.htm#cont

J'ai déja mit sur le commons une carte des groupes d'armées japonais en 1945 et une photo, si d'autres veulent se plonger la dedans, qu'ils n'hésitent pas :) L'amateur d'aéroplanes (d) 18 août 2010 à 08:59 (CEST)[répondre]

Arme blindée japonaise[modifier le code]

Prit sur le forum 1940 La France continue… :

En fait, les Japonais commencent à former des unités de chars (bien que jamais utilisé au delà du niveau de la brigade) dès le début de la guerre. En 1944, il existe 4 divisions de deux brigades de deux régiments... mais ces regroupements sont d'avantages administratifs qu'autre chose, les chars étant dispersés entre plusieurs fronts.

Au printemps 1944, la première division blindée (autonome et indépendante) est déployée en Chine. Face à des Chinois complètement désarmés en moyen anti-char elle remporte quelques succès.

Ces résultats sont suffisants pour pousser le haut commandement à créer une deuxième division blindée qui sera déployée aux Philippines.

On appelle les divisions blindés japonaises, divisions triangulaires, elles sont formées sur la base de trois régiments blindés, plus une unité d'infanterie mécanisée formée d'un régiment d’infanterie mécanisée à trois bataillons, un bataillon autonome antichar, un bataillon antiaérien, un bataillon de reconnaissance blindé (10 chars moyens, 31 légers)

En tout :

  • 11 000 hommes
*309 chars dont 137 légers et 172 modèles moyens 
  • plus ou moins 50 batteries antichar de 37 à 47 mm
  • 8 pièces de 75mm AA et 24 mitrailleuses AA

Le rôle marginal des chars dans la guerre OTL n'a permis le développement tardif que d'un embryon d'arme blindée autonome.

Production de chars :

  • 1290 véhicules en 42
  • 750 en 43
  • 195 en 44
  • 130 en 45