Discussion:André Hugon

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Liens internes[modifier le code]

Enlevé le lien interne la tendresse. il renvoie à la chanson de Marie Laforet, la tendresse

de 1963 !! de meme, le Marchand de sable, une émission radio animé par Henri Bergeron

idem pour la Rue sans joie, un film allemand sorti en 1925!! J'ai laissé Gaspard de Besse, car au moins il renseigne sur le personnage historique--MIKEREAD (d) 17 décembre 2008 à 11:47 (CET)[répondre]

Documentation sur André Hugon[modifier le code]

  • Pour compléter la page consacrée par WIKIPEDIA à André Hugon,résolument indigente,si l'on considère qu'il s'agit de l'auteur du premier film parlant français et d'une figure majeure du cinéma français des années "vingt" et "trente",je renvoie aux ouvrages suivants à l'attention des rédacteurs curieux de WIKIPEDIA :

- "H".1895.Mille huit cent quatre vingt quinze.Revue de l'Association Française de recherche sur l'histoire du cinéma,n°33 (2001). Dictionnaire du cinéma français des années vingt,pages 224-228 (chapitre consacré à André Hugon)

- ARMOGATHE (Daniel) et LESOURD (Dominique).-Les deux Provences de Marcel Pagnol et d'André Hugon,dans "Marcel Pagnol et la méridionalité, Actes du colloque d'Aix-en-provence,1997,n°180,pages 82-87

-BEYLIE (Claude) et D'HUGUES (Philippe).- Les Oubliés du cinéma français (volume 108 de la collection "septième art").- Paris,Cerf,1999.(chapitre consacré à André Hugon,"les masques d'André Hugon,pages 85 et sq.)--83.201.26.209 (d) 11 juillet 2011 à 17:27 (CEST)Maryse Gonod--83.201.26.209 (d) 11 juillet 2011 à 17:27 (CEST)[répondre]

Bonjour, et merci pour votre contribution. Cependant puis-je permettre ceci : comme vous le savez, les rédacteurs sont des bénévoles et tout le monde peut modifier et améliorer Wikipedia. Vous semblez très bien connaître l'œuvre d'André Hugon (dont la fiche est en effet incomplète actuellement), cela ne vous tente-t-il pas de compléter cet article, ce serait bénéfique pour l'encyclopédie et pour les lecteurs puisque vous connaissez bien ce sujet. J'ouvre un paragraphe "Biographie" dans l'article, si vous souhaitez le compléter vous êtes la bienvenue. Bien cordialement, bonne soirée. --Aelama (d) 11 juillet 2011 à 20:13 (CEST)[répondre]
  • Merci pour votre suggestion,mais je me garderai bien d'intervenir dans la rédaction d'une page car toutes mes précédentes contributions ont été effacées.Par contre,je vous autorise à utiliser le texte ci-dessous,si vous le jugez utile :

"Auteur du premier film parlant français (les Trois masques) en 1929,André Hugon a commencé sa carrière dans le journalisme et il est à l'origine de plusieurs innovations structurelles dans sa profession : il fonde en novembre 1913 la première chronique cinématographique hebdomadaire dans un journal grand public (Le Journal),en avance sur Louis Delluc,que l'on dit être le père de la critique cinématographique française.Il met au point le système des films d'exclusivité et s'occupe du soutien des films français à l'exportation.On lui doit en particulier la promotion en Egypte de "La Dixième symphonie" d'Abel Gance en 1918.Sur le plan technique on lui expérimente dès 1931 les premiers tournages intégraux en extérieur,ce qui,avec les moyens de l'époque,ne manquait pas d'audace.On retiendra l'attachement particulier d'André Hugon au midi méditerranéen et à l'Afrique du nord (il était né à Alger en 1886).Son amitié avec le grand félibre Victor Tuby, fondateur de l'Académie Provençale,et grand animateur de la vie culturelle et artistique à Cannes entre les deux guerres ,ainsi qu'avec Marcel Pagnol,doit être soulignée.Son profond attachement à son Algérie natale a trouvé une traduction significative avec la formation du premier chef opérateur algérien,Tahar Benelhanache qui deviendra un directeur de la photo réputé et qu'il soutiendra tout au long de sa carrière. L'oeuvre d'André Hugon était tombée après la guerre dans un oubli relatif dont elle a été tirée par le réalisateur et producteur Dominique Lesourd qui a entrepris la restauration de ses films les plus fameux et lui a consacré un documentaire important qui rappelle que les films d'André Hugon connurent dès leur sortie un très grand succès populaire,non seulement ceux dont la Provence était le cadre, comme "Maurin des Maures" ou "Gaspard de Besse",mais aussi bien des comédies qui ont conservé un charme indéniable,comme celle où Mireille débutait à l'écran,tout en signant avec Jean Nohain les paroles et la musique (les Vingt-huit Jours de Clairette,Chourinette), que des drames tels que "La Rue sans joie" (1938),"remake" du chef-d'oeuvre de Pabst,avec Dita Parlo et Albert Préjean,"Sarati le Terrible", avec Harry Baur ou "le Héros de la Marne" avec Raimu.En effet,André Hugon avait travaillé avec les plus grands acteurs de son époque et il reste une figure majeure du cinéma muet français et ses films tournés avec les vedettes des années "vingt" comme Mistinguett,Musidora ou la grande artiste allemande Lil Dagover,sont souvent encore présentés dans des festivals en France et à l'étranger.André Hugon est mort à Cannes en 1960". Pour la rédaction de ce texte je renvoie aux textes et articles cités plus haut,en particulier ceux de Bernard Bastide dans "1895",de Daniel Armogathe et Dominique Lesourd dans "Les deux Provence de Marcel Pagnol et d'André Hugon",de Claude Beylie dans "Les Oubliés du cinéma français".Voir aussi : http://www.lips.org/bio_hugon.asp

  • Contribution de Maryse Gonod